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2.79/5 (sur 55 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Danville (Illinois) , 1974
Biographie :

Joshua Ferris a un BA de l'Université de l'Iowa (1986)Il part poursuivre ses études à Chicago, puis part pour la Californie où il obtient une maîtrise à l'université d'Irvine.
Il a été publié pour la première fois, dans une revue, en 1999..

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Joshua Ferris - Le pied mécanique .
Joshua Ferris vous présente son ouvrage "Le pied mécanique" aux éditions Lattès.http://www.mollat.com/livres/joshua-ferris-pied-mecanique-roman-9782709635301.htmlNotes de musique : Poulenc / 18 - Deux Poemes de Louis Aragon, Fp 122 - 1. "C"

Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
Chez l'athée, le plus triste ce n'est pas la perte de la foi et, par suite, des réconforts qu'elle procure - et ce n'est pas un epsilon négligeable, je vous le dis ! Non, le plus terrible, c'est la perte d'un vocabulaire essentiel à l'humanité. La grâce, la compassion, la transcendance...
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Notre amitié comptait donc aussi peu ? Pendant que nous parlions, moi assis sur une machine bizarre et lui couché sur le banc avec ses galettes, je réalisais que j'aurais pu être n'importe qui pour McGowan. J'étais juste une connaissance de la salle de sport et notre amitié se limitait au fait d'excercer le même métier et d'avoir un faible pour la même équipe de baseball..(.....)..Et cela m'emplissait d'une infinie tristesse.
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Il fallait pourtant que je m'endorme avant maman, parce que sinon, si je restais la seule personne éveillée dans la maison c'était comme être seul au monde.Et ça il n'y avait rien de plus terrifiant, rien de plus triste.
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Joshua Ferris
Le rêve américain et l'Amérique ne préparent pas ses citoyens à la tragédie.
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Marcher, marcher, marcher droit devant sans s'arrêter, jusqu'à l'épuisement...

C'est ce dont souffre Tim, avocat renommé et passionné par son travail. Personne ne connait son mal, et pourtant il en a vu des médecins. Et malgré le total dévouement de sa femme, aucun traitement ne fonctionne. Alors, afin de limiter les dégats, celle-ci l'équipe d'une combinaison contre le froid, d'un sac à dos avec un kit de survie et dès que Tim l'appelle, Jane court le chercher avant qu'il ne soit trop tard.

"Il n'était pas possédé, mais le témoin impuissant d'un piratage mystérieux de sa chair, une âme terrifiée, prise au piège dans un train fou (...) p37.

Tim aimerait être comme tout le monde, ne pas souffrir d'une maladie non reconnue, dont il a honte. Il se réfugie dans son travail qui est le seul élément de sa vie qu'il maîtrise, mais jusque quand...

Il est rongé par le doute et la peur de tout perdre et peu à peu, au fur et à mesure que la maladie l'affaiblit, il se rend compte de l'intérêt de prendre son temps et de prendre conscience de son environnement.

Joshua Ferris nous décrit avec ce roman la dégringolade d'un couple de la haute société américaine. Il campe ses personnages petit à petit, à l'image de la maladie qui grignote peu à peu la vie de Tim. Malgré le côté sombre de son roman, il s'en dégage un véritable hymne à la vie. renoncer à se battre contre la maladie c'est accepter, paradoxalement, de vivre.
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Pour ma part j'ai bien apprécié ce livre,étrange certes de par son sujet mais
qui entraine des aspects métaphysiques sur la condition humaine,ce n'est pas le fait d'une maladie inclassable mais plutôt que l'homme est souvent l'artisan
de son propre malheur,alors qu'on a tout pour être heureux il y a toujours un grain de sable qui nous force à nous détourner de la tranquillité et du bonheur
L'écriture est agréable et j'ai lu ce livre avec bcp de plaisir, la fin étant conforme à ce qu'on peut attendre.N'est ce pas le fait que nous soyons mortels qui donne du prix à la vie?
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Moi, je m'exclus du monde? " vous n'avez pas de site Internet. Et vous refusez de créer votre page Facebook, précisé-t-elle. Vous n'avez aucune existence en ligne. Barry Hallow dit que.. " " Et c'est pour ça que je m'exclus du monde? Parce que je n'ai pas de page Facebook?"
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"J'aurais aimé croire en Dieu. Il y aurait eu alors dans ma vie quelque chose de plus important que le reste. En croyant en Dieu, j' aurai pu profiter de l'existence, être content de moi, avoir l'esprit tranquille. Tout serait possible! L'éternité me serait offerte!"
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J'aurais aimé croire en Dieu. Il y aurait eu alors dans ma vie quelque chose de plus important que le reste. En croyant en Dieu, j' aurai pu profiter de l'existence, être content de moi, avoir l'esprit tranquille. Tout serait possible! L'éternité me serait offerte!
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Nous étions des râleurs bien trop payés
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