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3.7/5 (sur 194 notes)

Nationalité : Royaume-Uni
Né(e) à : Southfields, Surrey , le 17/09/1908
Mort(e) à : Salisbury, Wiltshire , le 09/06/1973
Biographie :

John Creasey est un écrivain britannique de romans populaires.

Né dans une famille très modeste, septième d'une fratrie de neuf enfants, il entre dans la vie active à l'âge de 14 ans et exerce vingt-cinq métiers différents jusqu'à l'âge de 21 ans. Il commence à envoyer des nouvelles à divers éditeurs dès l'âge de dix ans, jusqu'à ce que la 744e, alors qu'il est âgé de dix-sept ans, soit acceptée et payée.

Son premier roman intitulé "Seven Time Seven", est publié le 22 janvier 1932, alors qu'il est âgé de 23 ans. Il publie une cinquantaine d'autres romans dans les quatre années qui suivirent et, en 1936, démissionne de son dernier emploi salarié en affirmant être "décidé de gagner sa vie en écrivant".

L'œuvre complet de John Creasey embrasse un grand nombre de genres littéraires : aventures, espionnage, western (sous les noms de Tex Riley, William K. Reilly et K. Ranger), roman d'amour (Margaret Ranger, Elise Fecamps, Henry St John Cooper), littérature pour enfants, ouvrages sur le sport (Patrick Gill, James Marsden)… "La rousse a le feu sacré" ("Gideon's Fire", 1961), écrit sous le nom de J. J. Marric, emporte le Prix Edgar-Allan-Poe du meilleur roman en 1962.

Entre 1941 et 1960, il signe sous le pseudonyme Jeremy York une quinzaine de romans policiers "hors série", crée en 1945 le superintendant Folly, nouvel héros récurrent qu'il abandonne cependant dès le quatrième opus en 1947.

Son œuvre totaliserait 562 romans, écrits durant une quarantaine d'années, sous plus de 25 pseudonymes différents (en plus de son vrai nom) et traduits en vingt-sept langues.

Le plus célèbre pseudonyme de Creasey en France demeure assurément Anthony Morton, sous lequel est publié, à partir de 1937, les 47 romans de la série Le Baron, dont 25 ont été traduits en français.

Il participe à la fondation, en 1953, de la Crime Writers' Association, et la préside en 1966-1967.

Parallèlement à ces travaux d'écriture, John Creasey s'intéresse à la politique, ce qui le conduit à être candidat à cinq reprises à la Chambre des communes britannique. Il ne fut toutefois jamais élu.
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Bibliographie de John Creasey   (64)Voir plus

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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
En bas les journalistes... essayant vainement d'arracher une information quelconque...

