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3.81/5 (sur 171 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) : 1974
Biographie :

Joe Meno est un écrivain, dramaturge et journaliste américain.

Après avoir fréquenté le Columbia College de Chicago, il travaille comme chauffeur livreur et professeur dans un centre de détention pour mineurs.

Il publie, en 1999, un premier roman intitulé "Tender as Hellfire". Il publie par la suite d'autres récits, notamment policiers, comme "Le Blues de La Harpie" ("How the Hula Girl Sings", 2001), un roman qui narre la difficile réinsertion d'un criminel dans une petite ville de l'Illinois. Il écrit également des pièces de théâtre et des nouvelles.

Il a reçu le prestigieux prix Nelson Algren 2003 et le Prix Transfuge 2018 du meilleur polar étranger pour "Prodiges et miracles" ("Marvel and a Wonder", 2015).

Il enseigne au Columbia College et collabore comme journaliste au magazine Punk Planet, au New York Times et au Chicago Magazine.

site officiel : https://www.joemeno.com/

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Joe Meno vous présente son ouvrage "La crête des damnés" aux éditions Agullo éditions. Retrouvez le livre : https://www.mollat.com/livres/2350389/joe-meno-la-crete-des-damnes Visitez le site : http://www.mollat.com/ Suivez la librairie mollat sur les réseaux sociaux : Facebook : https://www.facebook.com/Librairie.mollat?ref=ts Twitter : https://twitter.com/LibrairieMollat Instagram : https://instagram.com/librairie_mollat/ Dailymotion : http://www.dailymotion.com/user/Librairie_Mollat/1 Vimeo : https://vimeo.com/mollat Pinterest : https://www.pinterest.com/librairiemollat/ Tumblr : http://mollat-bordeaux.tumblr.com/ Soundcloud: https://soundcloud.com/librairie-mollat Blogs : http://blogs.mollat.com/
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Citations et extraits (57) Voir plus Ajouter une citation
Et donc, je te raconte tout ça parce que c'est pas grave d'avoir peur. Avoir peur, ça veut dire que t'es intelligent. Avoir peur, c'est ce qui te maintient en vie. On ne peut rien contre la peur. Mais avoir la peur au ventre en permanence, ce n'est pas une vie.
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Être punk, à l'époque, pour la plupart des jeunes, c'était une façon de s'habiller, pas quels disques tu écoutais – c'est peut-être encore le cas dans certains endroits, je sais pas. Tous les geeks, tapettes, intellos ou nazes du collège se mirent à s'habiller comme des clodos une fois passées les grilles du lycée – fringues déchirées, épingles à nourrice, maquillage et cheveux sales, et pas un n'avait entendu parler des MC5 ou des New York Dolls, mais ça leur donnait une identité de groupe et un peu de courage, peut-être. Les gamins qui avaient passé tout le collège à se faire casser la gueule quotidiennement, eh ben, maintenant, on les pointait du doigt, on se moquait d'eux, mais personne n'allait les emmerder, et ils ne seraient plus jamais obligés de se faire chier avec des connards.
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Bref, je maintenais un putain de silence de mort – un putain de silence de mort – la plupart du temps. J'étais un gosse timide et j'avais peur de passer pour un naze quand je parlais, alors je ne disais presque rien. J'étais la troisième roue. La cinquième ? J'étais la putain de roue dont on n'a pas vraiment besoin, mais j'étais toujours dans le coin. Je me disais qu'un jour mon silence impressionnerait peut-être quelqu'un. Jusque-là, il ne m'avait pas servi à grand-chose.
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Putain. C'est stupéfiant. C'est pour ça qu'ils ont perdu la guerre de Sécession. Y a un truc dans leur façon de penser. Regarde-moi ça. Franchement, ils ont une prédisposition psychologique pour la tragédie. Y a pas de panneaux de signalisation dignes de ce nom. Nulle part, putain. En même temps, pourquoi se casser le cul à installer des panneaux si on sait d'avance qu'on va se paumer avant d'arriver où que ce soit ?
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Cette fille était une fleur à tige d'or parmi les mauvaises herbes d'un marécage asséché.
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Milford ! siffla Mme Dulaire. Tais-toi ! Je t'en prie, Luce, il faut excuser M. Dulaire. Il n'est plus le même depuis qu'on lui a retiré son permis de chasse.
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Ce bus avait l'odeur sucrée du sommeil.
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Je me dis juste que... Putain, ça ferait du bien, une fois de temps en temps, d'être traité comme un môme.
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(...) Incapable de penser à autre chose que Dorie -ses cheveux, ses mains, son visage-, fredonnant cette chanson de David Bowie, sans connaître vraiment les paroles, à part : « cha-cha-cha-changes, turn and face... » Je ne savais pas ce qu’il disait après, alors je chantais « turn and face the day » parce que c’était le début d’une nouvelle journée de cours, même si plus tard j’ai découvert que la phrase était en fait : « turn and face the strange », ce qui aurait aussi marché, si j’avais su.
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Il avait ses jeux vidéo, les animaux exotiques qu'il tentait d'élever - des serpents, des lézards, un hérisson confinés dans une douzaine de vivariums à demi-éclairés disposés sur des étagères basses aux quatre coins de la pièce -, sa solitude infinie et sa colle à sniffer.
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