Les étudiants de Masséna ont toujours l’air aussi cons : bons élèves habillés comme des agents d’assurance, suant par avance à l’approche des classes préparatoires, cancres coiffés comme des footballeurs, rasés sur le côté, une brosse sur le dessus, comme des petits singes avec du ventre et un toupet. Filles : plein. Grossières, rigolotes, habillées pour la plage, en grande discussion. Beaucoup de cheveux bruns. Des connasses gentilles et braillardes qu’on regrette dès l’instant qu’on devient parisien.