AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Jon Agee (40)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Un chien ou rien

« Les chiens ne mentent jamais quand ils parlent d’amour.” – Jeffrey Masson.

Une petite fille veut un chien, dans un refuge animalier...





Le monsieur a un mal de chien à satisfaire la petite. Il lui propose un ...fourmilier, un petit singe, un lézard déguisé en chien... Et même un serpent, un python qui... aboa, aboa, aboa.

Ou encore une grenouille et un poisson rouge qui remue la queue et joue à faire le mort!





- "Mais, il est déjà mort ce poisson rouge?

- Ah oui, je n'avais pas vu qu'il était déjà mort!

- Mais pourquoi un chien?

-Un chien est loyal, affectueux, intelligent, câlin, courageux. Il n'existe pas de meilleur ami au monde."

Alors, le monsieur malgré son air de chien battu, ramène à la petite fille, un...

Non, ce n'est pas un chien!

- Je le prends, fit la petite, ravie.





Pourquoi les petites filles veulent un toutou, mais les grandes filles préfèrent un Vieux Matou, un Ours mal léché ou pire, un Gros Cochon sur leur canapé?
Commenter  J’apprécie          9116
C'est juste Stanley

Quelle mouche a piqué Stanley,

un bon toutou mignon comme tout

qui s'agite maintenant partout.

Peut-être la lune ?

Faut dire qu'il la regarde

d'une truffe humide

en hurlant des WAOU WAOU.

Et puis il chamboule tout

bricole la chaudière

vidange la baignoire

prépare une drôle de soupe...

sous les yeux hagards de la famille

et du chat qui font de drôles de bouilles

quand tout à coup...ça fait BOOM !



Un gros coup de coeur

pour ce chien ouf ouf qui remue

ciel et terre et au-delà pour bien plus qu'un os.

Conquis par le scénario loufoque

et le trait expressif de nos amis les bêtes.

Mission accomplie pour Jon Agee

et cet amour de chien.

Stanley, adopté !
Commenter  J’apprécie          330
C'est juste Stanley

Chez les Wimbledon, il fait nuit et tout le monde dort dans la maison, sauf le chien Stanley qui lui ne ferme pas les yeux et aboie au clair de Lune. Ceci est le pitch de départ, viennent page par page, les différents membres de la famille qui réagissent tous à la situation : mais pourquoi Stanley aboie à la lune ? La tension monte, cette nuit décidément n’a rien de commun ! Une nouvelle fois kaléidoscope propose pour les 2-3 ans une histoire en randonnée à l’humour décalé.
Commenter  J’apprécie          180
Le bon côté du mur

Dès la présentation, on comprend qu’on a entre les mains un ouvrage particulièrement réussi et très original. L’album Le Bon Côté du mur, de Jon Agee, commence avant même la page titre : un mur épais déborde des deux côtés de la gouttière créant une frontière entre la fausse page et la belle page. Sur la fausse page, on remarque une brique par terre, et un trou dans le mur. La belle page est vide. On retrouve la brique (et les mentions d’édition) sur la fausse page suivante alors que la belle page présente le titre et un rhinocéros parfaitement statique. Presque tout l’album est construit ainsi : « Au milieu de ce livre, il y a un mur » prévient le narrateur, un petit chevalier en armure portant une échelle. De l’autre côté du mur, un tigre, qui fixe le lecteur, s’est joint au rhinocéros... Le petit chevalier craint ce qu’il y a de l’autre côté : c’est un monde dangereux, surtout à cause de l’ogre qui s’y trouve. Mais le petit chevalier, qui regarde le mur qu’il est en train de réparer ou le lecteur auquel il s’adresse, ne se rend pas compte que le monde qu’il croyait sûr est en train de changer. Le danger n’est plus où il l’attendait…

***

Cet auteur-illustrateur travaille d’abord à l’ancienne. Il utilise ici l’aquarelle, le crayon et le papier texturé. Il numérise alors dans Photoshop, puis retouche légèrement son travail (http://www.letstalkpicturebooks.com/2018/10/lets-talk-illustrators-85-jon-agee.html). Les illustrations de Jon Agee se révèlent incroyablement expressives malgré leur grande simplicité. Les mimiques du chevalier sont efficaces mais celles de l’ogre m’ont beaucoup fait rire. Et que dire de celles de la souris… On retiendra qu’il est important d’aller voir ce qui se passe de l’autre côté du mur, comme il est primordial de ne pas camper sur ses positions et de se méfier des apparences. J'ai adoré cet album.

