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3.76/5 (sur 271 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Pasadena, Californie , le 25/02/1942
Biographie :

John Saul est un écrivain.

Il a grandi à Whittier, dans la banlieue sud de Los Angeles, en Californie, et est diplômé de Whittier High School en 1959. Il fréquente ensuite divers établissements universitaires, au gré de ses intérêts pour l'anthropologie, le droit et l'art dramatique.

Pendant quinze ans, il occupe différents emplois, puis décide ensuite de devenir écrivain.

Avant sa carrière d'auteur de thriller à succès, il publie sous divers pseudonymes une dizaine de livres.

En 1976, Dell Publishing a pris contact avec lui et lui a demandé s'il serait intéressé par l'écriture d'un thriller psychologique. Le roman, Que souffrent les enfants (Suffer the Children, 1977) est apparu sur les listes de best-seller aux États-Unis et a même arrivé en première position au Canada.

Il signe ensuite plusieurs romans d'horreur avant de se tourner vers le thriller policier. En plus de ses romans, il écrit des pièces de théâtre.

Ouvertement gay, il vit avec son conjoint qui a collaboré à plusieurs de ses romans.

son site:
http://www.johnsaul.com/
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Citations et extraits (62) Voir plus Ajouter une citation
- Reviens donc te coucher, et oublie tout ça. Tout le monde fait des rêves bizarres qui ne signifient rien. Et puis, connaissant tes sentiments à l'égard de ta mère, je m'étonne presque que tu n'aies pas ce genre de cauchemar toutes les nuits.
Kevin se força à sourire, mais le coeur n'y était pas.
- En fait, c'est ce qui m'arrivait quand j'étais gosse. Je me réveillais souvent en pleine nuit à cause de ce même cauchemar. Au pensionnat, ils ont fini par m'isoler pour dormir. La camarade qui partageait ma chambre auparavant se plaignait d'être réveillé toutes les nuits par les cris que je poussais dans mon sommeil. Mais je n'avais plus fait ce rêve depuis lâge de seize ou dix-sept ans... Je pensais que c'était fini.
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Le stade expérimental est dépassé depuis longtemps. Et il ne s'agit pas d'un médicament. Seulement d'une association de vitamines, destinées à permettre au corps d'atteindre son plein développement. Les vitamines jouent le rôle de déclencheur, elles libèrent des hormones déjà présentes dans l'organisme du sujet mais encore non opérationnelles. (Comme Blake semblait réticent, il poursuivit : ) Crois-tu vraiment que j'aurais autorisé Ames à prescrire à Robb des substances sur lesquelles j'aurais eu des doutes ? Mon fils n'est pas un cobaye, que diable !
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C’est plus facile à supporter, quand on prend tout en dérision. J’avais le choix entre cela et la fuite. J’ai opté pour les clins d’œil.
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- Je vous montrerai tout promit-il. Vous verrez, c'est génial ! Les marais, les étangs, et la plage... Mais il faudra faire attention : il y a plein de serpents et de bestioles...
- Des serpents ? répeta Julie d'une voix qui chevrotait un peu. Venimeux ?
Toby acquiesça avec gravité.
- Ouais. Des mocassins d'eau, des crotales et plein d'autres encore... Mais si vous êtes prudents, ils ne vous mordront pas.
- Peut-être... peut-être qu'il serait plus sage de rentrer, dit Julie nerveusement.
- Tu as peur ? se moqua aussitôt Jeff.
Julie foudroya son frère du regard.
- Et pourquoi pas ? Si tu avais un peu plus de jugeote, tu aurais peur, toi aussi !
- Toby vient ici tout le temps, contra le garçon en se retournant vers son nouvel ami. Et il ne t'es jamais rien arrivé ?
Toby secoua vigoureusement la tête.
- Suffit de faire attention ! Mon père dit que les serpents ont beaucoup plus peur de nous que nous d'eux !
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Une heure plus tard, Marguerite était de retour dans la salle de bal. Elle avait revêtu l'une des robes préférées de sa mère, et à son cou le triple collier de jais brillait de mille feux.
Tout en chantonnant doucement, elle se courba en une gracieuse révérence devant son cavalier.
