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Critiques de Jocelyn Boisvert (154)
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Le bureau des histoires étranges - Oiseaux de..

Ce roman raconte l'histoire d'une famille qui part en vacances dans le nord du Canada, et sur la route, isolée, de nombreux oiseaux commencent à avoir un comportement étrange, se jetant contre la voiture. Commence alors un combat sans merci pour que les membres de la famille puissent s'extraire de cette situation.

À la lecture de ce roman, on pense fatalement au film d'Hitchcock; d'ailleurs, l'auteur parvient à mettre en relief l'angoisse ressentie par les passagers de la voiture, ainsi que leur désespoir. Ce livre s'adresse à des jeunes lecteurs, c'est très facile à lire, et pour l'adulte que je suis pas toujours crédible. Néanmoins, je pense qu'il peut séduire les plus jeunes qui sont parfois à la recherche de sensations fortes dans leurs lectures sans que ce soit trop trash.
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Le bureau des histoires étranges - Oiseaux de..

Une nouvelle collection jeunesse pour ceux qui aiment se faire peur !

L'histoire est bien faite, c'est très rythmé, l'ambiance anxiogène est bien présente et les amateurs du genre devraient y trouver leur compte.

On pense évidemment au film d'Hitchcock pour ceux qui connaissent...
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Mort et déterré, tome 3 : Les derniers jours d'..

Fin de cycle donc pour cette trilogie de BD pour ados décidément originale... ça se termine cependant sur un gros cliffhanger qui sent bien la suite. Était-ce vraiment nécessaire ? L'avenir nous le dira, mais je n'en suis pas certain, car j'aimais bien l'idée qu'Alice, elle, n'allait pas ressusciter.

Ça continue sur les bases des deux premiers tomes, avec les mêmes qualités (rythme, humour noir, originalité, réflexion sur le deuil), mais aussi le même défaut : des pages trop chargées avec trop de cases, des textes souvent beaucoup trop petits et des enchaînements pas toujours évidents à suivre.

Là, parfois, ça part même un peu dans tous les sens au niveau des rebondissements et des deus ex machina (la tête qui se recolle toute seule en rebondissant, deux fois de suite, check !) et on sent que le scénariste était parfois un peu en roue libre, mais je n'ai pas envie d'être trop sévère avec cet ovni qui, mine de rien, réussit le pari d'être assez trash et osé, tout en restant touchant dans les sentiments, sans devenir mièvre.

Bref, une BD qui ne prend pas nos ados pour des cons, ça mérite d'être souligné. Le mien a adoré de bout en bout, et je le comprends, je crois que j'aurais adoré à son âge !
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Gros en bibitte

Dans la seconde fournée de petits romans encore tous chauds parus en Octobre, nous retrouvons quatre nouveaux "Zèbre à roulettes", la collection jeune sœur de la collection Zèbre, aux éditions Bayard Canada. Toujours aussi éclectiques, mais résolument humoristiques, les Zèbres à roulettes proposent de petits romans un peu plus gros que la main, dans lesquels des récits rocambolesques de divers genres offrent des histoires où le graphisme appui le texte, agrémentés de jeux sous diverses formes. Les personnages sont toujours présentés au débout, des résumés sont offert en fin de chapitre, juste à côté du chapitre suivant et on peut les lire indépendamment les uns les autres, puisque ce sont des tomes uniques.





Dans celui-ci, il est question d'Arthur, fils d'inventeur, qui se retrouve un soir gardé par une gardienne accro à son téléphone, mais qui au moins pourra sont invités à un gala. Alors que sa gardienne se grille gentiment les neurones sur son cellulaire, les deux amis ont une fringale. Ils aimeraient bien pouvoir piocher quelques bons biscuits à la farine d’avoine maison, mais il n,en reste que des miettes. Arthur a alors l'idée d'utiliser une invention de son père qui augmente le volume des objets pour grossir une miette, dans le laboratoire du sous-sol dans lequel, ÉVIDEMMENT, il n'a pas l'autorisation d'aller. En résulte de nombreuses péripéties sur des insectes grossis plusieurs fois,l'une se trouvant dans la machine avec la galette et les autres ensuite exposées au liquide, puis aux ondes. En somme, une énorme mouche, guêpe, araignée et maringouin se baladent dans la maison. Entre le maringouin qui risque de les vider de leur sang vu sa taille, une araignée amatrice de Disco qui tisse des filets géants, une guêpe collaborante chevauchée par Mélie et une mouche qui n'est certes pas le pogo le plus dégelé de la boîte, de l'action, il y en aura.





Une sympathique petite histoire complètement loufoque qui me rappelle les films "Chérie, je nous ai réduit", mais dans le sens inverse. Ils ont surtout de la chance que cette tripotée d'insectes soient plutôt humanisés pour aimer la danse, se laisser chevaucher et même aimer les films.