Oui, les voleurs avaient trouvé les bijoux. Oui, il les avaient emportés! En général, quand on se donnait la peine de cambrioler un appartement, ce n'était pas pour laisser les bijoux sur place, non!
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- (...) Tu es bien comme ta mère : la curiosité te perdra.
- Ma mère ? Il n'y a pas d'être moins curieux qu'elle ! s'exclama Lorna.
- Je ne parle pas de Lady Fauntley, ma chère. Je pensais à l'autre.
- L'autre ?
- Eve, mon cœur.
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-Tu ferais bien de t'épiler les sourcils, ma vieille. Tu ressembles à un ourang-outan.
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- Miss Wilde était votre seule employée ?
- Dans ces derniers temps, oui.
- Mais tout le travail de secrétariat ?
- Il y a des mois que je n'avais plus de secrétaire permanente, expliqua Marlow. Une bonne partie du courrier était tapé par le bureau du dessous. Quand au reste, je le faisais moi-même.
Ventry parut surpris.
- Vous deviez travailler comme un nègre.
- Il le fallait bien.
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mannering entra dans son repaire,a la fois bureau et bibliothèque,seule pièce de l,appartement qui avait résister aux fantaisies décoratives de lorna.
la sonnerie de la porte d,entrée tinta soudain.il s, en va ouvrir et vit un inconnu appuyé contre le montant.
il chancela,John le rattrapa de justesse et le fit asseoir dans le premier fauteuil venu.il repoussa la porte d'un coup de pied,et se pencha sur l,inconnu.il s,aperçût qu'un mince filet de sang coulait le long de sa tempe.
- ne vous en faites pas, j,appelle un médecin.mais la sonnette retentit de nouveau.cette fois,c'était l, inspecteur ingleby.après qu'une ambulance eu emporter le blessé toujours inconscient.
l, inspecteur demanda,vous êtes inquiet,
mr mannering.
- inquiet,non mais anxieux,oui,je voudrais savoir si ce pauvre type a quelle chance de s, en sortir.
- que souhaitez vous au juste? qu'il survive,ou au qu'il meure?
- en voilà une question?
- mr mannering, vous nous affirmez que cet homme était blessé lorsque il a sonné à votre porte.
- bien sur.
- seulement il n'y a aucune trace de sang,
ni sur le palier,ni dans l,escalier,ni dans le
hall,ou sur le trottoir devant votre immeuble.vous comprenez ce que cela signifie?
- vous pensez que cet homme n'a pas
été attaqué au dehors,mais chez moi.
- exact.
du calme,inspecteur penser vous que j'aurais assommé cet homme,alors que je savais que vous alliez arriver.
- c'est peut-être pour ça,que vous l'avez attaquer,supposons qu'il ait eu l, intention de nous faire des révélations gênantes.
- bon dieu! ingleby, si vous pensez ce que vous dites je me demande ce que vous foutez dans la police!
- je file au yard prendre un mandat de perquisition.vous resterez ici.Dickinson ne vous laissera pas sortir,et ne laissera entre personnes,sous aucun prétexte.
- ou vais je dormir, alors mr ingleby?vous
n, avez pas l, intention de m,envoyez a l,
hôtel tout de même?parce que j,habite ici,vous savez.
les policiers virer apparaître lorna mannering.
- vous avez des invités, John? interrogea
t elle.
- si l'on veut, ma chérie..ces messieurs s,
imagine que je viens d, assommer un homme avec un casse tête, probablement indonésien.
- indonésien? l, homme ou le casse tête?
- le casse tête.
- c'est assez curieux,en effet.et vous ne l'avez pas fait.
- grand dieu, non se récria mannering.
- oh! je pensais à un cas de légitime défense, contre un cambrioleur,par exemple! on n'est jamais trop sévère pour les cambrioleurs,n'est ce pas,messieurs? ni pour les policiers, d,ailleurs quand ils s, en prennent a de
paisibles citoyens.je suppose que vous
partiez,mr ingleby?je ne vous retiens pas.
acheva lorna avec un charmant sourire.
- mr ingleby partait oui,dit mannering,
mais il a l,intention de revenir avec un mandat de perquisition.
- comme c'est contrariant!moi qui tombe de fatigue....
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- Avez-vous bien dormi ?
- Pas très bien. J'ai quelque chose sur la conscience.
- Vous seriez une femme exceptionnelle, si vous n'y aviez rien.
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a Chelsea, ethel attendais
mannering avec impatience.elle adorait rester seule avec l,un ou l,autre de ses maitres,qui
prêtaient tout jour une oreille complaisante,a ses problèmes nombreux et variés.lorna était affectée
aux conseils de mode et de beauté,et John aux confidences sentimentales.
et en rentrant John,eu droit au doléances d, ethel
qui se plaignait de ne pouvoir choisir entre deux
amoureux,un employé de
banque 🏦 et un électricien,
tous deux également pétris
de qualités.et lorsque la jeune fille demanda.
- que feriez vous a ma place, monsieur?
John répondit.
- pourquoi n,essayer vous
pas la bigamie.
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_ ma chérie, dit mannerîng tu connais nos
conventions, mon argent et a toi, mais ton argent n, est pas a moi.je préférerais faire n,importe quoi plutôt que d, être entretenu par une femme, fut elle l'a mienne.
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- Avez-vous bien dormi ?
- Pas très bien. J'ai quelque chose sur la conscience.
- Vous seriez une femme exceptionnelle, si vous n'y aviez rien.
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- Et ce tuyau noir, avec des trous, monsieur, qu'est-ce que c'est ?
- Un silencieux. Lorsque tu tires, ça ne fait pas plus de bruit qu'une bouteille qu'on débouche
...
- Et le vôtre de revolver, monsieur ?
- Je n'en avais pas, dit Mannering
- Pourquoi ?
- Parce que je suis un imbécile
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