L’Histoire peut se passer d’annexes. Les notes de bas de page sont au mieux superflues. Au pire, elles font trébucher le grand récit. De temps à autre, paraissent des éditions plus audacieuses, plus dépouillées, l’Histoire se débarrasse de quelques notes. On comprend pourquoi… L’Histoire a les mains pleines. elle ne peut s’empêcher de produire des pages à l’heure, à la minute. Elle s’étrangle avec les épisodes récents et digère les plus anciens. (…) Une autre page, une autre annexe. Ici, l’encre ne sèche jamais