Pour la petite histoire sur le mot "bibitte", pour nos amis européens: Une "bibitte" n'a rien de phallique. Au Québec, il s'agit d'un terme courant et familier pour désigner les insectes, parfois prononcé "Bébite". Ça englobe tout ce qui est un insecte, des volants aux piquants, des gluants aux jolis. Donc, si vous entendez des québécois lancer un "y a dont ben d'là bibitte!"( Il y a beaucoup d'insectes! ) ou "t'as-tu vu la belle bibitte?" ( as-tu vu le bel insecte?), n'y voyez rien d’offensant, fort à parier que ça concerne un papillon ou une importune nuée de mouches. Le titre, pour sa part, réfère à une taille imposante ou impressionnante ( ou les deux), "C'est gros en bibitte!" même si les termes [ C'est gros en...] "tabarouette", "mautadine", "ti-pépère", "tas", sont plus utilisés dans ces cas-là.





Un roman riche en action et en humour pour nos lecteurs de 8-9 ans+ du lectorat intermédiaire.
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Chroniques de Molochville

« Je sais maintenant que personne ne survit à Molochville. Même pas moi. »



Oh que j’aime ce concept ! Quatre récits d’horreur, rapides, punchés, efficaces, dégueulasses, quatre plumes habiles pour susciter l’angoisse… un réel bonheur, d’autant que le cadre, avec cette ville sombre qui semble être le théâtre de nombreux phénomènes étranges, est idéal et que les auteur.rices ont tous fait des choix forts différents dans leur mise en scène.
Lien : http://sophielit.ca/critique..
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Chroniques de Molochville

Incontournable Septembre 2023





Version courte:





Petite ville québécoise où le sinistre côtoie la pauvreté, Molochville n'a pas volé son nom. La nuit y est terrifiante, mais le jour y est traitre. Il s'y passe des évènements étranges, certains issu d'heureux mariages entre comportement à risques et forces maléfiques latentes, d'autres à la frontière de la psyché et du "monde en dessous" (#bienvenuauxenfers). On ne sait pas très bien où se situe le cauchemar du véritable crime, où le surnaturel et le réel s'amusent à se chevaucher. Certains évènements trouveront des réponses, mais pas tous. Bienvenue à Morlochville, là où les adolescents ont une espérance de vie en chute libre et une santé mentale en péril! Un roman terrifiant en quatre temps par huit mains habiles de la plume du registre épouvante de la littérature jeunesse adolescent québécoise. De quoi intriguer nos amateurs de sinistre, de frissons et de récits sanglants.





Version exhaustive:





Dans un premier temps, je mentionne que pour une fois, j'aime beaucoup la couverture de l'un des livres de la maison Les Malins. En matière de couvertures pour les romans Horreur, c'est une de leur force. Par contre, je déplore une faiblesse notable sur l'objet: Le roman est très mou et sa couverture a une texture fragile sans le moindre vernis ou renforcement cartonné, deux points faibles qui me rappellent les romans de Parc d'En Face, leurs plus récentes éditions pour les jeunes adultes, elles aussi molles et fragiles. Disons que je m'inquiète quand à leur durabilité.





Récit en quatre temps, donc, pour ce recueil de nouvelles. Elles prennent toutes place dans la même petite ville paumée et défigurée par une zone inachevée ( Oh, sympa comme idée!). Et aucun personnage ne s'en sort indemne. Du moins, indemne physiquement ET mentalement, si ce n'est pas carrément mort. Tous des adolescents et des adolescentes. Certains détails reviennent dans les autres histoires, ce qui implique un degré minimal de sinistre collaboration entre ces quatre plumes horrifiantes. Certaines histoires sont plus ou moins explicables, mais certaines comportent des éléments sans réponses (Oh, petits frissons!). À travers les éléments gores et les entités machiavéliques, on a un peu de tranche-de-vie, nos ados ne sont donc pas juste des agneaux à abattre dans un gros jeu sanglant, il y a de la substance chez eux.





Plus en détails, mais sans divulgâches:





INVASION ( Patrick Isabelle):

Lennox a seize ans et depuis près de trois ans, lui, sa sœur aînée et leur mère vivent dans cette ville glauque de Molochville, dans son centre-ville. À comprendre: ils habitent les quartiers pauvres. Shelby, ladite grande sœur, a échoué sa cinquième secondaire par un malheureux cours de math, et la maman se remet de son divorce. C'est donc pas trop la joie entre leurs murs restreints, disons. Halloween approche et en principe, Lennox doit le passer avec sa meilleure amie et complice meilleure amie Kayla, même si le plutôt-con-mais-plutôt-cute Étienne Dubé l'a invité à un party qui se compose du gratin de la population ado ( Pas difficile: Tout le monde y est présent). Seulement, quand Lennox rejoint son appartement, où sa soeur vit une petite déprime et où sa meilleure amie le félicite ensuite d'avoir bien réagit. C'est alors que Shelby pousse un cri: Dehors, cinq personnes en chienne de travail orange, portant des masques de clowns et des outils contondants, les regadent à travers la fenêtre. Et pour ne rien aider, Etienne Dubé, dans son costume de Thor, sonne à la porte, en disant à travers elle: "Ouvre moi s'il te plait. 'Y a du monde bizarre dans ton coin".





