Puis elle ouvrit la porte. Jeta un bref coup d’œil par l’entrebâillement. Recula en sursaut, effrayée par ce qu’elle aperçut. Il fallait être fou pour rêver d’un sabbat mêlant sorcières, vampires, zombies et loups-garous !
[...]
Les univers oniriques étaient comme des miroirs déformants. S’ils rendaient un reflet tronqué de la réalité, ils ne s’en éloignaient guère pour autant. Chacun peuplait ses rêves des fruits de son expérience.