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Critiques de John Boyd (12)
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Dernier vaisseau pour l'enfer

Découverte totale avec cet auteur que je ne connaissais pas avant d’avoir lu ce court roman. Je l’ai trouvé tout à fait par hasard. C’est son titre énigmatique et cette belle illustration signée Mandy qui m’ont définitivement poussé à l’achat.



Comme je fais l’impasse sur la quatrième de couverture, puisque j’aime découvrir l’histoire par moi-même et non avoir déjà les grandes lignes, j’ai été quelque peu surpris par ce début. D’ailleurs, ce fut une agréable surprise d’avoir entre mes mains une sorte de Roméo et Juliette à la sauce Science-Fiction. Malheureusement, il s’agissait là qu’une simple impression, car le récit va prendre une tout autre tournure.

J’ai été quelque peu déçu par cette tournure. J’aurais préféré avoir lu une trame shakespearienne.



Imaginons un monde totalitaire où les classes ne se mélangent pas. Si on naît pauvre, on le reste. Si par le meilleur des hasards, nos parents sont des élites scientifiques, alors, notre destinée est d’apprendre la Science. On assiste à une rencontre fortuite entre un jeune homme mathématicien et une littéraire. Apollon va décoche une flèche et la vise en plein dans les fesses du garçon. Épris d’un Amour impossible, il fait tout pour retrouver sa belle.



Ici, pas de détails, pas d’environnement. Ce qui intéresse John Boyd, c’est la réflexion autour de l’humain. On nous assène à coup de formules mathématiques, d’extraits de poésies. On assiste même les soirées à des débats entre le personnage principal (du nom de Haldane IV) et son père (Haldane III) au cours de parties d’échecs.

Amateur de rythmes et d’action, passez votre chemin. L’histoire s’étend lentement vers le procès de nos instincts d’animal.



Ce ne sont que les quarante dernières pages où j’ai trouvé l’intrigue plus passionnante. La promesse d’un dernier vaisseau pour l’enfer est enfin tenue. La destination est une planète nommée par les terriens : “Enfer”. Bien évidemment, je ne divulguerai en rien de quoi il s’agit.

La fin pourrait surprendre, voire décevoir, mais elle m’a bien fait rire dans le sens risible. Par contre, l’épilogue m’a ennuyé et réellement déçu.



En gros, ce récit est une réflexion sur plusieurs thèmes. On y parlera de théologie, d’éducation, de pensées et bien plus encore. Ce court roman n’est pas mauvais, loin de là, mais j’aurai préféré lire autre chose. J’en sors mitigé.
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Dernier vaisseau pour l'enfer

Initialement, je pensais avoir entre les mains le récit d’un amour impossible, un Roméo et Juliette des temps modernes. Dernier Vaisseau pour l’Enfer narre effectivement l’histoire d’amour entre deux jeunes gens appartenant à deux classes distinctes : lui est un étudiant en mathématiques, un M5; elle en littérature une A5. Deux lettres de l’alphabet, deux lettres contenues dans le terme abîme, illustrant parfaitement le gouffre qui sépare les deux classements génétiques.



Effectivement, les auteurs d’Hunger Games mais surtout de Divergente n’ont rien inventé, , John Boyd – au moins – avait construit une dystopie qui aujourd’hui nous est familière. Notre bonne vieille Terre est dominée par des castes dans un régime dirigé d’une poigne de fer. A l’instar de l’Inde, ces dernières reposent sur les fondations familiales et la perpétuation de la lignée ainsi, les mésalliances sont-elles proscrites. La pureté de l’héritage génétique est en jeu, une lignée de mathématiciens se doit être préservée, comme toutes les autres castes basées sur les compétences intellectuelles : Arts, Sociologie, Théologie,… Hors de question d’associer une caste à une autre, tous se marient au sein de sa « matière ». Le chiffre permet simplement de situer le niveau atteint au sein de cette structure et de ramifier les différents métiers.