Avec cette nouvelle là, impossible de dire si on nage dans un délire particulièrement sadique ou dans un jeu particulièrement sadique d'entités malveillantes, mais c'est glaçant, quand même. Ça sort de nul part, sans raisons particulières, sans autre finalité que celle de faire du mal. Beaucoup de mal. Le côté horrifiant me semble venir du fait que c'est de la pure cruauté gratuite ou une psychose troublante, même si je penche pour la première option, et que peut importe ce qui est "vrai", le fait est que des gens sont morts et qu'ils ne seront jamais vengés ou même commémorés.





AUTOURS DU GOUFFRE ( Véronique Drouin)

Rosalie chancelle au bord de sa vie. Sa mains tremble, son coeur se noie, la pression l'asphyxie. Enfant unique poussée toujours plus loin sur le long et dur chemin de la gloire musicale, Rosalie ne vit pas comme les autres ados. Il faut que l'investissement paie, après tout. Le seul rayon de lumière dans sa vie est son chien, Macadam ( comme la noix!). Elle habite le secteur inachevé de Molochville, autant dire que sa famille est isolée du reste du monde. Dans ce secteur fantôme, elle trouve refuge souvent dans la forêt, pour promener son chien. Dans cette forêt se rassemble aussi son ancien ami proche, le grand Jacob, et ses deux "amis" plus décoratifs que réellement fraternels, dont le pas très fréquentable et stable Liam. Mais il y a aussi une drôle de brèche nauséabonde et très...organique? Qui, comme par hasard, semble de trouver non loin de l'endroit où Rosalie a vu son précieux chien, avant de le perdre subitement en jouant à la balle. Dans ces bois, Rosalie va côtoyer la monstruosité, peu importe sa forme...







L'enfant piégé par des parents ambitieux et hélicoptères, au point de devenir transparent et sans gout, ça m'a toujours semblé d'une grande cruauté. Traiter son enfant comme une compagnie, ça ne devrait même pas exister, mais ça existe. Rosalie se désincarne, ni plus ni moins, à travers un instrument de musique, devenu aussi lourd qu'un boulet. Ça c'est le volet psycho noire de la nouvelle. Pour le second, on est dans les bois, avec ce trio dépareillé et cette brèche avide de vie. Un parallèle à faire, s'il en est, entre l'avidité sans limites des humains et celle de cette chose sans nom qui draine tout ce qui vit dans la forêt? Je veux bien le croire. Il existe aussi un certain degré de corruption dans cette histoire, avec le personnage de Liam, lui aussi désincarné, mais qui le manifeste d'une manière totalement différente de Rosalie et pour qui, le rem;de à sa souffrance semble trouver réponse dans plus de souffrance... chez autrui.





DEMAIN LES TÉNÈBRES ( Jocelyn Boisvert)





Eli est trainé de force ( façon de parlé) par son meilleur chum, Danyck, au party du "gars populaire auto-proclamé" Louis-Simon Durocher ( qui est d'ailleurs cité dans les autres nouvelles, ouvrez l'oeil). Ce dernier leur propose des macarons fait maisons assaisonné de "champignons magiques" ( champignons qu'on a entraperçu dans "Autour du gouffre", juste sur le bord de la brèche vorace et maléfique, ça vous sonne une cloche?). Éli, Danyck et deux filles, Jeanne, plus jolie fille du coin à ce qu'on dit, et son amie Marie, sont les quatre ados choisi par L-S.D pour essayer les macarons, mais Éli en a prit un sans savoir au préalable qu'ils étaient "enrichies". Le quatuor quitte pour flâner dans les rues et le trip commence. Délires transcendants, hallucinations miraculeuses, émotions et béatitude, c'est la totale! Sauf que la contre-partie est dure sur le système. Éli a du mal à rester éveillé, c'est la dérape à l'école et son corps proteste ouvertement contre le traitement que la drogue lui inflige. Sauf que ça, ce n'est que le début. La suite est pour sa part l'exact opposé de la première partie ultra-trippante. Durant les prochaines heures, ce n'est pas que ses yeux qui lui envoient des images de plus en plus morbides, mais les quatre autres sens aussi. Comment se repérer quand le monde autours devient littéralement "l'enfer sur terre"?





