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Critiques de Julien Lambert (54)
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VilleVermine, tome 1 : L'homme aux babioles

Il va falloir s'accrocher un peu dans ce polar futuriste où notre héros ne fait que de causer avec des objets courants. Cela part de la poubelle, à la radio, l'ampoule électrique ou la chaise. Bref, nous devons être dans l'acceptation et faire comme si c'était normal pour entrer en communion avec le personnage principal qui est détective de profession. Pas facile.



Cette cité est appelée ville vermine car elle est grise et dangereuse avec des personnages pour le moins inquiétants. On sera assez vite happée par l'action même si on arrive à en deviner les aboutissants. Je crois que l'accent est surtout mis sur cet univers urbain un peu spécial où les insectes grouillent.



La moralité est mise sur la personnalisation des objets du quotidien qu'il ne faut pas jeter mais réparer si possible car ils ont une âme. Ils vont d'ailleurs aider notre anti-héros dans son enquête sur la disparition d'une jeune femme destinée à une carrière de chanteuse et qui est la fille de la reine des bas-fond de la ville.



Un mot sur le dessin aux consonances moderne et urbaine qui tranche un peu avec la poésie de cette série qui peut se dégager par moment au-delà de toutes les extravagances. Le découpage est dynamique ce qui concourt à une lecture fluide notamment dans les scènes d'action et de combat.



Je ne suis généralement pas fan de ce type de lecture mais je dois dire que c'est plutôt bien construit une fois qu'on aura avaler une grosse couleuvre. A voir si toute cette singularité de l’œuvre tente d'autres lecteurs. Le prix Fauve polar à Angoulême en 2019 ce qui constitue quand même une bonne référence.
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Edwin : Le Voyage aux origines

J'ai choisi cette bande dessinée juste en la feuilletant.

Les pages semblaient pleines de décors fantastiques, j'y ai vu des villes fabuleuses, l'intérieur d'un navire, le cabinet de travail d'un scientifique, une jungle luxuriante....

Et je me félicite de ce hasard car j'ai beaucoup aimé cette histoire qui ressemble à la fois à un récit de voyage et à une quête des origines.



Le personnage principal, Edwin, est passionné par l'Afrique et l'origine de la race humaine.

Accompagné de son majordome et de son chien, il va entreprendre une expédition incroyable et déroutante.



La fin m'a apporté la preuve que j'avais bien eu affaire à une bande dessinée peu commune mais véritablement de qualité, une ode aux rêves et aux envies, même si celles-ci paraissent parfois peu à notre portée.
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VilleVermine, tome 3 : Le tombeau du géant

Un troisième tome de Villevermine ! Je suis trop heureux de retrouver Jacques Peuplier, le détective qui parle aux objets.

Le graphisme est brut, le trait semble un peu tremblant, une fausse assurance, comme celle de son héros, taciturne, solitaire, mais en réalité, jamais solitaire car où qu’il aille, les objets lui parlent, c’est lourd à supporter, mais ça lui permet de retrouver tous les objets perdus, moyennant finance. La petite fille du bûcheron l’envoie à la recherche du merlin avec lequel son grand père a tué le géant il y a 50 ans. Voilà Jacque Peuplier embarqué dans une étrange aventure dans les sous-sols inondés de la ville.

La magie opère, les objet deviennent des personnages intrigants, ce merlin ou fendeur à son caractère bien trempé, et puis notre héros est vraiment un personnage troublant, un ours mal léché dans le style du détective de polar des années 50, dans une histoire où le fantastique vient parcimonieusement y mettre son grain de sel. Cette histoire de Géant me fait penser au Golem de Gustav Meyrink, la ville y est tentaculaire, sombre et troublée par des histoires de crimes, de moeurs, de vieilles rancœurs.

J’adore le style graphique de style graphique de Julien Lambert, j’adore le ton de ces récits, où le sordide cotoie la poésie, et enfin, l’intrusion du fantastique avec ces objets qui parle est exploité dans un style bien particulier et très original.

Troisième tome pour cette série, après un premier diptyque formidable, j’espère qu’on retrouvera encore Jacques Peuplier pour de nouvelles aventures, Julien Lambert tient là un beau filon.
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Edwin : Le Voyage aux origines

Il y a de ces histoires qui vous mènent par le bout du nez là où n'auriez pas imaginé mettre les pieds, et celle-ci en fait partie, bref c'est une belle découverte!



