Johanna Lindsey

Je n'avais pas du tout aimé le premier tome. Celui m'a un peu moins déplu.

J'avais sans doute moins d'attente que pour le premier, mais j'ai aussi trouvé que l'intrigue était un peu moins tortueuse avec moins d'invraisemblances (on a quand même le droit cette fois encore à un enlèvement par erreur !).

Les personnages ne sont pas très attachants, chacun se campant sur ses positions ce qui rend difficile tout rapprochement. Et la plume de Johanna Lindsey ne m'a pas tellement plu non plus. Je trouve qu'elle enchaîne trop vite les péripéties sans prendre le temps de les développer correctement.



Comme pour le premier tome, j'ai lu le plus gros du roman en diagonal : rien n'a accroché mon attention pour me donner envie de me plonger vraiment dans le texte. Enfin bref, Lord Anthony est loin d'être une lecture satisfaisante et j'arrête là avec la famille Malory.

Il y a longtemps que je n'avais pas aussi mal choisi une romance historique : le résumé est très tentant mais le contenu m'a vite refroidie...



Les personnages ne sont pas attachants du tout.

Reggie, l'héroïne, a tout d'une gamine trop gâtée par sa famille : exigeante, trop sûre d'elle, imposant ses opinions, s'entêtant à conclure un mariage que tout le monde lui déconseille à commencer par le fiancé, un homme qu'elle connaît à peine (les deux héros passent d'ailleurs très peu de temps ensemble tout au long du roman).

Nicolas, le héros, est encore moins sympathique et son comportement est parfois assez limite. Déjà l'enlèvement qui ouvre le roman est discutable mais on va dire que c'était un moyen original de faire se rencontrer Reggie et Nicolas. Mais ensuite, il cumule les inconvenances et les lâchetés que rien ne vient rattraper : ni charme, ni geste élégant, ni rien...



Les grandes lignes de l'intrigue sont assez classiques avec un mariage rendu nécessaire par un scandale puis des secrets qui menacent de tout gâcher. Mais le récit est truffé de petites péripéties peu crédibles ou trop rocambolesques (le jeune femme se fait quand même enlever deux fois par erreur...).



J'avoue que j'ai lu la seconde moitié du roman en diagonale et je n'ai pas eu l'impression de rater quoi que ce soit...

Et j’ai encore bien ri :-)



Faut dire que perdre une princesse bébé au fin fond de la Louisiane et la retrouver, souillon, tenancière de taverne une vingtaine d’années plus tard, c’est pas à la portée de tous. Et pourtant, le futur roi de Cardinie, le héros assez soupe au lait de cette aventure, va la retrouver sous son déguisement assez repoussant. Jusque là, tout va bien, c’était le plus facile mais notre jeune fille n’est pas née de la dernière pluie et il ne faut surtout pas lui conter des féeries, elle n’y croit pas ! Et le combat commence entre deux caractères robustes et résolus et c’est vraiment drôle :-)



Si le côté historique n’est présent que pour le décors, l’auteure s’est vraiment amusée dans l’écriture de son récit qui allie le roman de ‘cape et d’épée’ à la romance. Une belle réussite et un des ‘introuvables’ qui mérite le détour :-)

L’intrigue se déroule en 1152 au moment où en Angleterre se déroule une guerre entre deux prétendants au trône Mathilda et Stephen. Cela peut expliquer en partie la violence de Warrick de Chaville et celle de Gilbert d’Ambray car ils ne sont pas dans le même camp. Après cela n’explique pas la cruauté du personnage masculin envers Rowena sauf si on sait que les premières romances historiques parues dans les années 80 -90 mettaient en scène des héros (si on peut dire) forçant pour ne pas dire violant à tour de bras les héroïnes qui leur passaient dans les bras. Parmi les auteures rivalisant de cruauté, on trouve Rosemary Rogers. Johanna Lindsey se veut plus douce car, rapidement, on voit que Warrick regrette sans l’admettre son attitude avec Rowena. Mais ils sont enfermés dans une relation malsaine et il faudra à Rowena beaucoup de patience et aussi de fermeté pour reprendre les choses en main.

C’est donc une lecture qui peut déranger au départ, ensuite vous retrouvez un schéma fait d’amour et de haine. Ce que je trouve regrettable c’est le personnage de Gilbert, le demi-frère de Rowena qui aurait mérité un destin plus funeste après ce qu’il fait subir à Rowena.

