Acaso hubo búhos acá.
Adán y raza, azar y nada.
Allí va Ramón y no maravilla.
Al reparto, otra perla.
Amad a la dama.
Amada dama.
A Mercedes ese de crema.
Amargor pleno con el programa.
Amigo, no gima.
Amó la paloma.
Amo la pacífica paloma.
Amor a Roma.
Ana lava lana.
Ana lleva al oso la avellana.
Ana lleva nenes al abad, al reconocerla, dábala Senén avellana.
Anás usó tu auto, Susana.
Anita lava la tina.
Se es o no se es.
Se laminan animales.
Sí, lo sé Solís.
Si peca Hebe donde su sed no debe, hace pis…
Si tragar era gratis…
Sólo dí sol a los ídolos.
Sólo diseca la fe de falaces ídolos.
Sometamos o matemos.
Somos o no somos.
Sor Rebeca hace berros.
¡Sosa ya pagó su soga, payasos!
Subo tu autobús.
¡Y él alababa la ley!
Yo de lo mínimo le doy.
Il est indispensable que chacun apprenne à bien gérer sa haine ! La mienne est répartie de façon équitable entre ceux qui sont congelés dans le passé et ceux qui transpirent dans le présent. Car les uns souffrent de constipation cérébrale et les autres d'hémoroïdes de la sensibilité. De sorte que chacun à sa façon trahit la loi vitale qui exige d'évacuer ponctuellement les immondices telles que les mirages anciens ou lâchetés du temps présent
Su falta de obligatoriedad y su carencia de beneficios ennoblecen su nadería de regocijo incoercible. Es una poesía que se complace en el propio esfuerzo creador y en la alegría del éxito logrado. Descubrir es una de las funciones más dignas del entendimiento humano.
Il y a des peuples méditerranéens qui ne pensent qu'à prendre la mer. Ils se laissent bercer par le rythme envoûtant des vagues et la féérie du ciel étoilé se reflétant dans l'océan. De la même façon, il existe des êtres entourés d' épaisses strates de l'âme, sorte de méditerranées intérieures, qui ne pensent qu'à trouver une issue vers l'amour. Car l'amour est pour eux comme un grand océan de bonheur. Et cette sortie vers la mer, ce trait d'union, c'est la chair.
L’homme solide, pragmatique et austère qui m’habitait jusqu’alors s’est volatilisé. Je suis un homme flou. Je ne sais pas comment extirper cet autre qui m’habite. Moi qui avais une personnalité structurée — sur fonds introspectif — je me suis perdu de vue. On m’a kidnappé. Toute ma plastique individuelle et morale a fichu le camp. Seuls persistent le squelette de la volonté et l’échafaudage du rêve. Je vis dans des transes pathétiques, désespérément pathétiques.
Le jour où les mères décréteront le lock-out mondial du vagin, alors la destinée de l'humanité se trouvera déviée de son cours fatal. Il n'est pas juste que l'amour engendre de la haine !
La routine est tenace comme les morpions. Elle s'accroche à vous et se reproduit dans chaque geste comme le pou dans chaque poil. Seules la folie et la fièvre parviennent à l'extirper.
Citation sur la guerre, Op Oloop tenant les statistiques de décès sur les champs de bataille de l'est de la France pendant la première guerre mondiale "L'abjecte insatiabilité de Mars traversant les siècles pour assouvir son délire césarien. (...) Pourquoi ? J'ai vu Pershing et Foch passer en revue mon armée de gisants, marchant devant les mères médaillées de la Gold STar. Souvenir horrible ! Ni compassion, ni respect, juste de l'orgueil."
Pour avoir la conscience propre, il faut en expulser les concepts et les discours nauséabonds. Au fond, parler et déféquer c’est à peu près la même chose.