Comme un organisme, un roman vit d'échanges multipliés : c'est le propos d'un des personnages qui fait descendre le crépuscule et la fraîcheur d'une matinée qui rend soudain l'héroïne digne d'amour. (Lettrines - Œuvres complètes tome 2 page 150 - Editions de la Pléiade).