Depuis son mariage, dix-huit ans plus tôt, Tessa Kent, la star de cinéma la plus adulée de la planète, n’avait jamais paru en public sans ses somptueux bijoux. Même en bikini, elle portait des colliers de coquillages incrustés de pierreries. Sur elle, ils n’étaient jamais déplacés, quels que soient l’heure, la saison ou le goût du jour. Ils faisaient partie intégrante de sa personnalité publique et privée, c’était un trait aussi spécifique que le son de sa voix, la forme de sa bouche, la couleur de ses yeux.