Commenter  J’apprécie          160
Le bon côté du mur

Mes yeux ont tout de suite été attirés par cet album jeunesse orné d'un ruban rouge « prix des incorruptibles 2020/2021, lauréat maternelle ». Habituellement je ne fais pas très attention à ces fameux bandeaux sur les ouvrages, mais ici j'ai voulu faire ma curieuse... et j'ai bien fait !



De prime abord j'ai été charmée par le mur dessiné au milieu du livre, séparant ainsi la partie gauche de la droite. Le chevalier, à gauche qui pense être du meilleur côté : et bien oui, de l'autre, il y a un ogre sanguinaire qui mange les hommes tout cru comme lui... hum... les préjugés ont la vie dure, et en tant qu'adulte on comprends très vite ce qu'il va se passer au fil de la lecture. C'était fort sympathique. Simple et rigolo à lire, tout se finit heureusement bien.



Une jolie découverte !
Commenter  J’apprécie          100
C'est juste Stanley

Ah ce sacré Stanley, quel chien merveilleux, gentil et serviable ! La famille Wimbledon a bien de la chance d'avoir un tel animal sous son toit.

Cette nuit-là, il est particulièrement affairé, Stanley. Tellement actif qu'il fait beaucoup de bruits : des « Houhouou » mystérieux, des « cling » sonores, des « bzzz » inquiétants, des « Splish, splash » étonnants et autres « plouf » stupéfiants !

Ce chahut gêne tour à tour tous les membres de la famille ; la mère Wilma et les enfants Willie, Wanda, Wylie et Wendy. Walter, le père est à chaque fois chargé de trouver la source du bruit. Et à chaque fois, il revient avec la même réponse : « c'est juste Stanley ».

Stanley hurle à la lune, répare la cuve à mazout, se prépare une soupe de poisson verdâtre et nauséabonde, dépanne la vieille télévision, débouche la baignoire...

Les illustrations sont drôlissimes avec un gag récurrent – le chat de la famille qui grimace et change de couleur au fil des pages en se frottant aux différentes activités de Stanley –.

Une histoire à répétitions loufoque et étourdissante. Un suspense haletant, un énorme « BAOUM » et une fin surprenante, douce et silencieuse.


Lien : https://lesmotsdelafin.wordp..
Commenter  J’apprécie          90
C'est juste Stanley

Qu'est-ce qui pousse Stanley, le chien de la famille Wimbledon, à avoir ce drôle de comportement?

Un album à l'humour décalé et percutant à la chute étonnante.
Commenter  J’apprécie          90
Un chien ou rien

Une petite fille se rend dans un refuge en vue d’adopter un chien. L’employé juge que c’est un excellent choix et que le chien est un merveilleux compagnon. Mais il tient d’abord à lui montrer un fourmilier, un bébé babouin et autres bestioles exotiques. Y a-t-il seulement un chien dans cet endroit ?



Cette histoire m’a bien fait rire. C’est totalement absurde, l’employé essaye de baratiner l’enfant et celle-ci est loin d’être dupe. L’humour noir s’invite même à un moment ! Et évidemment, tout album drôle mérite une bonne chute. J’ai juste des difficultés à comprendre pourquoi les termes « animalerie » et « refuge » coexistent sur la devanture.



Si vous avez envie de passer un bon moment avec un album marrant à lire à deux voix, ne passez pas à côté de cette histoire qui a du chien.
Commenter  J’apprécie          80
Le bon côté du mur

Ce livre a une spécificité : un solide mur de briques occupe la pliure centrale. Cependant, il a besoin d'une petite réparation, une brique étant tombée à terre. Un vaillant chevalier muni d'une échelle s'attelle à la tâche tout en nous expliquant à quel point ce côté-ci du mur est sécurisé alors que des fauves et des ogres se promènent de l'autre côté. Le lecteur peut vérifier ces dires puisqu'il voit simultanément les deux côtés du livre. Mais le chevalier a-t-il vraiment raison ? Ne voit-il pas quelque chose d'étrange sous son échelle ?