Pour veiller au grain et à l’ivraie, le système étatique repose sur 3 piliers : la religion (variante de la chrétienneté), la sociologie et la psychologie. D’ailleurs il convient de signaler que dans cet univers, le Pape est infaillible, et pour cause, c’est une I.A! C’est aussi un des derniers recours… Toute violation au code de la génétique est sévèrement châtiée, avec pour les déviants (divergents) l’expédition en Enfer.



Mais voilà, notre mathématicien, étudiant brillant de 20 ans, tombe sous le charme d’Hélix une littéraire, et n’a qu’une obsession : l’épouser, envers et contre tous.



Le roman accuse sans doute un peu son âge, sans que soit vraiment gênant, la traduction d’époque ne facilitant pas la transition depuis les annèes 70… Malgré cette nuance légèrement surannée, le texte conserve sa force et fait son petit effet. Les thématiques abordées sont toujours aussi intéressante, voire d’actualité (eugénisme, totalitarisme, liberté de conscience, liberté, libre arbitre,…) avec le thème central de la liberté. L’auteur ne joue pas la gamme la plus évidente d’une machine étatique fermée et répressive comme V pour Vendetta ou 1984 de Orwell. Certes, la société décrite est régie par un triptyque glaçant, totalitaire et religieux, or les « citoyens » vivent dans le bien-être et une forme de bonheur. L’exercice n’était donc pas si évident.



Tout n’est pas parfait, mais en 250 pages, John Boyd parvient à nous brosser un avenir qui fait froid dans le dos et dont l’issue semble toute désignée pour nos protagonistes. Aldane apparaît comme un héros courageux, amoureux, intelligent et immature, Hélix semble un peu plus ambiguë et rusée. Ils sont un peu léger, et les autres second couteaux sont accessoires… La figure héroïque de Fairweather (jeu de mot en anglais) éveille la curiosité et la pseudo-enquête dont il fait l’objet apporte son lot de petites révélations.



La fin est assez particulière, le ton diffère tant de l’ensemble, que je me suis sentie un peu déroutée, et j’aurais été potentiellement très déçue que Dernier Vaisseau pour l’Enfer s’achève ainsi. Heureusement, John Boyd conclu son roman sur un épilogue qui donne une toute autre saveur et invite à une lecture toute autre. Un twist assez surprenant et surtout bienvenu!



Plus complet sur mon blog


Lien : https://albdoblog.wordpress...
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La ferme aux organes

Un grand du genre. Livre très documenté sur les méthodes d'apprentissage utilisées il y a 50 ans aux Etats-Unis comme en URSS, et qui, modifiées par l'apport cognitiviste, ont toujours cours à l'heure actuelle puisqu'il s'agit maintenant des pratiques recommandées pour le traitement de diverses pathologies (thérapies courtes cognitivo comportementales ou TCC) et approche exclusivement éducative de l'autisme.

La théorie de la connaissance sur lesquelle elles sont fondées est celle de Skinner(1904-1990) psychologue américain qui poursuit la voie ouverte par son maître Pavlov, tous deux considérant que la connaissance procède non de l'acquisition d'un savoir relevant de la pensée, mais du conditionnement, celui-ci opérant à partir de renforçateurs, négatifs ou positifs. En ce qui concerne l'éducation, Skinner ne préconise pas les renforçateurs négatifs, mais la répétition est selon lui à la source de l'apprentissage et donc de l'action correcte.

