[...] On ne pouvait s'y tromper : un vapeur désarmé était chose morte ; un voilier semble en quelque sorte toujours prêt à reprendre vie au souffle des cieux incorruptibles ; mais un vapeur, pensait le capitaine Whalley, tous feux éteints, sans les chaudes bouffées qui de ses profondeurs montent à votre rencontre sur le pont, sans le sifflement de la vapeur, sans les bruits métalliques dans son sein, repose là, froid, immobile, sans pulsation, comme un cadavre.