AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Joanna Spencer (5)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées
Les Feux de l'Amour : Le secret de Jill, la..

Que ferait-on sans les boites à livres, on se le demande. J'ignorais tout de la novelisation de l'interminable série Les Feux de l'amour, vieille dame télévisuelle qui nous enchante depuis 1973. Cette édition fort bien illustrée, dédiée « A Josette, bonne retraite de la part de Christelle » contient deux récits, Le secret de Jill et La passion d'Ashley. Dans le premier, Jill qui est mariée à John Abottt s'apprête à divorcer et compte bien toucher le pactole. Mais c'est sans compter sur un mystérieux maître-chanteur qui possède des photos de Jill et de son amant. Dans La passion d'Ashley, il y a de l'amour (Ashley aime Victor) et du suspens puisque Jill est visée par un dangereux assassin…



Les feux de l'amour, c'est un peu comme les Rougon-Macquart, des histoires de famille sur plusieurs générations, Genoa City remplaçant Plassans. Pas besoin d'un organigramme, on a beau ne tomber que sur un ou deux épisodes par an chez sa voisine ou chez une grande tante, on arrive quand même à suivre l'intrigue puisque tout le monde vit/bosse/couche/divorce/trépasse/ressuscite/ dans la même ville. Quand les acteurs changent ou vieillissent de 10 ans en deux jours (alors que les autres gardent le même âge), les voix restent identiques, c'est pratique. Et puis tout tourne autour des deux stars incontestées, d'un côté Victor Newman, le gentil avec la moustache, et de l'autre Jack Abott, le méchant sans la moustache. Donc, dans ce livre Jill Reynolds/ Chancellor/Atkinson etc, etc, héritière, divorcée, fille cachée, veuve, mère courage, et Ashley Abott/Newman/ Carlton etc etc, héritière, amoureuse déçue, chercheuse en cosmétologie vous offrent du rêve et de beaux sentiments dans cette grande partouze érotico-sentimentalo-financière qu'est Les feux de l'amour. J'ai refourgué la bête à ma voisine, fan depuis les origines, et tenté de percer le secret de ce succès. Malgré les explications de Paulette, ravie du cadeau, je n'ai toujours pas compris. La seule chose que j'ai retenu c'est que TF1 a changé l'horaire de diffusion du feuilleton, du coup Roger (son mari) n'est pas content parce qu'il déjeune en retard. Comme quoi, les nourritures télévisuelles ne rassasient pas forcément tout le monde.
Commenter  J’apprécie          5234
Audrey Hepburn

Dans mon billet du début du mois d'une autre biographie par Joanna Spencer, celle d'Eva Perón, j'avais annoncé la probabilité d'une chronique de la biographie de l'actrice Audrey Hepburn. Deux raisons m'ont convaincu : la qualité de l'auteure comme biographe et les nombreux bons souvenirs à des scènes de films de cette grande vedette, qui me sont revenus comme des flashes mémorables depuis mon billet sur Evita Perón.

Rien que les 12 pages de photos, sur lesquels on peut admirer la charmante Audrey sur sa Vespa avec Gregory Peck à Rome en 1953, en compagnie d'Humphrey Bogart, Mel Ferrer, Peter O'Toole, dans son uniforme blanc de soeur Luc, son habit sophistiqué de "My Fair Lady" ou sa robe élégante de Givenchy, son chat sur les genoux, etc. m'ont convaincu d'avoir effectué un bon achat.



La question que je me suis posée depuis des années, à savoir comment expliquer le succès immense de cette actrice hors normes, trouve dans cet ouvrage plusieurs éléments de réponse : il y a son origine, son physique tranchant avec les vedettes américaines d'Hollywood et sa propre personnalité. Des facteurs que j'aborde ici brièvement.