J'ai lu ce livre à 15 ans, j'en ai retenu le point de vue humaniste à partir de l'évolution du personnage principal

le DR Galway, face au totalitarisme scientiste menant à la barbarie. A relire!
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Quotient intellectuel a vendre

Boyd fait partie de ces écrivains de SF qui ont vieilli, qui ont un style très marqué des années 70... mais qu'on aime beaucoup pour une raison obscure ! Une belle anticipation sur un biochimiste qui va jouer à Dieu avec son fils attardé et qui le faire payer involontairement à la race humaine... on est proches des Fleurs pour Algernon en suivant l'évolution intellectuelle de Marlon, pour finir sur du Mary Shelley où la créature échappe à son créateur...
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Quotient intellectuel a vendre





J'ai été assez marqué par quotient intellectuel à vendre qui est à mon sens un livre très actuel a l'heure où les pilules censée améliorer les performances intellectuelles envahissent le marché.

Bien évidement le culte de la performance conduit à ce que l'on pourrait appeler du nazisme. on en est pas loin dans le dernier quart du livre.



Boyd à le chic pour créer des femmes complexes qu'on a bien du mal à cerner, sont elles capables d'amour ou seulement de manipulation ? On ne peut que se poser la question en pensant à Lisa. la mère de Marlon qui est d'une dualité effrayante



Il y a un petit côté vieilles valeurs des années 60 qui est assez sympathique



http://sfsarthe.blog.free.fr

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La planete fleur

La Planète fleur – John Boyd – (The Pollinators of Eden, 1971)

Une expédition stellaire a découvert, en 2237, une planète (aussitôt baptisée Fleur, ou Flore) uniquement occupée, du moins le semble-t-il, par le règne végétal, et tout particulièrement par des tulipes et des orchidées de structure complexe. Tandis qu’une mission scientifique, commandée par Paul Theaston, reste sur Flore dans une station d’études expérimentale, le département des Plantes Exotiques du Ministère de l’Agriculture U.S. étudie le mode de reproduction et la croissance d’un lot de plants de tulipes floriennes. Fréda Caron, jeune cytologiste, fiancée à Paul Theaston, est chargée de ce travail, assistée par un étudiant, Hal Polino.

La majeure partie du roman se déroule au sein de la microsociété du département des Plantes Exotiques, situé en Californie. Une longue introduction traitant de botanique nous amène de façon subtile vers le point central du roman : les plantes de Flore sont douées d’intelligence, elles réussissent à utiliser à leur gré des pollinisateurs terrestres (des guêpes), elles peuvent communiquer entre elles à l’aide d’un langage vibratoire et enfin, elles peuvent tuer en émettant des ultrasons.

Tout ce mystère scientifique est concomitant à la description maniaque du milieu clos où évolue Fréda. John Boyd adepte du piment sexuel, nous concocte un épisode où Fréda, vierge, est en proie aux avances de son assistant. Celui-ci succombera sans avoir pu mener à bien ses approches en vue d’une fertilisation dépassant le cadre de ses études.

À ce moment du récit, tout est en place pour une explosion qui participe de plusieurs mèches allumées à la fois. Cette combustion, plutôt longue à venir, était parfaitement calculée. Lorsque Fréda peut enfin débarquer sur Flore après bien des tracas administratifs, elle est mûre pour recevoir une révélation sexuelle longuement attendue. Elle apprend par la bouche de Paul le secret de la pollinisation des fleurs floriennes : le porteur de pollen de Flore est un petit animal végétarien qui, après une longue guerre écologique avec les plantes, a fini par adopter vis-à-vis d’elles un comportement presque symbiotique. Et ce que peut faire un pécari florien, un humain peut aussi le faire – gage d’un enrichissement génétique qui profitera sans doute autant aux orchidées sensitives qu’aux humains, mais surtout ouverture sur un mode de vie libéré de tous les tabous.

Et voici que Fréda fait l’amour avec une fleur (avec tout ce que physiologiquement cela suppose, car le pistil des orchidées est pourvu d’un stigmate tout à fait approprié à un usage intime), acte qui est à la fois un aboutissement et une promesse puisqu’il boucle une révolution morale et annonce une révolution écologique. Dans cette séquence, Boyd écrit sa plus belle page, la plus chaleureuse en tout cas, et s’il ne termine pas tout à fait son ouvrage sur cette union d’autant plus surprenante qu’elle ne choque pas, c’est qu’il veut ajouter quelques ombres au tableau : la Terre, puritaine, n’est pas prête à laisser ses enfants s’envoler pour filer le parfait amour avec des fleurs, d’autant plus que l’attrait de Flore provoque une épidémie de désertions dans la Marine Spatiale.