C"est un "lendemain de veille" difficile pour nos ados intoxiqués, mais qui prend la tournure contraire du premier "trip". On vit la psychose de l'intérieur, au final. Y a d'ailleurs pas de hasard dans le nom du gars responsable de la distribution des macarons aux champignons, "L-S.D", la drogue hallucinogène qui porte la même forme contractée ("diéthyllysergamide" de son petit nom), un psychédélique hallucinogène et psychostimulant. On oublie de dire que les hallucinations ne sont pas que visuelles, elles sont aussi sonores, olfactives, gustatives et tactiles. Ça fout quand même la chienne de savoir que les cinq piliers qui nous permettent de se repérer dans notre environnement sont rendu détraqués. Ici, Eli a même des hallucinations dans son sommeil, son répit n'est nul part, tout est une menace en permanence et tout le monde est une menace potentielle. Ce vaste délire au psychédélique démoniaque a de quoi remuer, surtout quand, pendant ce temps, dans la vie réelle, il y a des répercutions directes à leur comportements à eux trois. Je dis "trois" parce que l'un.e d'entre eux n'est pas intoxiqué...et ça lui coutera cher...





"UN MILIEU OU IL FAIT BON VIVRE" ( Sandra Dussault)





À une époque, Molochville devait accueillir un tout nouveau quartier pour combler les besoins d'un essor économique dans la région. Cela dit, c'est sans compter les prédispositions nébuleuses et maléfiques qui semblent gangréner la ville de toute part, dont les nouvelles antérieures sont des exemples probants. Le contracteur a disparu, le projet est tombé à l'eau, les maisons, qui ont la beauté très relatives des projets médiocres mais accessibles, ne sont même pas toutes terminées. Il y a donc un quartier fantôme dans la ville réputé pour ses manifestations sinistres, pas de quoi fouetter un chat! Non?

On se réveille avec Romy, elle même réveillée par des coups. La mémoire lui revient par bribes et elle saigne de la tête. On l'a enfermée quelque part. Dans les séquences temporelles, on apprend par fragments que Romy est de ces ados blasé qui font des niaiseries un peu parce qu'il n'y a rien de mieux à faire. Leur plan foireux? Passer une nuit dans chaque maison inachevé du quartier inachevé, pour un total de 17 nuits. Il n'en reste qu'une, après des nuits tranquilles passées dans les autres maisons. Romy n'est pas spécialement enthousiaste, mais il y aura la présence d'une certaine jeune fille qui lui plait alors...Une dernière maison. Une dernière maison qui s'avère meublée. De meubles. Et de gens. Des gens plus très "frais", si vous voyez ce que je veux dire.





Attention, divulgâche repéré!!





Je l'avais vu venir celle-là et l'habituée des romans d'horreur espérait quelque chose de plus novateur. Pour le coup, des "tueurs en série fous", ça ne m'atteint plus beaucoup, d'abord parce que c,est très surfait, mais aussi parce que la folie a le dos large, surtout en matière de meurtres en série. La réalité, en revanche, est bien plus perturbante que ça. N'empêche, c'est Sandra Dussault, sa plume est efficace, la structure en fragment fait travailler le thriller bien mieux qu'une structure classique et continue, et reste que c'est une bonne idée de départ que de dormir dans ce très sinistre quartier délaissé et à moins terminé. Je dis juste que ça aurait pu être beaucoup d'autres choses qu'un repaire de tueur fou.









Honnêtement, on pourrait continuer les chroniques de cette ville où tout ce qui est malveillant converge commodément, telle la cours arrière du Diable. Avec de nouveaux auteurs peut-être? Avec des rappels des 4 histoires présentées ici? C'est chouette, les rappels, ça donne un filon de continuité et de cohérence entre les nouvelles, c'est plus important comme détail qu'on veut bien le croire.

À la maison Les Malins: Bon travail pour la couverture!





Comme il s'agit de nouvelles québécoises, ne vous étonnez pas d'y trouver des expressions et des termes courants propres à la province, autrement, ce ne serait pas très crédible, surtout avec la charge émotive des personnages. J'aime beaucoup le traitement du papier, qui semble veillit et parcouru de fines rainures de papier plissé, ainsi que les pages de garde noires, ça confère au recueil un air plus sinistre.





Alors, avez-vous envie de vous glissez entre ces quatre histoires lugubres au risque de compromettre la sérénité de vos nuits?









Pour un lectorat initié aux romans d'horreur de 12-15 ans, sinon aux 15-17 ans et +.





Pour les bibliothécaires et profs: On a la présence de termes injurieux, de scènes graphiques sordides et de diverses formes de violences ( sexuelle explicite exclue).
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Mort et déterré, tome 2 : Pas de quartier pour ..

Yan, notre ado-zombie, qui décidément considère son état avec philosophie, tente de rabibocher sa famille partie à vau l'eau après sa mort, tout en étant pourchassé par son meurtrier qui aimerait bien l'occire une seconde fois, et si possible pour de bon.

Une suite très sympathique et rythmée, bien dans la lignée du premier volume, c'est-à-dire qu'elle en a les mêmes qualités (humour, histoire bien menée, un peu de réflexion pourquoi pas) et les mêmes défauts (découpage et enchaînements souvent trop petits et parfois hasardeux, surtout dans les scènes d'action.)
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Mort et déterré, tome 1 : Un cadavre en cavale

J'ai vu ce truc dans les mains de mon gamin, ça m'a rendu curieux.