- Son origine



La mère d'Audrey, la baronne Ella van Heemstra appartenait à la noblesse hollandaise, étant la fille du maire de la ville D Arnhem et ancien gouverneur du Surinam. C'était une femme qui s'est merveilleusement adaptée à des situations dramatiques. Ayant mené la vie de la haute société riche et influente, elle a eu le courage, lorsque les choses allaient complètement de travers, d'accepter des jobs comme simple cuisinière pour permettre à sa fille des cours de danse à Amsterdam et Londres.

Son père, le sieur Joseph Hepburn-Ruston était un cas. Un anglo-irlandais, né en Bohême, bel homme mais coureur de jupons et dépensier, entre autres d'une bonne partie de la fortune d'Ella, qu'il avait épousée en 1926. En plus, il était fasciste et en tant que tel s'occupa de la propagande d'Oswald Mosley, fondateur de la "British Union of Fascists, ce qui lui a valu une peine de prison en Angleterre. À ce moment, pour la petite Edda, le nom de baptême d'Audrey, née le 4 mai 1929 à Ixelles, son "daddy" n'était plus qu'un pénible souvenir.



Donc, la prime jeunesse de la future star n'a pas été des plus simples. Comme enfant unique d'un couple à problèmes, elle a connu la solitude et la tristesse, particulièrement après la séparation définitive de ses parents, lorsqu'elle avait 6 ans, et les revers de fortune, ce qui s'est traduit pour elle par des déménagements fréquents et des changements d'écoles autant fréquents. Elle a connu l'horreur de la guerre lors des combats atroces à Arnhem, immortalisés par le célèbre film de Richard Attenborough "Un pont trop loin". le livre qui l'a le plus impressionné a été le "Journal d'Anne Frank", l'auteure hollandaise qui avait exactement le même âge qu'elle, à 1 mois près. À l'école ses résultats n'étaient guère brillants, mais elle suivait assidûment des cours de danse. de sa mère elle avait hérité sa force de caractère, de son père son physique.



- Son physique



Comme tout le monde peut s'en rendre compte, Audrey Hepburn disposait d'un physique particulier : elle mesurait 1,76 mètre, ce qui était beaucoup à l'époque, avait certains défauts "bras rachitiques, pas de poitrine et un cou qui n'en finit pas". Personnellement, je crois qu'elle a bénéficié avant tout d'un atout colossal : ses superbes yeux de biche, qui lui conféraient un regard romantique, noble, honnête, aimable etc.

Relativement jeune, elle a trouvé la formule qui mettait sa taille et ses atouts physiques en valeur, dans sa façon bien à elle, de se tenir, de marcher, de se coiffer et de s'habiller. Sa rencontre, dès 1952, avec le jeune couturier, Hubert de Givenchy, s'est révélée un franc succès pour les deux.



- Son caractère



Ce qui frappe chez Audrey c'est ce mélange plutôt rare de simplicité, réserve, gentillesse, sérieux et professionnalisme. Même pour les rôles de moindre importance que ce soit au théâtre comme devant les caméras, il y avait cet engagement total, qui fait penser à Isabelle Adjani, et comme la vedette française, elle a été pointilleuse sur les rôles qui lui ont été proposés et ceux qu'elle a acceptés. Autre parallèle entre elles, leur grande capacité de concentration intense. En fait, un peu le tout ou rien. Ceci explique probablement pourquoi dans sa carrière cinématographique de presque 40 ans, de 1951 à 1989, elle n'est apparue que dans 26 films. Je dis bien "apparue", car dans son tout premier film par exemple "Le Néerlandais en sept leçons" , elle n'a que 2 mots à dire : "Quoi, moi ?" et dans "De l'or en barres" , la même année 1951, n'a qu' à prononcer à son partenaire, Sir Alec Guinness, qu'une demi-réplique.

Autre trait de caractère de notre vedette, sa grande lucidité et courage. Ainsi, après des années de cours de danse, de sacrés efforts douloureux à cause de sa taille et son grand rêve de devenir une 2ème Margot Fonteyn, son idole qu'elle avait rencontrée très brièvement, elle se rend compte qu'elle n'a pas l'étoffe d'une grande ballerine et décide tout simplement, mais radicalement, de faire autre chose !