Challenge Multi-défis 2019

Un livre ‘rouge’ comme je les aime !



La violence conjugale vue par une enfant et tout est différent, tout devient sujet à rejet et pourtant, il suffit parfois d’un autre regard pour comprendre. Un sujet difficile qui provoque une série de quiproquos parfois graves, souvent désopilants.



Ainsi, une lady, une héritière va refuser son statut de femme et revêtir l’habit de serf tout en se comportant comme la maîtresse des lieux et c’est pour le moins perturbant pour le fiancé qui vient la chercher avec des pieds de plomb, il faut le dire…



Une auteure qui ne se perd pas en digressions inutiles, une toile de fond parfaite à savoir la méfiance des barons envers leur roi peu fiable Jean sans terre, une bonne analyse des couples au Moyen-Age qu’ils soient aristocrates ou serfs, des personnages attachants qui évoluent au fil des pages et surtout beaucoup d’humour ; un moment de plaisir qui se lit bien trop vite :-p

J’ai adoré :-)



Ici, les méchants, les perfides, les vicieux ne sont clairement pas ceux à qui on pense en premier et du coup, le ton du roman en est tout chamboulé et c’est juste génial.



Une bande de gamins qui veulent faire comme leurs pères avant eux, une princesse qui veut juste se libérer d’un amoureux trop entreprenant, voilà nos Vikings en route vers un monastère anglais au lieu d’aller vendre leurs marchandises dans les comptoirs du sud et bien sûr, l’expédition tourne mal. Il y a des morts et surtout beaucoup de prisonniers et une princesse qu’il faut protéger et là aussi, à vouloir trop bien faire, nos vikings la pointent du doigt et elle devient l’esclave du maître anglais et les ennuis commencent.



Des anglais rigides, incultes et puritains face à des Vikings éduqués, solidaires et amusants, le combat est clairement inégal et la fin m’a fait beaucoup rire. Faut dire que l’amour tombe parfois là où il n’est pas attendu et ça provoque plein de quiproquos assez coquasses.



C’est bien écrit, plein d’humour et de tendresse et ça se lit bien trop vite :-)

Stefan doit monter sur le trône de Cardinie et épouser Tatiana Janacek à qui il a été fiancée alors qu'elle n'avait que quelques jours. Pour la sécurité de l'enfant, dernière de sa lignée, Tatiana a été envoyée en Amérique il y a une vingtaine d'années, aux bons soins d'une noble qui ne devait la ramener qu'une fois tout danger écarté. Stefan doit donc se rendre de l'autre côté de l'Atlantique pour récupérer celle qui doit être devenue une jeune femme. Sauf que rien ne se passera comme prévu...



Tous les ingrédients qu'on attend d'une romance sont ici réunis. Des personnages hauts en couleur, des dialogues piquants, de l'humour, de la mauvaise foi, des malentendus, des quiproquos et bien entendu, de l'amour.

Le contexte historique est plutôt survolé et sert surtout de prétexte à une folle épopée de l'Amérique aux portes de la Russie à l'époque où cela mettait des semaines.

Bien entendu tout est cousu de fil blanc mais c'est ce qu'on recherche en ouvrant ce type de roman.

J'ai vraiment bien aimé le personnage de Tanya qui ne s'en laisse jamais conter et dont les réparties m'ont souvent fait sourire.



La trame est construite en mode "conte" comme pouvait le laisser sous-entendre le titre et on peut donc y retrouver certains marqueurs du genre. Et c'est justement parce que l'héroïne n'a jamais cru aux contes de fées que cette lecture sera si enjouée.

Hé hé, pas mal du tout !

Pas récent et c'est ça qui fait son charme particulier. Il faut dire que les premiers livres rouges ont quand même un petit quelque chose qui manque aux récents… Peut-être juste la part romantique et aventureuse qui est remplacée maintenant par de l'érotisme pur et dur… Je vais approfondir la question pour ma prochaine critique d'une auteure « antique » du genre ;-)

Une belle plume, de l'humour, un zeste de mystère, un brin de dérision et des personnages super attachants ; voilà un roman réussi pour qui veut juste se distraire du train-train quotidien.

