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3.25/5 (sur 4 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Joëlle Dublanchet traduit du russe en français. Elle a reçu en 2008 2e Prix Russophonie, récompensant la meilleure traduction du russe vers le français.

Source : http://www.spoutnitsi.net
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Citations - Alexeï Oline - "La machine de la mémoire" - Editions de l’aube

Page 16
« Le sous-marin est une boisson éminemment artistique. On verse dans une chope un petit verre de vodka, on y ajoute de la bière blonde, et après avoir pris soin de bien appliquer sa paume sur le récipient, on agite énergétiquement : ça symbolise sans doute l’un des quatre éléments de l’univers. On peut consommer. »

Page 28
« Stéréotype évolutif. Toute ma vie n’est faite que de cela. »

Page 37
« Je ne versai pas de larmes. J’avais près de vingt ans, j’étais adulte, j’étais un homme que l’expérience de la vie avait assagi et qui avait perdu l’habitude de pleurer. »

Page 70
« Un homme et une femme se jurent un amour éternel devant un perroquet de prêtre, tout en se glissant à l’annulaire un anneau d’or.
Pourquoi juste à l’annulaire ?
A quoi pensent-ils ? »

Page 93
« -Le ciel est le même pour tous.
-Les hommes lèvent rarement la tête. »

Page 123
« Sans défaites, les victoires n’ont aucuns sens. C’est un fait. Mais un jour, les victoires elles-mêmes cessent de nous faire plaisir… »

Page 131
« Une idylle est un court-métrage. Sinon, elle sonne faux. Il est impossible de faire un film d’amour de trois heures : le metteur en scène, le scénariste, l’acteur … et le spectateur en auraient vite assez. Ce serait comme si on se nourrissait exclusivement de rahat-loukoum. Trois fois par jour, sept jours sur septs»

Page 173
« … mais quand l’imagination vient à manquer … Le monde se présente tel qu’il est en réalité, et il n’a vraiment rien de réjouissant. »

Page 174
«…
Et savez-vous pourquoi ? Parce que la fin du monde ne sera provoquée ni par une météorite, ni par une comète, ni par un abominable virus. La fin du monde est survenue, il y a longtemps, quand nous avons cessé d’imaginer, d’inventer quelque chose de nouveau. »

Page 185
« Les garde-fous étaient défaillants : la faim, la peur, l’attirance sexuelle – tous ces instincts primitifs qui nous forcent à nous accrocher à la vie.
Je devais présenter, de l’extérieur, une tête effrayante.
Pas lavé, pas rasé, ivre. »

Page 192
« Peut-être avais-je, en effet, trop lu de livres écrits par des gens dérangés du cerveau, éternellement mécontents de tout. »

Page 195
« -Tu ironises, c’est bien ! Les malades mentaux ne le font pas, habituellement. »


Page 204
« Mon humeur est comme dans la chanson de Jamiroquai, Starchild. J’accélère le pas. »
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