Le thème des frontières et des préjugés est abordé en toute subtilité, et avec humour en plus ! J'aime beaucoup l'expressivité dans le regard des personnages et leur façon de prendre le lecteur pour témoin de temps en temps. L'idée d'exploiter la pliure du livre n'est pas nouvelle, mais cela fonctionne vraiment très bien dans "Le bon côté du mur".



C'est un super album à offrir aux enfants et peut-être même à certains présidents !
Commenter  J’apprécie          40
Le bon côté du mur

"Le bon côté du mur", qu'est-ce?



Peut-être qu'avec ce point de départ nous pouvons juger d'un contenu attendu, avec du bien et du mal d'un bon côté en réserve.







Nous serons étonnés de la bonne dose d'ironie qui se jouera ici et qui détrompera complètement notre opinion du bon côté à déterminer.



Qui peut savoir?







Un chevalier nous servira de guide dans cette étude du bon côté et comble de drôlerie, pendant son exposé théorique, il n'aura pas conscience de ce qui se déroule à ses pieds puis de l'autre côté du mur qui sépare la page comme une pliure de livre.







Nous lecteurs, nous le voyons et en rirons, il y aura un défilé d'animaux sauvages de toutes sortes de l'autre côté du mur et une toute petite souris et un ogre monumentale.



Le summum de l'imagination.







Et pendant ce temps, comme l'on dit, la mer monte aux pieds de l'échelle que le chevalier s'est mis à grimper pour passer de l'autre côté du mur pour affronter l'ogre qui mange les chevaliers (il est bien courageux, se dit-on).



C'est le déluge et ironie du sort, le chevalier à la petite taille bien comique n'a pas conscience d'être d'un côté du mur pas plus enviable que l'autre vers lequel il se jette avec témérité.







Oui, le chevalier affrontera l'autre côté mystérieux du mur, il échappera même à un danger, l'auteur lui réservera d'ailleurs également une surprise tandis que s'affrontent de chaque côté du mur un énorme poisson et messire l'ogre.



Comment cela va t-il finir?



Jon Agee jouera beaucoup des apparences et nous ne souhaitons pas en dire d'avantage pour ne pas gâcher la chute irrésistible.



Les chevaliers ne devraient-ils pas se reconvertir et laisser les dragons à abattre et autres devoirs bien dangereux?







Commenter  J’apprécie          40
C'est juste Stanley

La famille Wimbledon ne peut décidément pas dormir tranquille cette nuit, Stanley le chien de la famille fait un raffut de tous les diables. Ce qui n'a pas l'air jusque là d'inquiéter les membres de cette drôle de famille qui répète à chaque nouveau bruit "C'est juste Stanley". Mais que peut bien fabriquer Stanley en plein milieu de la nuit ? Album loufoque, à répétition, idéal pour les plus jeunes qui s'amuseront à essayer de découvrir ce que fait Stanley.
Commenter  J’apprécie          40
Seul sur Mars ?

Le début de l'album est amusant, sans en adopter le ton, par l'ironie de la situation.



L'astronaute se demande si ce n'est pas pure folie, complète lubie, de chercher la vie sur Mars.



Et ce, après avoir pourtant franchi le pont de l'espace et avoir poser le pied sur la planète rouge.



Les jeunes saisiront-ils cette ironie?



Peut-être, oui.



Et puis, "c'est bien d'aller voir, comme ça on sait, non?", nous diraient-ils peut-être.







Tandis que notre "ambassadeur" terrien cherche le 1er contact avec un présent en main (une tarte peut-être de bon voisinage), l'hôte nous fait rire de se trouver finalement sous son nez, enfin, suivant discrètement ses pas plus exactement.



Un vrai sketch.



Qui va surprendre qui?







Notre astronaute passera par plusieurs états d'âme, de la recherche à la découverte, l'enthousiasme, l'excitation, l'obstination, le découragement, la foi retrouvée.



Nous continuons de sourire jusqu'au bout, l'ironie ne cessera pas, avec cet immense martien qui agit à l'insu du héros pour lui être agréable.