Bon, il faut quand même parler de la couverture… L'homme viril, puissant, basané et passant pour un métis est ici représenté par une sorte d'adolescent imberbe avec une plume dans les cheveux, trop drôle !

J'adore ma maman qui visite régulièrement les bouquinistes de sa ville pour nous trouver à moi et à ma plus jeune fille des livres rouges d'antan qui parfois ne sont même plus réédités ;-)

L’étoile est pour la traductrice. Je me demande encore comment on peut appeler ceci une romance. Je suis allé jusqu’au bout seulement pour espérer savoir qui en voulait encore à Tanya. Mais le reste c’est une vaste blague.

Pourtant, le résumé me tentait bien et semblait être comme beaucoup de livres de ce genre. Pas du tout. Tout d’abord le début, on découvre une Tanya qui travaille dans une taverne et qui ne sait pas qu’elle est une princesse. Tout ce qu’elle veut c’est être indépendante et gérer la taverne une fois que Dobbs sera mort. Stefan et ses amis arrivent et là le désenchantement total. D’une, la façon dont ils s’y prennent pour la convaincre est bancale et en plus les piques insultantes sur le fait qu’une employée de taverne se prostitue obligatoirement, c’est bien connu. Tanya fait tout pour fuir car elle ne croit pas leur racontar. S’ensuit violence physique, kidnapping, et par deux fois viol (tout de la part de Stefan). Personnellement, je suis persuadé que le consentement du personnage féminin est enterré dans un trou très profond au fond du jardin.

Mais il y a un cran au-dessus. Tanya que j’appréciais parce qu’elle faisait tout pour se battre et s’échapper, se met à éprouver des sentiments pour Stefan… Vive le beau syndrome de Stockholm des familles. Comment peut-on apprécier un homme sanguin, prompt à la colère qui t’a frappé, violé et qui t’insulte de prostituée juste sur une supposition. Et j’oublie son cousin Vasili qui n’est pas mieux pour les insultes à peine couvertes.

Pour conclure, cette lecture fut un fiasco total. C’est l’une des pires histoires que j’ai pu lire de ma vie. Et le fait qu’elle a 30 ans d’âge n’excuse rien.
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Dans le précédent tome introductif de cette famille attachante et amusante nous avions fais la connaissance des frères Malory et quels frères! De fieffés gredins dont chacune de leur apparition promettaient des scènes hilarantes et qui prenaient plaisir à mettre leur adversaires dans de fâcheuses positions. Nicholas Eden en aura d'ailleurs fait les frais pour notre plus grand plaisir. Sans compter l'aspect de leur personnalité des plus touchantes concernant leur facette protectrice et possessive envers leur famille. Des hommes qui malgré une réputation souvent douteuse ne sont pas dépourvus d'honneur.

Les personnalités m'ayant le plus marqué ont été les deux frères Anthony et James qui, malgré un physique étant aux antipodes l'un de l'autre et une année de différence, agissent comme de véritables jumeaux dans pratiquement tout ce qu'ils entreprennent, que cela soit lors de mauvais coup, dans leur raisonnements ou même en matière de femmes. L'autre caractère ayant détonné également fut Jérémy le fils de James très en avance pour son âge et étant une version plus jeune de son père. Avec des personnalités comme celles-ci je me suis donc vite hâtée de commencer "Tendre rebelle" avec pour héros ici un de mes trois favoris, Anthony.



Roslynn Chadwick, jeune Écossaise de 25ans vient de s'exiler à Londres après le décès de celui qui l'a élevé, son grand père. Suite à une promesse faite à ce dernier avant sa mort, Ros se doit de respecter les dernières volontés du vieil homme, épouser très vite un homme de qualité ainsi Roslynn se retrouvera sous la protection de son époux et son héritage sera à l'abri. Par crainte de se voir mariée de force à son très intéressé cousin Geordie Cameron, Ros a donc vite quitté son pays natal. C'est lors d'un bal de reconnaissance de bons partis que notre Écossaise fera la connaissance d'Anthony Malory, bien que totalement sous son charme Roslynn ne doute pas un seul instant que cet homme débauché ne lui passera jamais la bague au doigt, trop attaché à son indépendance et grand amateur de femmes, il est hors de question de s'attarder une seconde de plus avec lui, dommage...Ce que Ros ignorait cependant à cet instant c'est qu'on ne trouve jamais Anthony Malory où on l'attend...



