Keijo portait en guise de chaussures une paire de fines semelles qu’il s’était peut-être procurées, des décennies plus tôt, sous le nom de tongs. En fait de pantalon, une guenille trouée au fond, sans rien en dessous. Sa chemise était d’un gris qui ne donnait aucune indication quant à sa couleur d’origine. Surmontant cet ensemble se balançait une tignasse pleine de nœuds pouvant abriter n’importe quel type de vie.