A partir de ce jour, les masseurs attachés à l'hôpital, qui traitaient les soldats blessés, commencèrent à instruire Kersten. Et un mois ne s'était pas écoulé que les soldats préféraient, à tous les professionnels, le sous-lieutenant étudiant. Et lui, il découvrait avec un étonnement presque craintif, avec un étrange bonheur, le pouvoir qu'avaient ses mains de rendre au corps souffrant des hommes la souplesse, la paix et la santé. (p.25)