Yan a tout pour lui : une famille aimante qui va s'agrandir, des copains qui l'aiment, il est beau gosse, il est drôle, il plaît aux filles... Le seul hic, c'est qu'il va mourir... et renaître à l'état de zombie.

Le scénario est osé et original, mais ça marche, du moins si l'on accepte de fermer les yeux sur le fait que le gars a l'air de plutôt bien le prendre, de se retrouver en mort-vivant... ses potes aussi, d'ailleurs !

C'est bien mené, bien dessiné, ça va à 100 à l'heure, et malgré le ton humoristique, ça n'occulte pas quelques sujets plus graves, comme le cataclysme que la perte d'un enfant provoque dans une famille.

On regrettera tout de même parfois des cases trop petites et trop nombreuses et un manque de clarté de temps à autre dans l'enchaînement, notamment des scènes d'action.
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Mort et déterré, tome 1 : Un cadavre en cavale

J’ai découvert grâce à mon ado que THILLIEZ écrivait aussi des BD pour les jeunes. Alors forcément, comme elle avait emprunté cette série de 6 Tomes, je ne pouvais pas faire autrement que de la lire. C’est addictif cette histoire de jeunes gens qui entrent dans les rêves pour trouver l’origine d’un mal, d’un traumatisme. Les 4 premiers tomes auraient cependant été suffisants, l’histoire évolue ensuite pour devenir moins intéressante, peut-être parce que l’on connait le principe ou que la méthode est appliquée à l’hypnose, et que j’y ai moins trouvé d’intérêt. Les dessins ne croulent pas sous le détail, cela semble vite exécuté mais c’est efficace.

Bonne série

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Mort et déterré, tome 3 : Les derniers jours d'..

Voici mon retour de lecture sur la bande dessinée Les derniers jours d'un zombie, dernier tome de la série Mort et déterré.

Yan Faucher, 13 ans, est un ado qui se fait accidentellement poignarder par un dealer.

Un an après son inhumation, il se réveille et arrive à quitter son cercueil.

Il décide de mener une double quête : retrouver son assassin et reconstruire sa famille en pleine décomposition depuis son décès.

Avec l'aide de son pote Nico, un fan d'histoires de zombies, et d'Alice, une amie spécialiste en maquillage secrètement éprise de lui, Yan va mener l'enquête et retrouver sa famille.

Mais, dans ce tome trois, tout devient encore plus compliqué pour lui car il est de nouveau confronté à la mort !

Les derniers jours d'un zombie est un tome dans la lignée des deux premiers : coloré, réussi, avec beaucoup d'actions. Avec Yan et ses amis, ça décoiffe !

Ce tome ci est un peu plus grave car les auteurs s'attardent sur les conséquences liées à la mort de l'adolescent : l'alcoolisme du papa, le besoin de vengeance, la mort d'une autre personne et le besoin de la ramener à la vie..

Le bilan de ce retour n'est pas joyeux même si l'humour est toujours présent ici mais beaucoup moins que précédemment.

Le changement de ton m'a surpris, je l'avoue, même si j'ai apprécié ma lecture.

Par contre, cela s'annonce comme une trilogie mais la fin laisse présager une suite. Un nouveau cycle, peut-être ?

Ma petite déception vient de la fin, j'aurais préféré que ça s'arrête là. Je ne suis pas certaine qu'un nouveau cycle soit nécessaire, à voir :)

S'il y en a un, je le lirais par curiosité, pour voir où les auteurs vont nous emmener.

Je vous invite à découvrir cette série, très bien conçue.

Les derniers jours d'un zombie est une bande dessinée qui m'a plu dans l'ensemble et je la note trois étoiles et demie :)
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Mort et déterré, tome 2 : Pas de quartier pour ..

Voici mon retour de lecture sur la bande dessinée Pas de quartier pour les macchabées, seconde tome de la série Mort et déterré.

Réfugié chez son pote Nico, Yan, le zombie, se rend compte qu'il ne peut pas mener son enquête avec sa tête de déterré.

Il part donc chez Alice, son amie spécialiste en maquillage, pour qu'elle lui rende un visage un peu plus humain.

Mais en chemin, il se fait alpaguer par deux mecs qui vont à une fête costumée.

C'est le début d'aventures qui vont faire que.. poursuivi par la police, Yan n'est pas près de goûter au repos éternel..

Ayant bien aimé le premier tome de la série Mort et déterré, c'est avec plaisir que je me suis plongé dans Pas de quartier pour les macchabées.

Yan est un adolescent décédé dans des circonstances tragiques car il a été poignardé. Au bout d'un an, il est déterré par son meilleur ami quand ce dernier se rend compte que Yan peut communiquer de son cercueil !

