Le 8 février 1963, après son habituelle promenade dans les paysages enneigés du Nid d’Aigles, Hitler se plaint de fortes douleurs au torse, et fait immédiatement venir à son chevet le Dr Morell, qui l’a suivi dans sa retraite. Celui-ci, notoirement incompétent, lui injecte quelques drogues de son cru, pensant que les symptômes s’estomperont d’eux-mêmes.
Le lendemain, sur l’insistance de Bormann, qui constate que l’état du dictateur se détériore rapidement, le médecin, qui semble dépassé, appelle l’un de ses confrères, le Dr Werner Haase à le rejoindre en urgence au Nid.
Mais lorsque celui-ci arrive, dans la nuit, il est déjà trop tard. Le 10 février 1963, à 2 h 34, Adolf Hitler, Führer du Grand Reich et conquérant de l’Europe, décède des suites d’une embolie pulmonaire.
Dans la salle, c’est un silence de plomb qui s’abat.
Comme dans l’ensemble du pays, les journalistes ont compris. Marine Le Pen a décidé d’en finir avec le problème des cités, et elle a envoyé l’élite de l’Armée française s’occuper de la pacification des banlieues…”