Disons le de suite, j'ai apprécié cette lecture au même titre que le premier même si, "Tendre rebelle" a malheureusement possédé les mêmes défauts que "Le séducteur impénitent". Ce fut Nicholas Eden qui m'avait précédemment quelque peu agacé même s'il s'était heureusement très vite rattrapé avec Regina, ici le point faible se révèlera être Roslynn. Bien que l'on comprenne les motivations qui l'animent et la peur la rongeant lui dictant que la meilleure défense est l'attaque, cette héroïne m'a quelque peu voir assez souvent agacé. Avoir du caractère, refuser de se soumettre et craignant de faire confiance à Tony au vu de son passé de débauché est une chose, mais delà à devenir une vrai mégère butée, têtue jusqu'à se mettre des œillères en est une autre. J'ai donc été assez déçu par le choix de l'auteur concernant son héroïne, Tony aurait mérité mieux.

Heureusement la famille Malory a rendu tout de même ma lecture agréable, cette famille est toujours aussi attachante et désopilante au possible. J'ai été ravie de retrouver le couple Regina/Nicholas, la petite nièce prenant toujours plaisir à mettre son nez dans l'affaire de ses oncles, Jérémy marchant dans les pas de son père ainsi que James. L'oncle ancien pirate a presque joué le troisième rôle principal ici réussissant presque à évincer Ros. Apparaissant toujours au mauvais moment auprès de Tony et lançant toujours des remarques hilarantes dû a ses dernières observations objectives des situations. Chaque joutes verbales opposant James à son frère Tony furent un vrai délice d'amusement. Frères extrêmement soudés mais également de véritables rivaux sur un ring de boxe et même concernant les femmes. La pauvre Roslynn aura fort à faire face à ses deux prétendants qui ne la ménageront pas quant à être le premier à obtenir ses faveurs. Des passages assez cocasses qui nous révèleront par la même occasion qu'Anthony contrairement à son frère prendra la cour de la jeune Écossaise très au sérieux à sa grande stupéfaction. Cette personnalité a été fidèle à elle même, drôle, taquine, attachante, audacieuse, autoritaire et surtout inflexible, une fois s'être fixé un but Anthony ira jusqu'au bout et ce, quelque soit le danger. Le pauvre aura fort à faire avec la furie Écossaise, il fera preuve de beaucoup de patience et encaissera avec le sourire tout ce qu'elle lui fera subir avec l'espoir et intime conviction qu'un jour Ros lui cèdera et lui offrira sa confiance...



Un tome du même acabit que le précédent mais qui aurait mérité une meilleure héroïne, heureusement la présence d'Anthony, James, Jérémy et Regina pallie à ce défaut. Le prochain roman aura pour héros James et je ne cache pas que j'attends beaucoup de ce livre. Je croise les doigts pour qu'il soit encore, voir, bien meilleur que les deux précédents de cette saga fort agréable et hilarante.

Amateurs de romances avec des héroïnes fortes, loin du côté vaporeux des bals victoriens, ce livre est pour vous.

Kristen est tout sauf une faible femme prête à s'évaporer à la moindre émotion. Viking même si chrétienne, elle n'a peur de rien. Elle s'embarque en douce sur le drakkar de son frère pour fuir un homme trop entreprenant et pour aller un peu à l'aventure et se choisir un homme qui lui convienne. Mal lui en a pris, son frère part pour faire un raid au lieu du paisible voyage commercial. Bien sûr cela tourne mal et Kristen se fait capturer en voulant tuer le meurtrier de son frère lors d'une attaque.

Déguisée comme un garçon par les autres prisonniers, elle est vite repérée par les marques d'attention. Royce le chef saxon haïssant les vikings suite au massacre de sa famille et fiancée, ne restera pas inflexible face au charme farouche de Kristen. le duo est explosif dans ce contexte rude du IXeme siècle.



Le contexte est bien rendu, l'histoire bien amenée et rythmée. Les personnages sont à l'image de l'époque rudes et hauts en couleur. Une lecture rapide car une plume très fluide et plaisante à lire.

Deuxième livre que je lis de cette autrice, le moins que je puisse dire après avoir relu ma critique de l'autre livre c'est qu'elle ménage pas ses héroïnes. On est loin des romances tranquilles sous la régence.