Sa vie prend un tournant à Rome, en 1953, avec sa performance dans "Vacances romaines" de William Wyler, avec Gregory Peck, qui lui assure son premier grand succès cinématographique. Grâce à l'écrivaine française, Sidonie Gabrielle Colette (1873-1954), qui la choisit avec enthousiasme pour incarner son héroïne, Gigi, au théâtre à Broadway, - où la 1re affiche "Gigi avec Audrey Hepburn" est à cause du succès vite remplacé par "Audrey Hepburn dans Gigi" - pratiquement toutes les portes s'ouvrent aux États-Unis, Hollywood et le monde.

En 1954, à 2 mois de ses 25 ans, c'est la consécration en gagnant l'Oscar sur des rivales comme Ava Gardner, Deborah Kerr et Leslie Caron.



Avec cette récompense suprême si jeune, j'arrête mon billet, je vous laisse découvrir la vie et la carrière de celle qui m'a éblouie comme Natacha Rostov en "Guerre et Paix", basée sur l'oeuvre de Léon Tolstoï ; de soeur Luc, alias Gabrielle van der Mal, dans le film de Fred Zinnemann, "Au risque de se perdre" basé sur l'ouvrage de Kathryn Hulme et inspirée par la vie de Marie-Louise Habets, avec qui Audrey s'est liée d'amitié et la marchande de fleurs "cockney", Eliza Doolittle, qui prend des cours de diction chez Rex Harrison, une comédie musicale inspirée par "Pygmalion" de George Bernard Shaw.



En essayant de comprendre le phénomène Audrey Hepburn, je me rends compte que je n'ai plus de place pour vous raconter sa vie de 1954 à sa mort d'un cancer en 1993, à l'âge de 63 ans à Tolochenaz en Suisse ; ses mariages avec le réalisateur américain, Mel Ferrer (1954-1968) de qui elle a eu un fils, Sean, et le psychiatre italien Andrea Dotti (1969-1982), le père de son 2ème fils, Luca, et sa dernière passion l'acteur néerlandais, Robert Wolders. Mais vous pouvez faire entièrement confiance à Joanna Spencer, qui en a fait un récit à la fois sobre et émouvant.



Notre amie sur Babelio, "lafilleauxchaussures27"/Virginie, a raison d'estimer dans son billet que l'auteure aurait pu dire un peu plus sur les efforts d'Audrey Hepburn, comme ambassadrice pour Unicef, l'organisation de l'ONU pour les enfants. Surtout que cette organisation, en 2002 dans son siège à New York, en reconnaissance de ses mérites, a inauguré une belle statue, nommée "The Spirit of Audrey".



Commenter  J’apprécie          4911
Eva Peron

Dans sa biographie d'Eva Perón l'auteure, Joanna Spencer, note : "Tout un peuple suit le combat singulier de celle qui, pour la première fois dans l'histoire d'un pays, entre la légende avec un diminutif." Ce combat singulier se réfère au cancer de l'utérus, qui causa la mort de la "first lady" d'Argentine, surnommée affectivement par le peuple "Evita", en 1952, à l'âge de seulement 33 ans. La popularité dont cette "Santa Evita" - autre surnom - a bénéficié pendant les 6 ans, 1 mois et 22 jours (1946-1952) à côté de son époux, le caudillo Juan Domingo Perón (1895-1974), laisse tout simplement rêveur. Et ce n'était pas le résultat d'un 'culte de la personnalité' cher à des dictateurs tel Staline, mais le ressentiment du petit peuple pour une femme sortie de leurs rangs et montée jusqu'au pinnacle de son pays : la "Casa Rosada", le palais présidentiel à Buenos Aires. Cette madone des "descamisados" ou sans-chemise, créatrice d'un mythe, qui 66 ans après sa mort dramatique, lui a survécu !