Et nous, lecteurs, avons la réponse sur une possible bienveillance au delà de nos limites connues.



Une leçon que les jeunes lecteurs pourront conserver.



La fin est mignonne.



On aime beaucoup.
Commenter  J’apprécie          30
Le bon côté du mur

Au milieu de ce livre ce dresse un grand mur. Ce mur protège le petit chevalier, héros de cet album jeunesse, des bêtes sauvages qui s'ébattent de l'autre côté, mais aussi et surtout de l'ogre qui y règne. Mais, alors que notre chevalier se pense en sécurité, l'on découvre que le danger n'est pas toujours du côté que l'on pense... Une belle histoire pour aborder la question des frontières et des murs qui fleurissent un peu partout, et s'interroger sur la peur de l'autre.
Commenter  J’apprécie          20
Le bon côté du mur

Un livre est partagé en deux par un mur. D’un côté du mur, un chevalier souriant se réjouit de ce mur qui le protège des dangers présents de l’autre côté du mur et ce faisant, il continue à construire le mur.



J’aime particulièrement les livres avec un bon rapport texte-image. Je l’ai déjà dit ? Ah bon.

En tous cas, cet album en est un très bon représentant.

Le chevalier, narrateur de l’album, explique les dangers qu’il imagine de l’autre côté du mur? solidement installé sur la reliure du livre. Effectivement dans un premier temps, tout semble très calme du côté du narrateur alors que de l’autre côté un rhinocéros d’Asie, un tigre et un gorille semblent vouloir passer de l’autre côté et semblent presque menaçants.

Mais petit à petit, l’eau monte du côté du chevalier et les prédateurs arrivent, tandis que de l’autre côté du mur, tout le monde s’affaire…

Un bel album où l’on comprend que les idées toutes faites sont loin de refléter la réalité.

Le narrateur étant tout le temps tourné vers sa partie du mur, il n’a aucune idée des dangers qui le guettent et il ne peut qu’imaginer ce qu’il se passe de l’autre côté.

J’ai beaucoup aimé les échanges de regard entre les animaux de l’autre côté du mur. J’ai apprécié aussi les clins d’oeil comme le canard qui comprend vite où est le danger et que l’on retrouve finalement de l’autre côté du mur.

L’album rappelle ceux de Jon Klassen. Mais il a aussi son propre style et il est réjouissant.
Lien : http://bloguiblogas.blogspot..
Commenter  J’apprécie          20
Seul sur Mars ?

Après avoir repéré la petite référence à Tintin en voyant cette fusée sur le sol lunaire, on suit la petite balade hasardeuse et pleine d’espoir de Petit homme. Ce qui réjouit dans cette lecture c’est l’appétit de cet être humain convaincu par ses idées et déterminé. Il porte en lui l’imagination de la vie et l’envie de la rencontre. Le Martien aussi grand que timide qui le suit provoque un gag efficace auquel l’auteur laisse du temps. Cela pimente la lecture et parvient à passer à un autre niveau de lecture. Au-delà du gag, l’auteur développe son sujet, celui de la croyance. L’espoir de trouver la preuve de la vie sur Mars est maintenu jusqu’au bout et ce grâce à une pirouette de John Agee. Celui-ci tient son « suspens » en distillant des valeurs d’entraide et de solidarité. Cet album relie la vie et la solidarité avec beaucoup de finesse et de délicatesse. Une belle manière de défendre la découverte de l’autre et la liberté d’imaginer, même les choses les plus folles.
Lien : https://tourneurdepages.word..
Commenter  J’apprécie          20
C'est juste Stanley

Stanley est un chien banal au premier abord sauf qu'une nuit, il se met à aboyer à la lune comme cela arrive quelquefois à nos amis les canidés. Ses maîtres, Wilma et Walter Wimbledon sont bien entendu réveillés mais ne s'inquiètent pas outre mesure. Quand Wendy Wimbledon, une de leurs filles est sortie du sommeil par des cliquetis, on ne s'inquiète pas plus car Stanley est maintenant descendu à la cave pour réparer la chaudière à mazout. Un peu plus tard, à deux heures et demie du matin tout de même, c'est Willie Wimbledon qui vient se plaindre d'une drôle d'odeur qui le met au bord du vomissement. Mais quand le chef de la famille constate que ce n'est que Stanley qui concocte une soupe de poissons, tout le monde se couche rasséréné. Mais la nuit est loin d'être finie et les occupations nocturnes de Stanley vont devenir de plus en plus intrigantes. Mais chut ! je n'en dévoile pas plus, préférant vous laisser découvrir la chute finale de cet album aussi extraordinaire que poétique.

