Joshua Mowll

J’ai vraiment aimé le côté décalé de cette histoire. C’est plein d’humour, d’anecdotes, de jurons et de surnoms tous plus loufoques les uns que les autres. La famille Crankshaw, il vaut mieux les avoir en photo mais à lire c’est un délice.



Joshua Mowll signe un roman drôle et cocasse qui doit surtout son succès à une multitude de personnages tous plus attachants les uns que les autres, à commencer par la famille Crankshaw. Elle se compose de la Générale (l’aînée), Champ’ et les quadruplés nommés respectivement Lundi, Mardi, Mercredi et Jeudi. Il y a aussi Jake, le meilleur copain de Champ’, fan de fusées, de complots interplanétaires et pétomane à ses heures. Il y a Barry et Eve, les chimpanzés-jouets dotés d’intelligence, construits par Arthur (le papa). Et puis il y a LE méchant : Zircon, multimillionnaire qui a développé les chimpanzés-jouets en roulant la famille dans la farine, et les méchants : Thumper, l’huissier, avec ses deux gros chiens : Haine et Amour.



En plus, le roman est parsemé de photos commentés, de dessins, de gribouillages, comme un journal intime ou un journal de bord.



A conseiller aux bons lecteurs dès 9 ans car l’écriture reste dense et le vocabulaire parfois ardu.

Dans les années 1920, Rebecca et Douglas MacKenzie, deux adolescents de quinze et treize ans, sont recueillis par leur oncle, homme énigmatique et capitaine d'un navire tout aussi mystérieux. Sans nouvelles de leurs parents partis en mission dans l'ouest de la Chine, Rebecca et Douglas découvrent les liens que ceux-ci entretenaient avec une étrange société secrète, chargée de protéger une découverte scientifique aux potentialités révolutionnaires, mais dangereuses. Malheureusement, le redoutable pirate Sheng-Fat, qui fait régner la terreur sur la Mer de Chine, s'est approprié cette découverte. Commence alors une course contre la montre pour retrouver Sheng-Fat, et l'empêcher de mener à bien ses projets diaboliques.



L'avis de la rédaction : Une très bonne intrigue, parfois un peu complexe, mais toujours menée tambour battant, même si les personnages sont un peu conventionnels. Le point fort de ce roman d'aventure : une présentation très originale, agrémentée de photographies, de documents (cartes, plans…) et de dessins, qui l'assimilent à un journal ou dossier confidentiel.



L'avis de Jonathan, 13 ans : Ce roman est à la fois un récit d'aventures et un récit d'histoire. La trilogie les Aventuriers du Cercle me paraît prometteuse. C'est une histoire facile à lire, mais parfois complexe. Un bon livre : bonne lecture !

c'est très bien ecrit

Grand concours de l’espace, rien que le titre me faisait saliver mais j’ai vite déchanté. Pourtant, les personnages sont assez drôles : une sœur autoritaire, un papa inventeur, quelques quadruplés et un narrateur musicien. Et bien sûr, quelques méchants !

L’histoire est facile à lire, amusante mais elle ne m’a pas séduite, je n’ai jamais été prise par les actions qui s’enchainent. Cependant, j’ai bien aimé les dessins, photos et articles de journal et autres qui donnent un petit cachet original à cette histoire farfelue.

Un roman jeunesse sympathique qui plaira surtout aux plus jeunes :

peu d'action, des enfants, de l'aventure et pleeein d'images!

C'est ce qui m'a fait acheter ce roman dont je n'avais jamais entendu parler : de nombreux dessins, des minis biographies avec photos ou encore des pages accordéons (j'ignore le nom de ce type de page).

En fait, ce livre est présenté comme un dossier d'archives top secret.

Ce qui donne bien envie de l'ouvrir.

A part ça, l'histoire est un peu longue et et je trouve qu'il ne se passe pas grand chose. Il faut croire que suis trop vieille pour ces romans-là.

Une aventure passionnante, des personnages hauts en couleur, cette trilogie figure parmi les romans préférés de mon enfance et même adulte je prends plaisir à les relire.

Ils ne sont plus édités actuellement, mais j'espère qu'un jour les éditeurs auront la clairvoyance de les republier, car c'est des perles rares.



Les héros, un frère et une soeur, ont 13 et 15 ans. L'histoire se passe dans l'Entre-deux-guerres, mais loin de l'Europe : dans les pays de l'Asie du Sud-Est. Leurs parents ayant disparu, c'est un de leurs oncles qui va les recueillir sur son navire. Très vite, les enfants vont découvrir que leurs parents (et l'oncle) font partie d'une société secrète aux buts mystérieux.

Curieux, bien décidés à désobéir autant qu'il le faudra pour retrouver leurs parents et connaître le fin mot de l'histoire, Rebecca et Douglas (mais il préfère "Doug") vont se retrouver au milieu de complots, pirates sanguinaires, mystères historiques et technologies nouvelles.



Le livre, présenté sous la forme d'un document confidentiel, comporte de nombreuses photos de personnes, d'articles de journaux ou d'objets, qui laissent facilement penser que le récit est véridique (Joshua Mowll est apparemment un expert en photographie et en graphie). Il y a aussi des croquis illustrant des scènes, appareils ou personnages et des documents dépliables présentant en détail des plans de machines (le navire l'Expédient, par exemple), des techniques de combat, des cartes de lieux...

