Est-il possible que le siège des sentiments soit enfoncé moins profond chez les femmes et que, par conséquent, ils soient plus proches de leur peau que ceux des hommes ? Que comme la femme a la faculté de donner la vie, elle y soit d’une certaine manière plus sensible, ainsi qu’à la souffrance qui ne se mesure qu’en larmes, en deuil et en douleur ?