Comme si nous autres humains étions de la vermine qui grouille sur la peau de dame nature. Nous la chatouillons, nous l’irritons, nous la griffons, nous l’agaçons, jusqu’à ce qu’elle n’ait plus d’autres choix que se purifier. Elle élève sa température intérieure, ce qui doit la brûler comme si elle s’immergeait dans un bain d’acide, mais elle y est contrainte. Elle n’a pas vraiment le choix