19ème siècle, Londres, l'Afrique attire les Européens. Edwin, lui, a une bonne raison: il est convaincu que ce continent est le berceau de l'Homme, et il veut en donner les preuves. Personne ne voulant financer ses recherches - quel rapport peut-il y avoir entre eux et les primates??- Edwin embarque clandestinement dans un bateau, accompagné de son chien Floch et de son majordome.

Je ne veux pas en dire plus car c'est à partir de maintenant que l'aventure commence, inattendue et pleine de surprises.

Elle mériterait d'être une série plutôt qu'un one-shot!
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VilleVermine, tome 1 : L'homme aux babioles

Pour commencer, j’adore le graphisme, qui sort des sentiers battus, formes rondes pour les personnages, grand corps et petite tête, formes anguleuses pour la ville, angle de vues originaux, soin des détails sur les objets – ils ont une importance dans l’histoire – dessin au contours, mais avec des hachures brutes pour les ombres, une gamme de couleurs subtile, naturelle, on retrouve un style qui s’apparente à du graphisme d’albums pour enfants, et il y règne une belle lumière. Le choix des couleurs est judicieux, le style du trait est frais, affirmé, certaines vignettes sont de pures merveilles, tout cela sans effets tapageurs, c’est aussi très ténu, intimiste parfois, cela contribue à cette ambiance si particulière. J’adore le mélange des genres, science fiction, fantastique, steampunk, dystopie, uchronie, merveilleux, horreur, on ne sait trop où on se situe, c’est juste “Villevermine”, un genre en soi, et déjà rien que pour ça, c’est tout à fait remarquable. Le récit est aussi d’une grande originalité, Jacques possède un don, celui de pouvoir parler avec les objets, qu’il utilise pour son métier : chercheur d’objets perdus ou volés. Un jour, il va devoir se mettre à la recherche d’une jeune fille, la fille d’une famille de truands, cela va l'entraîner dans des aventures fantastiques et rocambolesques. On va y rencontrer des hommes volants, des mouches, des enfants, un savant fou… Les personnages sont particulièrement attachants, de Jacques, pourtant pas très sociable, jusqu’à la cafetière. À travers cet univers totalement délirant, les thèmes sous-jacents sont aussi d’une grande richesse : empathie, sur-consommation… Il y a vraiment beaucoup choses à découvrir dans cette bande dessinée, pour moi, ça a été de l’émerveillement du début à la fin.
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VilleVermine, tome 2 : Le garçon aux bestioles

Le tome 2 confirme tout le bien que j’ai pensé du tome 1 : fou, délirant, original, riche et beau. La fin est parfaitement réussie, l’action est finalement assez classique, les gentils se battent contre les méchants, forcément, mais l’évolution des personnages est vraiment émouvante, et l’univers créé par Julien Lambert mêle tous les genres, science fiction, fantastique, steampunk, dystopie, uchronie, merveilleux, horreur, pour un résultat unique et riche.

Voilà un auteur à surveiller de près.
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VilleVermine, tome 1 : L'homme aux babioles

Une très belle découverte !



Je m’étais arrêtée sur cette belle couverture au cours de mes pérégrinations livresques, et lorsque l'occasion de lire cette BD m'a été offerte dans le cadre de l'opération masse critique, je l'ai saisie ! Avec chance, j'ai été retenue et les éditions Sarbacane m'ont rapidement fait parvenir cet album de Julien Lambert.



Villevermine, une ville qui porte bien son nom, résultante post-industrielle d'une société où règnent les malfrats et le chacun pour soi. Parmi ses habitants, Jacques Peuplier n'échappe pas à la règle. Taciturne et quasi misanthrope, il préfère converser avec les objets et ceux-ci lui rendent son attention en retour. Pouvoir entendre et échanger avec ces derniers, c'est grâce à ce don qu'il survit et exerce en tant qu'enquêteur privé.

Suite à une malencontreuse rencontre avec les frères Monk, bandits notoires, il leur offre, en échange de son sursis, ses services pour retrouver leur sœur disparue Christina. Une nouvelle enquête commence pour lui, qui lui réservera de biens étranges rencontres...