Fréda et Paul, reniant la civilisation, pourront aller courir nus au soleil de Flore parmi leurs amants et amantes végétaux, mais il n’est pas dit que le destin stellaire de la planète reste inscrit en rose sur la carte du ciel colonisé... CB

Extrait d'un article paru dans Gandahar 5 Intelligence végétaleen décembre 2015




Lien : https://www.gandaher.net
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Le gene maudit

les critiques sont généralement assez dures avec ce livre que je trouve pourtant bon. La trame de fond est intéressante: certains individus ont un gène de mort dont le décès souvent violent provoque des catastrophe, Amal le héros masculin va tenter avec l'aide de sa jolie pépé d'échapper à sa destinée. Typique d'une tragédie me direz vous... et vous aurez raison, bien pire que la chute de Troie c'est celle de la Californie... Tout comme les aruspices de l'antiquité ce seront les scientifiques, nos oracles modernes qui vont nous prédire la catastrophe et la fin de notre héro.

Ce bouquin aborde d'autres thèmes actuels parfois avec humour (comme le rôle des médias), la manipulation des images... On y trouve même un peu d'ethnologie avec les tribus moderne de notre société. En effet à l'instar du meilleur des monde des skineheads vivent dans des guetthos-reserves.

bref j'ai trouve ce livre assez bon, et drôle comme la plupart des bouquins de boyd..
Lien : http://sfsarthe.blog.free.fr/
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La planete fleur

La planète fleur est une agréable surprise qui, malgré ses longueur, demeure une histoire passionnante et magnifiquement mené. Fréda est un personnage attachant et sa personnalité semble parfaitement convenir au récit. Malgré l’écriture (ou la traduction) froide et calculée, on parvient à extraire de nombreux sens et messages cachés volontairement ou non. La richesse de la réflexion que l’on peut obtenir de ce livre de science-fiction obscure est étonnante. Je recommande ce livre, ne serait-ce que pour ces cent dernières pages.
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Les libertins du ciel





Les libertins du ciel : Commentaire :



John Adams et Red O’hara, deux astronautes de l’Administration Coloniale Interplanétaire (A.C.I. descendante de la CIA) découvrent une planète paradisiaque c'est-à-dire sans violence ni état. John Adams est protestant et Red O’hara est catholique cette différence est significative dans le monde anglo-saxonne et dans le développement de l’intrigue.

La planète Harleck qui est un ensemble de facultés régie par Bulbo le Doyen est un pays de liberté aux mœurs légères où les humains ne se consacrent qu’aux études.



Ce livre est assez drôle et aborde des thèmes graves avec une légèreté agréable

Nous pouvons voir une certaine critique de l’ethnocentrisme, Adams et O’hara débarquant sur la planète espère en mettre plein la vue aux indigènes qui vont les traiter avec mépris.

En effet Les harlechiens sont intellectuellement supérieurs aux humains et pourtant ils se voient refuser la qualité d’homo sapiens. Sur la base de la durée de gestation ce qui semble être de bien mauvaise foi.



La religion

Ce livre pose bien entendu la question de l’interprétation des religions en particulier chez les chrétiens, car les divergences de point de vue conduisent à des violences inouïes et proscrite par la religion elle-même dès lors que les hommes possèdent les moyens physiques d’imposer leur point de vue.

En voulant sauver les hommes par la religion Adams, va implanter des notions de bien et de mal qui générer des notions de pêchés et conduire au crime. C’est en voulant laver le monde de ses pêchés qu’ils vont le souiller.

