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Citations de Joyce Maynard (728)


Quand on est vrai, on se moque de souffrir.
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La vie n'est qu'un rêve.
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Dans notre famille, c'était vu comme un problème - cette fantaisie que je possédais et ma capacité à inventer des histoires et des intrigues. Pour ma mère, ce genre d'activité indiquait des dispositions inquiétantes, qui pourraient m'entraîner vers des pensées impures. Toutes les histoires dont nous avions besoin étaient dans la Bible. Pourquoi en chercher ailleurs ?
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J'ignorais la véritable histoire de son père, mais à treize ans on n'est pas trop jeune pour comprendre que le chagrin et les regrets se manifestent sous de nombreuses formes.
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«  Parfois les gens vous déçoivent terriblement.
Même les adultes .Spécialement les adultes , peut- être .
On aime beaucoup une certaine personne, on croit pouvoir lui faire confiance , et elle vous laisse tomber .Ça ne signifie pas qu’il ne faut plus jamais aimer quelqu’un.
Juste qu’il faut être sûr que quelqu’un le mérite.
Allais - Je vraiment devoir dire ça à un enfant de huit ans ? »
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Je ne parle pas du silence qui hurle parfois dans mes oreilles ni du vide que ma soeur a laissé et qu'aucune personne, si aimée soit-elle, ne pourra jamais remplir
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Normalement [quand ils font l'amour], elle ferme les yeux et pince les lèvres, à croire qu'elle pense à la hausse des prix. (p. 287)
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Mais Virgil et elle ne seront pas des parents comme ceux de Gill. Ils continueront à fumer de l'herbe, à faire du roller skate, et Jill des blagues idiotes comme dessiner un visage au marqueur sur le sexe de Virgil. Ils autoriseront leurs gosses à veiller tard si ça leur plaît, et ils leur apprendront les paroles des quarante premiers tubes au Hit. Et puis, malgré leur grand lit, ils iront de temps en temps s'envoyer en l'air près de la cascade. Jill ne deviendra jamais comme sa mère. Plutôt mourir ! (p. 109)
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Les murs du loft qui sert de chambre sont tapissés de photographies sûrement prises par Sally. Au premier coup d'oeil Carla a cru qu'elles représentaient deux collines l'une derrière l'autre, avec de longues ombres portées au premier plan, et une sorte de rocher moussu au fond. Mais en regardant plus attentivement elle s'aperçoit que Sally a dû prendre ces clichés pendant qu'elle et Dan faisaient l'amour. Des genoux... un coude... un bout de sein... et les testicules de Dan qui se balancent pesamment au-dessus. (p. 62-63)
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Un jour Joyce, il y aura une histoire que tu auras envie de raconter pour la seule raison qu'elle a plus d'importance pour toi que pour n'importe quelle autre. Tu laisseras tomber l'habitude de faire ce que tout le monde te dit de faire. Tu arrêteras de regarder derrière ton épaule pour vérifier que tu contentes tout le monde, et tu écriras simplement ce qui est réel et vrai. L'écriture sincère et vrai énerve toujours les gens, et ils trouveront toutes sortes de moyens de transformer ta vie en enfer. Un jour, dans très longtemps, tu ne cesseras de te soucier de savoir à qui tu plais ou ce qu'on dit de toi. C'est à ce moment-là que tu produiras enfin le travail dont tu es capable.
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Toby adorait ses sœurs. En dépit de son caractère bien trempé, il était toujours prêt à se plier à leurs quatre volontés du moment qu’elles le faisaient participer. Elles le déguisaient, le tiraient dans le chariot, lui donnaient des rôles dans les pièces qu’elles inventaient. Il se comportait de manière extravagante, exubérante, anarchique. Même quand il bravait un interdit, comme le jour où il se renversa un bol de riz sur la tête en annonçant une tempête de neige, il leur était presque impossible de lui parler sévèrement. Les parents essayaient de se mettre en colère, mais finissaient par rire.
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Il allait peut-être, très brièvement, se faire du souci pour [sa fille], mais ça ne le rongerait pas. Il passerait à autre chose.
Cam était doué pour cela.
(p. 250)
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Une mère ne pouvait pas plus protéger ses enfants du chagrin et de la tristesse qu'elle ne pouvait empêcher le soleil de se coucher ou de se lever le lendemain.
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Selon Darlan,telles étaient les conséquences de l'amour. Un lavage de cerveau.
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Au début de nos relations, elle m'avait raconté que, lorsqu'elle avait révélé à ses parents qu'elle aimait les femmes, son père avait fait tout un tas de toutes ses affaires devant leur maison en Iowa et y avait mis le feu. Toutes les photos de famille, tous ses jouets, tous les souvenirs de son adolescence - tout fut réduit en cendres alors que sa mère regardait derrière une vitre.
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Parfois les gens vous déçoivent terriblement. Même les adultes. Spécialement les adultes, peut-être. On aime beaucoup une certaine personne, on croit pouvoir lui faire confiance, et elle vous laisse tomber. Ca ne signifie pas qu'il ne faut plus jamais aimer quelqu'un. Juste qu'il faut être sûr que ce quelqu'un le mérite.
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Le monde, sans la protection de notre père, me paraissait méconnaissable, un lieu de solitude insupportable.
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Perdre est une chose. Regretter une perte qu’on aurait pu éviter avec un peu plus de jugeote est pire encore.
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En grandissant, j'ai appris au moins une chose : comment ne pas ressembler aux deux êtres responsables de ma naissance.
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D’abord, [ma mère] paraissait plus jeune. Appuyée au plan de travail, elle mordait dans une pêche, si mûre que le jus lui dégoulinait sur le menton pour tomber sur le chemisier à fleurs, mais elle ne semblait pas s’en apercevoir. Elle hochait la tête et souriait. Elle s’amusait, voilà la réalité. On avait l’impression qu’un courant électrique circulait entre eux deux. [Frank] me parlait, m’écoutait, avec le maximum d’attention, pourtant il se passait quelque chose, souterrainement, un truc indéfinissable pour la plupart des gens. Comme ces sons, si aigus que seuls quelques rares individus sont capables de les entendre.
Il me parlait, mais c’est à elle qu’il s’adressait en réalité. Et elle comprenait le message.
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