Très bel album de ce jeune auteur que je ne connaissais pas, qu'il construit sur une veine fantastique, tout en abordant des thèmes qui me sont chers : hyper-consommation, écologie, empathie. Le graphisme est très efficace et le choix des couleurs est judicieux. Le personnage principal est attachant mais ne fait pas pour autant oublier les personnages autres tels que le jeune garçon ou le savant fou . C'est donc un album équilibré, savoureux et palpitant ; il ne comporte à mes yeux qu'un seul défaut : jusqu'à quand devrais-je attendre la suite ?
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VilleVermine, tome 1 : L'homme aux babioles

Une BD repérée grâce au prix polar attribué à Angoulême cette année...



Une ville grise, crasseuse, Ville vermine (tout un programme...) ; un homme, Jacques Peuplier, un grand costaud engagé pour retrouver une jeune femme, et qui a la particularité de... parler avec les objets ; des insectes, une bande de gamins des rues, un savant fou inquiétant... voici les ingrédients de cette histoire à l'atmosphère particulière et étonnante. Et pourtant, en dépit d'un univers assez éloigné de mes univers de prédilection, j'ai été séduit par cette histoire prenante et originale, teintée de fantastique. Reste désormais à savoir comment tout ceci va évoluer dans le tome 2...
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VilleVermine, tome 1 : L'homme aux babioles

Récompensé Fauve Polar 2019, VilleVermine est offert durant quelques jours sur BDfugue pour cette période de confinement qui tarde à se lever malheureusement. Grâce aux nombreuses maisons d'édition offrant des opérations pour tenir le choc, je lis ainsi VilleVermine qui d'un premier abord donne des dessins brouillons et trop simplistes. Pourtant, sa force réside dans son scénario mêlant le monde du polar et du fantastique et j'ai été agréablement surprise de terminer ce tome avec le sentiment de vouloir en savoir plus. Jacques Peuplier vous retrouve tous les objets perdus en un rien de temps et pour cause, il a la capacité de parler aux objets. C'est inattendu et tellement peu en adéquation avec l'environnement sombre que ça en devient intriguant. D'où viennent ces êtres volants ? Que recherchent-ils ? Le petit gars va-t-il mener à bien son projet ? Et que va -t-il advenir de Jacques ?
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VilleVermine, tome 1 : L'homme aux babioles

"De vieilles cheminées d'usine, des tours de brique et de béton, des tuyaux rouillés sur lesquels courent insectes et gamins des rues... Une ville grise et dangereuse, qui grouille d'histoires étranges et de personnages inquiétants."

Ville sans nom, ville hors du temps, ville en déliquescence, le ton est posé dès le début pour VilleVermine ! Julien Lambert nous fait immédiatement plonger dans une ambiance de science-fiction et de roman noir. Ses excentriques personnages : privé solitaire, enfants perdus, matrone camoresque, savant fou... pour ne citer que ceux-là, se croisent et s'accrochent et ne semblent pas toujours savoir où ils vont. Les objets s'empilent, se volent, se faufilent... Les insectes et la moisissure grouillent, l'humain devient une marchandise, un homme volant aurait été aperçu dans le ciel de VilleVermine...

Tous ces ingrédients font de VilleVermine une bande dessinée intrigante et originale, qui m'a très vite emportée dans ma lecture. Je n'ai pas pu m'empêcher de penser à l'une de mes scènes favorites de Blade Runner (le film), devant cette case où notre héros rentre chez lui, bric-à-brac amoureusement constitué au milieu de la pourriture omniprésente, et où son retour est salué par la multitude d'objets qui l'entoure... "Bonjour Jacques !"

Car oui, notre privé forcément solitaire et grognon (roman noir, on a dit), a cette particularité : il parle aux objets, ou le plus souvent, les objets lui parlent... et si lui-même semble en ignorer la raison, ce détail a son importance ! Jacques poursuit la trace d'une jeune fille disparue ; Rudy, l'enfant des rues - et son chat Mauvais Poil ! - poursuivent des insectes, et tous deux - oui pardon, le chat aussi - découvrent une usine où se trament de bien étranges expériences...

Je n'en dirai pas plus ! Il vous faudra lire cette bande dessinée pour connaître la suite ! Je recommande donc fortement VilleVermine, vous l'aurez compris, après l'avoir reçue et lue dans le cadre de (ma toute première) Masse Critique. Alors un grand merci aux éditions Sarbacane et à babélio pour ce beau cadeau, j'attends de découvrir la suite avec impatience ! Et merci également pour le catalogue jeunesse avec Jacominus en couverture, je vais le conserver précieusement...