L'action est complétée par les multiples schémas et annotations qui, sans perturber le récit, l'encadrent. De temps en temps, les pensées de Rebecca sont développées dans le fil du récit par des extraits du "Journal de Becca", permettant une plongée plus profonde et pleine d'humour dans le point de vue de la principale protagoniste. Le reste ne manque pas non plus d'un certain comique, notamment dans les échanges au sein de la fratrie.



Je n'ai jamais vu de livre jeunesse d'une telle qualité, qui incite autant à rêver dans un univers réaliste. L'utilisation des illustrations de types variés et des documents dépliables font de ce livre une aventure exotique palpitante et originale (pour ne pas dire unique).

Pour peu on croirait que l'auteur a réellement écrit son récit à l'aide des archives ancestrales révélant les mystères de la société secrète des Aventuriers du Cercle, comme il le prétend dans son prologue.



Si vous trouvez cette trilogie quelque part, offrez là à un jeune collégien ou lycéen (même un adulte) de nature curieuse et aimant les récits d'aventure : vous ferez son bonheur !

j'ai bien aimé :)

j'ai bien aimé :)

Joshua Mowll. Le nom de cet auteur vous dit peut-être quelque chose, c'est lui qui a écrit la trilogie des Aventuriers du cercle. Avec le Grand concours pour l'espace, Joshua Mowll s'attaque à une toute autre ambiance et propose un roman drôle qui m'a beaucoup fait penser aux livres de Roald Dahl, (je pense à Charlie et la chocolaterie) ou à ceux de Frank Cottrell Boyce (je pense à Un Crime parfait et à Un Ticket pour la lune). Le point commun entre ces trois auteurs : l'humour au centre de leur histoire, la création d'une intrigue aussi incroyable et fantastique que surréaliste et enfin des personnages audacieux, touchants qui partagent le désir de s'en sortir face à une situation de crise et ont pour ambition de réaliser leur plus grand rêve.

Des quadruplés (surnommés « le Quarté-gagnant ), Eric (dit « le Champion ») et la sœur Siobhan (dit « La Générale ») forment avec leur père, bricoleur fou, auteur d'inventions aussi géniales que non rentables, cette famille incroyable et formidable. Dés lors qu'Eric lance tout ce petit monde dans la grande course pour l'espace, la famille va vivre des situations cocasses que le lecteur partagera avec délice.

La lecture du Grand concours pour l'espace est un véritable enchantement où l'on suit avec plaisir les péripéties de la famille Crankshaw. Une seule question maintient le lecteur en haleine : la famille va t-elle gagner ? Mais la route vers la victoire est longue et les imprévus sont nombreux, pas forcément là où on les attendait.

Ce qui fait la saveur et l'originalité du Grand concours pour l'espace c'est aussi les nombreuses illustrations du roman, réalisées par Joshua Mowll. On a l'impression d'avoir un carnet de bord ou un journal intime entre les mains, inscrivant le texte dans le réel et lui donnant un ton encore plus vivant.

Une leçon à retenir de ce livre ? Il faut savoir aller au bout de ses rêves, même lorsqu'ils paraissent aussi improbables que d'acheter sur internet une véritable fusée avec seulement cinq dollars...

c'est un roman écrit, illustré, anoté par Joshua Mowll : on y trouve plein de notes, croquis, dessins et photos, souvent complètement loufoque, du coup, la forme même du roman est amusante. Pour l'histoire, on est également dans l'univers déjanté du rock, de la robotique, des expérimentations...
Lien : http://capocapesdoc.over-blo..

Lecture jeune, n°121 - Voici les deux premières aventures de Rebecca et Douglas MacKenzie, deux adolescents dont les parents ont mystérieusement disparu lors d’une expédition en Chine. Rebecca et son jeune frère sont confiés à leur oncle, Fitzroy MacKenzie, capitaine haut en couleur de L’Expédient. Nous sommes en 1920, les jeunes gens embarquent sur ce navire scientifique en partance pour une mission inconnue, dont ils vont essayer de percer le secret. Leur curiosité les conduit dans une aventure aux nombreux rebondissements, au cours de laquelle ils découvrent l’existence du Cercle du savoir, une société secrète qui a pour but de rassembler quatre « gyrolabes » et semble avoir un lien avec la disparition de leurs parents. Ces livres sont avant tout de beaux objets : Joshua Mowll, leur auteur, est également graphiste et les a remarquablement illustrés de planches, de dessins et de photos anciennes. Ils apportent au récit une caution authentique. La narration ne manque pas d’originalité non plus. L’auteur se présente en effet comme l’héritier de Rebecca : elle lui aurait demandé par testament de rendre publiques ses archives concernant le Cercle du savoir. Le texte se partage donc entre le récit de Joshua et des extraits du journal intime de Rebecca. Quant à l’aventure, passionnante et mêlée de découvertes scientifiques, elle évoque les romans de Jules Verne ou certains albums de Tintin. Les jeunes lecteurs devraient adorer. Juliette Buzelin