Yan ne peut pas revenir chez lui alors il s'installe chez Nico mais cela ne va pas être facile à gérer. Le zombie pu, soyons honnête lol Et surtout, il perd sa peau ! On est loin du glamour ;)

Il va donc faire appel à son amie Alice et ses talents de maquilleuse mais rien ne va se dérouler comme prévu, pour mon plus grand plaisir de lectrice :)

J'ai aimé qu'il y ai énormément d'actions, on ne s'ennuie pas une seconde.

Les personnages sont toujours aussi attachants et il amusant de constater à quel point il n'est pas évident d'être un zombie.

Ce second tome est toujours autant bourré d'humour, avec des dessins et une colorisation très réussies.

Je suis ravie d'avoir emprunté le tome trois en même temps que le deux :)

Je vous conseille Pas de quartier pour les macchabés que j'ai apprécié et note quatre étoiles.
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Même pas peur ! Marée rouge

J’aime beaucoup l’imagination « horrifique » de Jocelyn Boisvert, particulièrement quand il part dans des délires (contrôlés) où les morts pleuvent (comme dans Les moustiques ou La nuit des chats zombis, par exemple). Ici, on n’est pas dans une telle intensité, mais il y a quand même quelques cadavres… et cela sert le récit
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Mort et déterré, tome 1 : Un cadavre en cavale

Une petite BD sympathique où l'on suit Yan, 13 ans, ado bien dans sa peau qui, sur le chemin de la maternité pour accueillir dans sa famille sa nouvelle petite sœur, est poignardé par un voyou quand il a voulu intervenir dans une bagarre. Il est mort. Ou plutôt son corps est mort. Mais son esprit est resté enfermé et après un an à s’ennuyer dans son cercueil, Yan décide de sortir, d’aller voir comment va sa famille et de rencontrer sa petite sœur. Mais tout ne va pas se passer comme il l’espère…

C’est drôle, touchant mais léger. De la jolie bd jeunesse, pas prise de tête. Je lirai le tome 2 à l’occasion !
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La ligue des (pas si) champions: Basil

Il aura fallut attendre un petit moment avant d'enfin recevoir des exemplaires du premier tome pour achever ce livre et ça valait la peine! C'est le récit très sympathique et touchant d'un jeune homme de 11 ans qui subit une amputation.





Basile Beauchamps quitte Saint-Isidore pour Montréal, passant de la campagne à la ville. Sa mère s'est trouvée un travail de rêve dans un musé et ce sera l'opportunité pour Basile de parfaire son talent pour le piano dans une école spécialisée en musique. Les choses prennent une tournure inattendue quand Basile se fait pousser sur une route par un voleur amateur, et se fait rouler sur le bras droit. Le jeune homme de onze ans perd donc l'avant-bras et la mains. Effondré, Basile perd tout intérêt pour la musique et même pour à peu près tout, au grand désarrois de ses parents, qui se sentent impuissants. Deux semaines d'isolement plus tard, Basile remarque devant chez lui un Golden Retriever morose...qui a trois pattes! Encouragé par le maitre d'Achille, ledit chien, Basile commence à l'amener au parc pour se balader. Ils y feront la connaissance d'Enzo, Aïssa et plus tard, Miguel. Amateurs de soccer (Football pour nos amis européens), les quatre pré-ados deviendront amis. Derrière leur intérêt commun, ils se découvriront aussi des enjeux sur lesquels ils se montrent solidaires.





C'est un histoire aussi amusante que touchante, qui m'aura arraché autant des rires que des soupirs compatissants. Basile est le premier personnage que je croise a vivre une amputation dès le début du livre et dont on va voir le cycle du deuil ( le premier personnage amputé revient au roman ado "Félicratie"). Comble de malchance, Basile est pianiste virtuose et deux mains sont généralement requises pour exécuter les mélodies. Ce sera intéressant de voir comment il va s'en sortir avec une mains, parce que ça reste sans doute possible. Dans ce premier tome, Basile est au début de son deuil. Colère, désespoir, sentiment d'injustice, la garçon en voit de toutes les couleurs et fait même des rêves au sujet de sa mains. Ce qu'il a besoin, surtout, c'est de temps et d'écoute. L'arrivé d'Achille vient changer la donne. Non seulement est-il un exemple sans équivoque que vivre avec un membre en moins est possible - en atteste ses qualités au soccer malgré ses trois pattes - Achille est aussi un facteur de résilience. Sa présence, son écoute et sa grande empathie font de lui un excellent confident et une présence réconfortante. On ne le dira jamais assez: Les animaux sont des partenaires de guérison et des intervenants à leur façon. La zoothérapie sert toute sorte de groupes de nos jours, des militaires traumatisés aux enfants anxieux, des aînés isolés aux épileptiques qui ont besoin de faire détecter leurs crises.





L'arrivé des trois autres membres de leur groupe aussi est un facteur de résilience pour Basile. D'abord, il y a eu Enzo et Aïssa, qui ont l’habitude de jouer au soccer dans ce parc contre toute sorte de jeunes, plus vieux ou plus jeunes. La culture du sport de rue est bien réelle et dans nombre de pays, je remarque que le soccer est même culturel, dans les rues. Il faut dire que c'est un sport accessible qui ne requiert qu'un terrain et un ballon. Ça me faisait plaisir aussi de retrouver ces jeunes qui sortent dehors pour jouer, autrement qu'avec des écrans. Leur enthousiasme est contagieux.