"C'est juste Stanley" est une vraie réussite qui passionne et surprend les enfants et pas seulement parce que l'album offre un final original. Avec un dessin doux, rendant le chien Stanley attachant alors qu'il ne joue pas d'un regard de cocker, restant même un peu lointain, Jon Agee parsème son récit d'une foule de petits détails humoristiques ou gentiment décalés : les nombreux membres de cette famille dont les noms commencent tous par W, ...

La fin sur le blog
Lien : http://sansconnivence.blogsp..
Commenter  J’apprécie          20
Un chien ou rien

J'ai adoré ! Une petite fille vient chercher un chien au refuge, dont le directeur s'évertue à lui fourguer n'importe quoi à part le chien tant attendu. La petite ne manque pas de répartie, sait ce qu'elle veut, et finit par obtenir ce qu'elle souhaite, pas forcément sous la forme désirée.

Un court album drôle, plein de tendresse, avec un directeur désarçonné par l'obstination de la petite fille et qui nous rappelle pourquoi le chien est le meilleur ami de l'homme (et des enfants).
Commenter  J’apprécie          10
Un chien ou rien

Une histoire sympathique sur la thématique de l'animal domestique. On y découvre une petite fille venue dans une association cherchée un chien mais à qui l'on propose bien d'autres animaux, tous plus exotiques les uns que les autres (on notera au passage la dénonciation de ce type de comportement puisque les animaux sont dans un refuge).

Le livre se lit avec plaisir et promet un joli moment de lecture.
Lien : http://boumabib.fr
Commenter  J’apprécie          10
Un chien ou rien

Une petite fille arrive dans un refuge pour adopter un chien. Mais la personne du refuge préfère lui présenter plein d'autres animaux : un fourmilier, un singe, un wombat... Mais la petite fille veut un chien. Pourtant...



C'est vraiment une histoire saugrenue mais elle m'a fait rire.



Pour chaque animal, le monsieur qui travaille dans le refuge essaie de rapprocher l'animal d'un chien avec plus ou moins de succès. Le babouin court après la balle, le python peut ramper quand on l'appelle, la grenouille aboyer après les voitures.



J'ai particulièrement apprécié l'échange au sujet du poisson :



Regarde ce que j'ai trouvé Un poisson rouge ! Il remue la queue et il joue à faire le mort, comme un chien.



Mais, monsieur... ce poisson ne joue pas à faire le mort !



Le monsieur obstiné finit par déguiser des animaux en chien.



Et contre toute attente, la petite fille se laisse séduire par un autre animal.



C'est un peu n'importe quoi. Il n'y a pas de logique, aucune idée du fait qu'il ne faut pas prendre un animal sauvage chez soi mais on est de toutes façons bien loin du documentaire.



De même les illustrations ne sont pas très belle, mais je me suis amusée des expressions des animaux et des personnages.



Tout cela donne un sympathique album un peu loufoque.




Lien : http://bloguiblogas.blogspot..
Commenter  J’apprécie          10
Un chien ou rien

Cet album met en scène un face-à-face savoureux entre un responsable d'animalerie prêt à tout pour se débarrasser d'un de ses protégés et une fillette déterminée à repartir avec un chien. Les situations cocasses s'enchaînent, provoquant une cascade de rires jusqu'à la fin prometteuse qui clôt cette farce à l'humour tonitruant !
Lien : https://www.ricochet-jeunes...
Commenter  J’apprécie          10




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Jon Agee (113)Voir plus

Quiz Voir plus

La vague, Todd Strasser

Ce roman fait parti de quel genre littéraire ?

roman d'adolescence
science-fiction
fantastique
horreur

10 questions
888 lecteurs ont répondu
Thème : La vague de Todd StrasserCréer un quiz sur cet auteur

{* *}