Quelques locataires allemands étaient venus s'y installer au lendemain de l'occupation. C'étaient des gens effacés, qui ne se faisaient pas remarquer. Ils allaient tuer de neuf à cinq, mais à la maison ils jouaient les employés tranquilles, s'essuyaient les pieds sur le paillasson et se rangeaient courtoisement dans l'ascenseur pour faire place aux femmes.