Enzo est un petit bonhomme trapu et pas bien grand qui a l'humour un peu noir et sarcastique, mais qui a bon fond. Il gère mal sa colère, bien souvent, mais je remarque que cette colère sert aussi à s'indigner devant la discrimination. Il s'est d'ailleurs lié à Aïssa après l'avoir défendue contre des enfants qui se moquait de sa couleur de peau, foncée comme le café. En outre, Enzo est l'un de ses jeunes qui enchainent les familles d'accueil, parce que "ses parents sont hors d'usage" et ont du être "renvoyé à l'usine pour être réparés". En clair, ses parents ne sont pas disponibles pour prendre soin de lui.





Aïssa est une excellente joueuse de soccer et a une famille recomposée hétéroclite. Ils sont six dans un appartement 4 et demi ( le nombre de pièces). Il semble y régnait une vrai joie. J'ai hâte d'en savoir plus sur cette représentante féminine.





Miguel arrivera plus tard. Hispanophone, vivant avec sa maman qui a des soucis de santé, Miguel vieillit plus vite que les autres parce qu'il a des préoccupations d'adulte. Miguel a un don avec le ballon blanc à pentagones noirs, dont il se sert pour ramasser de quoi appuyer financièrement sa maman en se produisant dans la rue avec son ballon. C'est ainsi que Basile fait sa rencontre. Miguel vit dans une situation de pauvreté extrême, mais il a une joie de vivre elle aussi contagieuse. C'est la technologie qui permet d'échanger avec lui, mais Basile commence à parler espagnol et je suis sure que Miguel va améliorer son français grâce à son nouveau réseau d'amis francophones.





Mention aussi à Achille, un chien très empathique comme le sont souvent les Golden Retriever, partenaire de soccer comme de conversations pour Basile, ainsi que Clémentine, qui cherche à épauler Basile, après voir constater son grand talent. On n'a pas besoin d'avoir été soi-même victime du mauvais sort pour être capable de compassion envers ceux et celles qui vivent des situations difficiles, Clémentine nous l'illustre bien.





On l'aura comprit, les personnages ont tous des béquilles dans leur vie, certains sur le plan social, d'autre économiques et d'autres d'ordre du handicap physique. Il sera donc question de solidarité face à l'adversité, mais aussi de se compléter dans leur adversité. Malgré leur enjeu respectif, les personnages se mobilisent les uns pour les autres et en cela, ils sont formidables.





Le deuil est bien présenté dans ce roman. Déni, colère, désespoir, acceptation, compromis, les divers éléments du cycle du deuil sont présents et fluctuent selon les jours. Basile pense avoir perdu sa passion en perdant son bras droit ( son bras dominant), c'est donc d'autant plus pénible pour lui. La situation familiale s'en trouve perturbée, par ailleurs. Basile en était rendu à penser que ses parents allaient se séparer, comme bon nombre de couples d'aujourd'hui.





L'histoire en elle même est simple: C'est celle d'un garçon qui perd son bras et se découvre une nouvelle passion à travers de nouveaux amis. Cela dit, il y a pleins de thèmes pertinents, les représentations sont très intéressantes pour les personnages, avec leur diversité ethnique, leur modernité et leurs qualités interpersonnelles.



Attention, divulgâche!



C'est un roman bien écrit, drôle et étonnamment profond, sur une situation de handicap encore trop peu présente dans la littérature jeunesse et des enjeux sociaux eux aussi peu exploités. Le roman s'achève sur la formation d'une équipe de bras-cassés ( oh le jeu de mot!) avec un nom un peu infantilisant ( Les Montgolfières ( "En un mot ou en deux mots?-Enzo) ou selon la perceptive d'Enzo, de circonstance, qui vont devoir jouer contre une équipe clairement avantagée et dans laquelle se trouve le voleur qui a poussé Basile dans la rue et provoqué son accident...Cet aspect de clivage dans le sport est bien réel et les raisons sont autant sociales que financières.





À mettre autant dans les mains des amateur et amatrices de sports que des Lecteurs et Lectrices qui apprécie les histoires d'amitié et d'enjeux sociaux.



À voir!



Pour un lectorat du second cycle primaire, 8-9 ans+.
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Mort et déterré, tome 3 : Les derniers jours d'..

Dernier tome de la trilogie de Jocelyn Boisvert.

Yann est de nouveau confronté à la mort, mais pas la sienne cette fois et fera tout pour réitérer le miracle de s résurrection.Amis et famille vont s'unir pour l'aider à sauver Alice et à échapper à leur assassin.