Ce conte fée au dénouement dramatique de Eva Duarte, née en 1919 à Los Toldos, un endroit désespérant au début de la Pampa et à 250 km à l'ouest de BA, m'était connu en grandes lignes, mais n'ayant jamais lu de biographie d'elle, il y avait plein de choses que j'ignorais totalement. Pourtant, au cours d'un séjour de 2 bonnes semaines à la capitale d'Argentine, en 2001, le sujet d'Evita a été souvent soulevé dans mes conversations avec des Argentins de tout âge et condition dans les cafés, cafétérias et à l'hôtel Obelisco, où j'étais descendu. Le moindre que l'on puisse dire c'est qu'elle ne laissait personne indifférent : certains avaient horreur de cette époque de dictature péroniste et estimaient qu'à côté de ses bonnes oeuvres pour les pauvres, elle avait aussi commis de nombreuses bêtises (notamment des dépenses publiques bien intentionnées mais inconsidérées) ; d'autres, en revanche, ne m'ont pas caché l'admiration qu'elle continua à leur inspirer.



La célébrité et la nostalgie de cette blonde latino-américaine se sont reflétées dans un nombre considérable d'articles et de livres. Comme biographie, je citerais de David Lelait-Helo "Evita : Le destin mythique d'Eva Perón" ; de Tomas Eloy Martinez "Le roman de Perón" et d' Alicia Dujoune Ortiz "Eva Perón. La madonne des sans-chemise. Et, à propos de Madonna, il y a bien sûr le fameux film d'Alan Parker "Evita" de 1996, que beaucoup d'entre vous ont probablement vu.

Deux bouquins autobiographiques ont été publiés : "La razón de mi vida" ( la raison de ma vie) en 1951, et l'an après, "Mi mensaje" (mon message), que je n'ai pas lu et dans lesquels, à tort ou à raison, je n'ai pas trop confiance.



Mais qui était cette Eva Perón-Duarte au juste ?



Son démarrage dans la vie ne fut pas sous un ciel propice du fait que son père, Juan Duarte, entretenait 2 familles : une avec son épouse légitime, et une autre avec sa concubine, Juana Ibarguren - d'origine basque - qui lui a donné 5 enfants, dont la cadette Eva. Sur cette benjamine a pesé "l'opprobre de leur origine bâtarde" : humiliations et pauvreté. Comme môme, Eva est d'humeur changeante, tantôt secrète et morose, tantôt gaie et vive, mais au "regard triste qu'elle gardera pour le restant de sa vie". Elle a de piètres résultats à l'école, sauf pour chant et musique, où elle obtient le maximum des points. Ses études se limiteront au cycle primaire. Sa santé est fragile et elle mange comme un petit oiseau.

Très jeune, c'est le métier d'actrice qui l'attire, elle adore le théâtre et le déguisement, pour échapper à son environnement maussade ?



À 15 ans, elle s'enfuit à BA, rejoindre son frère Juan, qui y fait son service militaire, avec la ferme intention de devenir actrice. Seulement, ses atouts sont plutôt réduits : physiquement avec son 1,55 m et maigrichonne, elle ne paie pas de mine, elle ne possède aucun talent particulier, ni instruction, ni amis influents, sa diction est décevante et sa voix stridente, mais elle a aussi des qualités : "le don d'imitation, l'oreille juste et une excellente mémoire" et, en plus, "un culot inébranlable". C'est cependant sa colossale conviction en elle-même, son ambition qui ressemble à une rage de réussir, une revanche, qui lui permet de vivre 5 années dans la dèche, de frustration en déception, de frôler l'insécurité et les privatisations. Elle accepte systématiquement tous les petits rôles qu'on lui offre pour un salaire de misère. Ce n'est qu'au bout de 6 longues et pénibles années que l'avenir commence à lui sourire : elle devient une spécialiste des feuilletons radiophoniques très populaires en ces temps et la porte du vedettariat s'ouvre lentement mais sûrement à elle.



