Il a parcouru le monde avec son sac à dos et garde toujours son passeport en poche, « juste au cas où ». Quand des voyous ont braqué un pistolet sur sa tempe au Laos, il a affirmé qu’il était resté relax. « À quoi bon se stresser ? Soit ils me tuaient, soit pas. Je ne pouvais rien y faire, de toute façon. Au bout du compte, j’ai fini par aller prendre une bière avec ces types. »