Ici on est en 1176, lors de prises de pouvoir sur le territoire anglais. Les luttes entre les seigneurs, les changements à la tête des châteaux sont fréquents.

Lady Beatrix est une jeune femme délaissée par son père, ivrogne sous le joug de sa seconde épouse. Elle se voit contrainte par la force à épouser le nouveau seigneur du château voisin, dont la réputation est plus que déplorable.

Leur relation dès le départ est conflictuelle d'autant plus que Rolfe a conservé son ancienne maîtresse sous son toit. Les quiproquos s'enchaînent mais leur attirance mutuelle se fait assez vite. On est plus sur des non dits, des prises de tête à cause d'une maîtresse manipulatrice refusant d'être délaissée. Une bonne discussion réglerait tout, l'opposition est vite oubliée.

La plume est fluide, on a un peu tous les codes pour cette période du moyen âge. Mais je n'ai pas été plus emballée, il m'a manqué le petit plus pour m'attacher aux personnages. Ce n'est pas non plus ma période historique préférée.





Ressorti en harlequin sous le titre ainsi parle mon coeur

Les Mackinnon et les Ferguson se font la guerre depuis Dieu sait combien de temps. L’amour n’a jamais régné entre les Highlanders et les Lowlanders. Les événements se tassent, tout a l’air tranquille. Puis une nuit, une attaque des Ferguson contre les Mackinnon ravivent les flammes de la haine. James Mackinnon est bien décidé à faire payer les Ferguson pour leurs méfaits. Pour une ferme brûlée, un vol de bétail, les Ferguson tombent des nues devant cette attaque soudaine… Leur clan est plus petit, faible, il ne saura tenir bien longtemps face à ses raids. La solution se trouve peut-être dans le mariage. Le père Mackinnon serait prêt à offrir son aîné. Cependant, Sheena ne veut pas d’un mari que l’on compare au diable.



Jusqu’où les conduiront ses duels et ses batailles ? Les effusions de sang vont-elles perdurer ?



La rencontre entre Sheena et James est inhabituelle. Ses circonstances sont pour le moins cocasses et pleines de quiproquos. James est impétueux, colérique et bourru. Il ne résiste pas à la beauté enflammée qui lui fait face. Sheena est têtue presque autant que lui. Elle est raisonnable, intelligente et courageuse. En tout cas, elle est loin d’approuver sa prise d’otage chez les Mackinnon, mais cacher son identité est primordial. Si son identité est découverte, la légendaire fureur de James risquerait de devenir réalité.



Le début de cette romance est marqué par quelques erreurs de traduction. James est également appelé Jamie et pendant un instant, j’ai cru que c’était deux personnages différents. Après 30 pages, le doute s’est levé. J’ai aimé retrouver la plume et les manigances de Johanna Lindsey, même si j’ai encore le goût de la saga des « Frères Malory ». Celui-ci est un peu plus pâle, les personnages sont des montagnes russes entre colère et passion, mais l’attente et le comique sont moins de la partie.



En résumé : Cette romance est une fine alliance de l’émotion et de l’amour malgré quelques petites fautes de traduction. J’ai dévoré ce roman.
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j'ai un petit faible pour les romances historiques, la magie opère à mon sens encore mieux, Les couvertures avec les robes de princesses me font rêver. Pour autant la condition de la femme dans le milieu aristocratique anglais n’était pas toujours très enviable. Un monde d'hypocrites et de faux semblants, mais l'amour entre homme et femme malgré les mariages arrangés pointe quand même le bout de son nez.

Ici nous retrouvons tous les ingrédients d'une romance bien ficelée, tout est en place, le séducteur impénitent Nicholas, la jeune innocente, un peu d'érotisme des oncles bienveillants . Tout est bien cadré, tout est joué d'avance, pas de surprise, le lecteur sait pertinemment où va l'emmener l'auteure.

Voici donc le premier volet d'une saga plutôt prometteuse. le style de Johanna Lindsey est fluide, plaisant, agréable. Elle sait impulser de l’intérêt pour ses personnages charismatiques , hauts en couleur. Des dialogues piquants, drôles, des protagonistes aux quels on s'attache au fil des pages, mon préféré Reggie bien évidemment, avec son fort caractère qui mène tout ses hommes à la baguette,pour autant les personnages secondaires nous promettent de belles surprises, j'en suis persuadée

Lecture facile, moment de détente assurée, idéal pour déstresser et se vider la tête Un excellent moment de lecture.