Néanmoins, une ombre fatale se pointe, en 1937, lorsqu'elle est brutalement violée : d'hémorragies vaginales en inflammation non soignée, faute de sous, sa santé se détériore de façon inquiétante. Ce n'est que 6 ans plus tard qu'elle a les moyens de se faire soigner comme il faut, mais les dommages sont importants et elle est devenue stérile.



Le grand tournant de sa vie a lieu en janvier 1944, lorsqu'elle fait la connaissance du colonel Juan Perón. Elle a presque 25 ans, et se rend compte que son avenir est lié à celui de ce veuf qui s'approche de la cinquantaine, est bel homme et secrétaire d'État au Travail et à la Prévision sociale. Leur rapprochement et mariage en octobre 1945, sont basés sur leur expérience commune d'enfant pauvre, auquel s'ajoute leur "utilité réciproque qui les rendra indispensable l'un à l'autre". Devant son micro de la radio, elle va "faire l'éloge de Juan Perón jusqu'à la nausée".



J'ai préféré concentrer mon billet sur l'Eva avant qu'elle ne devienne Perón pour 2 raisons : d'abord sa brève existence comme partenaire de l'homme fort du régime argentin à été déterminée par son enfance et jeunesse et ensuite parce que sur ses origines ont circulé tant de rumeurs fausses et persistantes. Je salue l'entreprise de Joanna Spencer de corriger le tir de façon sobre. S'il est incontestable que "Santa Evita" n'a pas menée une vie de sainte, de là à affirmer qu'elle aurait couché avec la moitié de la population masculine de BA et vécue des gains de films pornographiques est démesurément exagéré. Il est vrai qu'elle ait connu pas mal d'histoires d'hommes, où elle apparaît plutôt comme victime et qu'elle ait survécue en posant pour des photos publicitaires disons osées.



L'auteure pour s'informer a eu des entretiens avec 2 soeurs d'Eva, l'aînée Blanca Duarte de Álvarez et la plus jeune encore en vie, Erminda Duarte de Bertolini, ainsi qu'avec la présidente de la Fondation Eva Perón (EPFHR), Christina Álvarez Rodríguez. Elle a en outre eu accès aux archives nationales de BA.



De Joanna Spencer très peu est su, à part qu'elle soit d'origine irlandaise et l'auteure de 2 autres biographies : "Grace, une princesse désenchantée" (2004) et "Audrey Hepburn" (2005). Bien que n'étant pas un fana des biographies de stars de cinéma, peut-être que je me laisserais tenter par la charmante Audrey, pour des raisons de pur chauvinisme : née à Ixelles, une commune de Bruxelles (1929), sa splendide performance comme soeur Luc du couvent de Bruges dans "Au risque de se perdre" (1959) et son tout premier film, à 19 ans, "Le Néerlandais en 7 leçons" !

Comme Eva Perón, malheureusement, Audrey Hepburn est morte d'un cancer, mais à un âge un peu plus avancé, en 1993. dans le Vaud en Suisse.
Commenter  J’apprécie          4720
Eva Peron

Très beau récit sur la courte vie de Eva Peron, et sur sa destinée fulgurante
Commenter  J’apprécie          110
Audrey Hepburn

J'ai aimé le livre, mais je trouve qu'il n'est pas assez complet, ne serai pour sa carrière ou ce qu'elle a fait pour l'Unicef.C'est vrai qu'Audrey Hepburn était un femme très discrète mais je trouve que ce live est trop centré sur sa vie amoureuse je trouve ça vraiment dommage.
Commenter  J’apprécie          41


Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Joanna Spencer (13)Voir plus

Quiz Voir plus

LNHI-35491: littérature - Nils Holgersson

Quelle créature miniaturise le jeune Nils?

Un tomte
Un farfadet
Un elfe
Un kobold

14 questions
69 lecteurs ont répondu
Thème : Le merveilleux voyage de Nils Holgersson à travers la Suède de Selma LagerlöfCréer un quiz sur cet auteur

{* *}