Lyon a été un désastre pour ma soi-disant image publique. J’ai beau me répéter cette phrase, elle reste vide de sens…
Tout ce que je vois c’est la transe du moment vécu. Le feu qui me possédait, la colère répercutée dans la foule.
Mon mépris, l’envie de leur balancer le pied de micro à la gueule.
J’étais le soleil, et eux rien.
Dévorant mes paroles sans en lire le fond.
(p. 26-27)