Ce que je crois de toute mon âme c'est que, se voyant mourir comme il l'avait voulu, après avoir vécu comme il l'avait fait, libre de toute compromission, pur de toute souillure, n'ayant fait qu'aimer, combattre, rire et souffrir, [...]Jean Mermoz connut le sacre de la vérité. On ne peut être certain d'elle que sur le pas de la mort.