- Je danse très bien, c'est vrai murmura-t-elle en se laissant guider par les bras invisibles de son partenaire. Mais pas aussi bien que ma fille. un jour, elle deviendra danseuse étoile.
Elle esquissa un sourire rêveur, et son regard se fit lointain.
- J'y veillerai... Oui, un jour Marguerite sera danseuse étoile...
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- Un serpent ! s'écria Toby. Un crotale énorme qui veut tuer Jeff, près
du garage ! Vite, M'sieur Devereaux ! Vite !
Plantant là le garçon terrifié, Kevin se précipita vers le garage où il saisit sans ralentir une vieille pelle rouillée appuyée contre le mur. Deux secondes plus tard il trouva son fils pétrifié par la peur, le visage d'une pâleur impressionnante.
- Ça va aller, dit Kevin d'une voix rassurante. Je suis ici, maintenant. Surtout ne bouge pas, Jeff, d'accord ?
Mais le gamin était incapable de répondre.
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- Ne t'en fais pas, ils vont bien. Les tempêtes sont monnaie courante dans la région. Attends un peu que la saison des Cyclones arrive ! Là, c'est vraiment impressionnant !
Tammy-Jo Aaronson semblait pourtant assez peu rassurée.
- Si ça empire, nous allons finir par être englouties !
Elle jeta un regard nerveux vers les ombres qui baignaient la majeure partie du salon.
- J'aimerais que la lumière revienne. Je déteste ce genre de situation.
Les deux autres adolescentes pouffèrent de rire.
- Tu as peur que miss Helena vienne te chercher ? lança Allison Carter d'une voix moqueuse.
- Pourquoi dis-tu cela ? fit immédiatement Julie.
Allison eut un sourire malicieux.
- Tout le monde est au courant de la légende des Devereaux. Leurs fantômes reviennent toujours, et il paraît que c'est encore pire durant les tempêtes. Ils sortent du cimetière et se mettent à rôder dans la maison.
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C'était toujours le même rêve. Toujours il était dans la colline au-dessus de l'hacienda, assistant au massacre de sa famille, et toujours il entendait clairement les paroles de sa mère lui dictant son devoir. Était-ce bien réel ? Tout s'était-il passé exactement comme il le voyait dans son rêve? Les coups de feu. Les cris. Les taches écarlates sur le mur chaulé. Toujours le rêve revenait. Et il savait ce qu'il lui fallait faire...
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En effectuant ces démarches, elle n'avait cherché qu'à gagner du temps et différé le moment où il lui faudrait s'occuper sérieusement des cadavres de souris qu'elle avait fourrés dans son freezer - l'un banal, l'autre difforme et d'une taille dépas-sant nettement la normale.
Elle était conscience d'avoir tenté se boucher les yeux, de se persuader que les souris n'avaient aucun rapport avec le centre sportif. Et pourtant, chaque fois qu'elle y pensait, elle ne pouvait s'empêcher d'évoquer les joueurs de l'équipe de football du lycée de Silverdale. Tous immenses et
incroyablement baraqués. Mais c'était impensable.
Jamais TarrenTech n'aurait autorisé ses chercheurs à faire des expérimentations sur des cobayes humains, encore moins sur les enfants de ses collaborateurs. D'ailleurs, le propre fils de Jerry et Elaine Harris ne faisait-il pas partie de l'équipe de football ? Et c'était un sacré gaillard. Beaucoup plus grand que ses parents.
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- Que s'est-il passé ? demanda Julie.
Kerry la fixait d'un regard anxieux.
- C'est de ma faute. J'aurais dû te prévenir. De temps en temps, il y a des vagues beaucoup plus fortes que les autres qui se forment. Tout est calme, et puis un rouleau énorme te tombe dessus, et si tu n'es pas prête, il t'assomme à moitié. Ça va maintenant ?
Julie n'hésita qu'une seconde.
- Je pense que oui, dit-elle en réussissant à sourire faiblement. Mais pendant une seconde, j'ai bien cru que c'en était fini de Julie Devereaux ! Si tu ne m'avais pas attrapée, Kerry...
Elle se tut. Le simple souvenir de ce qui venait de se passer la fit frissonner, puis elle comprit qu'elle tremblait de froid malgré la chaleur de l'après-midi.
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