Saga à suivre pour moi
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C’est le dernier de la série et tant mieux.

Déjà, ne cherchez pas pourquoi il est intitulé les frères Malory car ça fait un moment qu’on nage dans des eaux parallèles.

Mme Lindsey me donne vraiment l’effet de manquer d’imagination et de répéter à l’infini la même litanie : “bâteau – gentil pirate (enfin pas pirate mais ça fait mieux de dire que s’en est un) -beau gosse – belle jeune fille – James et son mauvais caractère “. Comme ce n’est pas une série à lire si on veut se marrer et bien, ma foi, ça a ses limites. Alors pour pimenter cet opus, il y a un très méchant papa, une enfance du héros horrible et il s’est vengé sur l’innocente héroïne. Héroïne d’ailleurs, qui est affublé d’un papa subclaquant.

Bien sûr, je ne lis pas ce genre de livre à la recherche d’une crédibilité sans faille mais j’aime quand ça ressemble à quelque chose. Et là, j’avoue, pour moi, ça ressemble à rien.

Il est à noter que j’ai déjà oublié l’histoire des autres tomes d’ailleurs (à part le 2 et 3).

Comme quoi, ce n’est pas bon de vouloir persévérer…
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Un roman d'amour agréable mêlant moyen âge et voyage dans le temps. Des personnages au caractère intéressant, une écrite fluide, la rencontre du passé et du présent, il n'en fallait pas plus pour me plaire.

bridgerton en BEAUCOUP moins bien !

des quiproquos qui se succèdent sans reels fondement ou dénouement.

Le personne féminin principale Regina est attachante mais on nous la vend comme une rebelle indépendante et qui après 2min avec un homme souhaite l'épouser car elle en est tombée éperdument amoureuse.... au secours

Kristen Haardrad rêve d'aventure et de trouver un mari qui lui convienne. En catimini, elle se cache dans le drakkar de son frère qu'elle croyait parti pour une mission commerciale mais la voilà partie pour un raid.

Mais ce raid ne sera pas à l'avantage des Vikings qui se retrouveront prisonniers des Saxons et surtout de Royce de Windhurst.

Au départ, déguisée en garçon, Kristen fait profil bas mais très vite la supercherie est découverte.

Kristen représente tout ce que Royce déteste, une Viking païenne de surcroît! Sans oublier qu'étant son esclave, il peut faire d'elle tout ce qu'il veut.

Cependant Kristen ne compte pas lui laisser les pleins pouvoirs...



Un tome que j'ai lu avec plaisir malgré l'époque qui ne m'a pas trop plu. Nous sommes au IXème siècle, en plein Moyen-Age et les usages en vigueur sont assez brutaux.

Tortures, esclaves, guerres, raids, viols, ... J'avoue que tout ça ne m'a pas fait rêver.



Royce aurait pu faire subir à Kristen absolument tous les sévices sans que personne n'y trouve rien à redire.

Heureusement, Royce n'est pas dénué de coeur et la romance entre lui et Kristen évoluera petit à petit à mesure que la confiance s'installera.



Malgré le fait que Kristen soit une esclave, elle n'est pas soumise pour autant et en fera voir de toutes les couleurs à son "maître".

Kristen est grande, forte, impétueuse et ne se laisse marcher sur les pieds par personne ce qui fait qu'elle est tout sauf une victime.



Un roman qui se lit rapidement, bien écrit, avec des personnages intéressants mais l'époque et les moeurs m'ont un peu refroidie.

Une lecture sans surprise, mais c'est avec plaisir que l'on suit les aventures du plus séduisant des frères Malory Antony, le beau célibataire endurci qui va se retrouver pris des les filets de la belle et flamboyante Ecossaisse. Nous suivons les échanges et rencontres tumultueuses de ce couple insolite. Elle cherche un mari pour échapper à son cousin, il ne veut que des maitresses.

Oui le tout est cousu de fil blanc mais on se laisse prendre et transporter par la plume toujours aussi plaisante de l'auteure. Les personnages sont charismatiques et rebelles. des scènes et des dialogues pétillants qui en font un bon moment de lecture avec un peu plus de scènes érotiques dans ce volet.
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