Le comble c’est que Red le libertin deviendra prophète d’une planète ou les hommes sont déjà des saints. En effet le prophète doit être un être radicalement différent de la société dans laquelle il cherche à s’imposer



Rationalisme social

La société Haleckienne est une société très rationnelle ou il n’y pas de place pour le symbolisme ni pour les passions et dans lequel la notion de plaisir à disparue Paradoxalement c’est aussi la frustration (par la chasteté) qui crée le plaisirs pour l’Homme

Le rationalisme bien qu’il supprime le plaisir est le facteur de paix central d’Harlech La religion tout comme les citoyens violents (anormaux et passionnels) ont été bannis de harlech car ils conduisent au Mal et la destruction.

Une société rationnelle est une société sans violence or L’état ne sert qu’à gérer la violence sociale (chez Max Weber il en détient le monopole) compte tenu qu’il n’y a plus de violence sur harlech il n’y plus lieu d’être.

Les passions atteignent leur paroxysme dans la peine de mort qui est ici considérée comme une vengeance collective et non pas comme un acte de justice



Relation au spectacle

C’est par le spectacle que les habitant de Harlech vont réapprendre la plaisir et de fait La religion catholique plus axée sur les miracles et le spectacle va mieux s’implanter que le protestantisme. Car malgré leur rationalisme les habitants d’Harlech n’en demeurent pas moins très naïfs



« Le monde est un théâtre » comme disait William Shakespeare, et ce n’est pas faux dans ce livre car tous les personnages jouent un rôle, le doyen qui est un tacticien, nos deux héros qui s’annoncent comme des messies, Nesser qui souhaite que son exécution soit filmée. Le gout du grandiose de Red est digne d’un Shakespeare, « all is true » comme il est dit dans le préambule de Richard III, alors que l’on accusait le dramaturge d’excès…

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Quotient intellectuel a vendre

Écrit dix ans après Des fleurs pour Algernon (évoqué au passage) sur le même thème de l’intelligence suscitée artificiellement, Boyd nous entraîne en poussant le sujet dans ses conséquences ultimes, jusqu’à son aboutissement logique mais terrifiant.

Le début est prometteur, l’intrigue s’avance, fluide. Les protagonistes sont bien amenés. Le père biochimiste, Lisa sa femme qui se noie dans l’alcool pour cacher sa psychose Marlon, leur enfant retardé qui va bénéficier du miracle.

Mais les détails de la commercialisation du produit, puis les explications très techniques alourdissent inutilement le récit.

C’est bien écrit, finalement assez intellectuel, ça fourmille de citations, tant d’auteurs latins que de la renaissance, de Marc Aurèle à Sade en passant par Shakespeare.

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La planete fleur

Des tulipes sont importées sur terre venant d’une planète où les premiers explorateurs humains ont des comportements bizarres, certains décidant de rester et de vivre nus avec la flore extraordinaire. Une spécialiste les étudient et découvre qu’elles communiquent entre elles et qu’elles sont capables de tuer. Un sujet intéressant mais qui part dans de mauvaises directions. L’action se passe principalement sur Terre plutôt que sur cette planète fleurie; la moitié du livre est consacrée aux arcanes politiciennes de l’administration (l’auteur aurait-il des comptes à régler avec l’administration ?); les histoires d’amour/ de cul sont sans intérêt. Une bonne idée de départ vraiment mal exploitée et mal écrite.
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Les libertins du ciel

Le thème d’une confrontation de deux terriens arrivés sur une planète paradisiaque, qui serait bien la mère de la terre, où elle aurait expédié, des millénaires auparavant, ses éléments mal intégrés. Les astronautes y causent un grand bouleversement dans leur sérénité, jusqu’à recréer un quasi état policier.

Pas très captivant sauf peut-être pour qui s’intéresse à l’affrontement de deux conceptions religieuses : le rigorisme puritain d’un protestant face à la liberté de mœurs d’un catholique irlandais.
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