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Citation de mamansand72


Ensuite j’ai pris le DVD. Il s’agissait d’un long-métrage d’Erich Rohmer intitulé L’arbre, le maire et la médiathèque, formule étrange qui ne m’a pas encouragée à l’insérer tout de suite dans le lecteur. Pour ce faire, j’ai attendu que l’Inspecteur parte travailler le lendemain matin, et je me suis installée à mon aise dans le canapé.
L’intrigue, au demeurant fort mince, reposait sur le triangle composé par un homme et deux femmes, le rôle principal échéant au comédien Pascal Greggory, qui d’abord vivait avec Arielle Dombasle puis, au fil d’interminables arguties, se retrouvait avec Clémentine Amouroux. J’ai pensé que je ressemblais assez à la première, on me l’avait déjà remarquer, mais en dehors de ce détail, rien dans le film ne pouvait éclairer ma situation précédente. De dépit, comme j’avais lu tous les romans de la bibliothèque, je me suis tournée vers la pièce de Jean Racine, qui n’avait pas regagné le dernier tiroir, intitulée Bérénice et que j’ai parcouru d’un oeil distrait, n’étant guère portée vers la tragédie. !j’ai tout de mêmes enregistré la coïncidence entre les deux Bérénice, le personnage interprété par Arielle Dombasle dans le film d’Erich Rohmer s’appelant ainsi, et le soupçon m’est alors venu que c’était également le prénom de la morte.


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