Autant j'ai adoré le premier tome, autant je trouve que la série perd en qualité niveau scénario au fil des albums. cela reste une lecture sympathique mais ce n'est pas un coup de cœur pour moi.
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Mort et déterré, tome 1 : Un cadavre en cavale

A la bibliothèque, j'ai emprunté la bande dessinée Un cadavre en cavale, premier tome de la série Mort et déterré.

Yan Faucher, 13 ans, est un ado comme un autre. Il est très heureux car il va avoir une petite sœur d'un jour à l'autre. En plus, avec son pote Nico, il est prêt à lancer son grand projet : commencer le tournage de son film de zombis !

Mais alors qu'il se rend à la maternité pour rejoindre toute sa famille et fêter l'heureux événement, il tombe sur une discussion animée entre un dealer et son jeune client. Il se fait accidentellement poignarder. Il meurt sur le coup. Toute sa famille est anéantie.

Mais , allez savoir pourquoi.. son âme a décidé de ne pas le lâcher. Il continue à penser et il arrive également à bouger.

Grâce au clairon que son petit frère a glissé dans son cercueil, il arrive à attirer l'attention de son copain Nico qui décide de l'exhumer.

Aider de ses amis, Yan va mener une double quête : retrouver son assassin et reconstruire sa famille en pleine décomposition depuis son décès.

Un cadavre en cavale est une bande dessinée pour ados mettant en scène un jeune garçon qui est mort, mais qui pourtant pense et peut encore bouger. Un zombie, en quelque sorte.

Je ne savais pas trop à quoi m'attendre en lisant cette bande dessinée pour ados, et j'ai été agréablement surprise.

Le début m'a fait mal au cœur car Yan a tout pour lui, mais un malheureux concours de circonstances fait qu'il perd la vie, à seulement treize ans alors qu'il vient juste de devenir de nouveau grand frère. J'ai trouvé ça très dur.

Certains passages sont tristes, et montrent la difficulté qu'a la famille ou encore le meilleur ami de faire son deuil.

J'ai aimé le fait que ce jeune garçon revive, en quelque sorte, pour aider les siens à supporter sa perte et aussi pour retrouver son assassin.

Même si certains passages sont touchants, il y a aussi beaucoup d'humour dans cette BD. Par moment il est impossible de ne pas sourire.

J'ai beaucoup aimé les dessins et la colorisation. Je m'attendais à quelque chose de moche par moment, vu que Yan devient un mort vivant. Mais non, ça va, j'ai vu bien pire :)

J'ai bien aimé ce premier tome et si j'ai l'occasion, j'emprunterais la suite.

Ma note : quatre étoiles.
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Mort et déterré, tome 2 : Pas de quartier pour ..

Yann va trouver de l'aide auprès de ses amis. Mais, un zombie ne passe pas vraiment inaperçu dans une petite ville tranquille.

Et partout où Yann passe, la catastrophe est annoncée.

Mais le danger le guette, car son tueur est à ses trousses et ne le lâchera pas



.

Deux 1ers volumes prometteurs, qui captent bien l'attention du lecteur.

BD jeunesse très agréable à lire .

Les dessins et l'histoire contribuent au suspens qui monte en intensité au fur et à mesure. On a envie de connaître la suite et on s'attache à notre petit zombie.

L'humour est bien présent et atténue le côté dramatique.



J'ai complétement été happée et je vais m'empresser de lire le dernier volume de cette trilogie romantico zombiesque qui tient le lecteur en haleine

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Mort et déterré, tome 1 : Un cadavre en cavale

Yann, jeune adolescent, a tout pour être heureux.

Oui, mais voilà, il est mort, mais bizarrement est resté vivant.

Il est devenu le héros de ses BD: un mort vivant !

Pourquoi est il mort me direz vous ?

Eh bien, on l'a tué !

Et le voici un an après sortant de sa tombe !!!



Un 1er volume sacrement accrocheur.

L'histoire est marrante mis tient en haleine.

Du suspens, de l'humour, tout y est pour capter le lecteur et ça fonctionne bien.

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Mort et déterré

Vous n’aimez pas les zombies parce qu’est moche, que ça fait peur et qu’il y a toujours plein de sang partout ?! Vous allez changer d’avis avec « Mort et déterré ». Le roman de Jocelyn Boisvert, paru aux éditions Fleurus, va vous réconcilier avec les morts-vivants. Déjà, parce que c’est drôle (triste à un moment certes, mais surtout drôle) ; ensuite parce qu’il s’agit d’un ado content de revenir sur Terre, de pouvoir à nouveau parler avec ses meilleurs amis et de tenter le tout pour le tout pour que sa famille apprenne à vivre sans lui.
Lien : https://commedansunlivre.fr/..
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La ligue des (pas si) champions: Basil

Un jeune pianiste prometteur voit sa vie bouleversée par un terrible accident... Comment pourra-t-il se remettre de la perte de son bras droit ? L’auteur Jocelyn Boisvert présente une série où brille la résilience, avec une touche d’humour et de sport.
Lien : https://www.journaldequebec...
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