Dans la matinée, les différentes phases de la procédure relative aux homicides se mettraient en branle. Cellule de crise, effectifs supplémentaires, traitement des informations recueillies par l’ordinateur central, le tout parallèlement à l’enquête sur les deux agressions de l’hôpital, avec en plus le sommet de la hiérarchie qui viendrait souffler dans le cou, demandant des résultats. Mais demain était un autre jour et, ce soir, Resnick n’avait pas envie d’être seul.