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VilleVermine, tome 1 : L'homme aux babioles

Quoi qu'on en dise, c'est avant tout par son graphisme que l'on juge au premier regard une BD. Je n'ai encore jamais entendu quelqu'un dire : "Tiens, je n'aime vraiment pas les dessins de cette BD, ça me donne envie de la lire !" Sans en arriver jusque là, je reconnais ne pas avoir été attirée par le premier volume de VilleVermine lors de sa sortie. Mais je sais combien les apparences sont parfois trompeuses, notamment en matière de lecture, et qu'il faut toujours laisser sa chance à un livre.



Grand bien m'en a pris puisque j'ai beaucoup aimé cette lecture ! D'abord déstabilisée par les dessins, je me suis finalement surprise à les apprécier. Le scénario, tout aussi déstabilisant, m'a également séduite par son originalité. J'ai trouvé que cette BD ne ressemblait à aucune autre, se démarquait par son univers étrange et son héros décalé. Je suis curieuse de découvrir la suite de ce tome plus que prometteur !
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VilleVermine, tome 3 : Le tombeau du géant

Je ne réserve pas souvent d'ouvrages... ben oui, à chaque passage en biblio, j'ai TOUJOURS des envies littéraires et je reviens TOUJOURS avec une nouvelle pile de BD/manga. Mais là, c'est VilleVermine, une série découverte durant le confinement. J'avais dévoré les 2 tomes avec son graphisme atypique, son ambiance semi-industriel/fantastique et son personnage principal à l'écoute des objets. Cette fois-ci, mission à la poursuite d'un géant et chasse à l'objet pourfendeur, c'est vraiment original comme scénario, style et captivant. Je n'ai pas vu le temps passé. Est-ce qu'on aura une suite ??
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VilleVermine, tome 1 : L'homme aux babioles

J'ai longtemps hésité à emprunter cette BD. Mais finalement, j'ai osé.... je ne suis pas forcément fan du genre SF dystopique, mais là je me suis laissée entrainé dans l'histoire.

Le cadre de la ville un peu bizarre n'est qu'un prétexte, pour rencontrer plein de choses un peu étranges. La vraie histoire est plutôt une enquête... et évidemment, il se passe des choses un peu étranges du fait de l'environnement.

Je me suis bien attachée au personnage principal, une espèce d'ours-détective-ronchon avec un don un peu particulier.

A suivre rapidement

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VilleVermine, tome 3 : Le tombeau du géant

Honte à moi, je n’avais jamais lu Villevermine, fauve polar au FIBD 2019, série autour d’un détective original qui parle aux objets, Jacques Peuplier. Ce tome 3 est un récit complet et indépendant des 2 premiers, ça tombe bien j’ai commencé par celui-là !



J’ai découvert un univers intemporel, étrange et un récit qui mêle habilement polar, fantastique, SF … On y croise une ville, grise, morne et un homme, un taiseux costaud qui est manifestement plus à l’aise avec les objets qu’avec les humains.



Sa mission est ici de retrouver une arme célèbre, celle qui a tué le Géant… C’est la fille du tueur du dit géant qui l’a engagé…Jacques doit braver les profondeur de la ville, là où règnent le fleuve et ses habitants, les fleuvistes. Il faudra aussi aller au-delà des apparences surtout après avoir rencontré Sam, petit-fils du géant.



C’est une aventure rythmée, prenante et drôle, les dialogues entre Jacques et les objets sont savoureux, ils apportent une légèreté bienfaisante dans un univers sombre, glauque. Julien Lambert a su créer un univers impressionnant avec un graphisme marqué mais très lisible.



Au final, ce tome 3 de Villevermine offre un thriller décalé, une aventure passionnante autour d’un personnage à part… Ce Jacques Peuplier mérite le détour, qu’on se le dise !

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Edwin : Le Voyage aux origines

Edwin est une bd qui est née à partir de la réussite d’un concours (le prix Raymond Legrand de la jeune création en 2013). Cela permet à de jeunes auteurs fort prometteurs de se faire connaître. Il est vrai que le projet était plutôt intéressant que de partir sur la recherche des origines de l’homme à l’époque victorienne d’un certain Darwin.



Cependant, ce voyage vers l’Afrique, berceau de l’humanité, va nous conduire dans un autre monde fantasmagorique et onirique. C’est une réelle surprise quant à la direction prise qui ne sera pas celle que l’on imaginait au départ. Il est clair qu’il fallait de l’audace et que cela surprend. Cependant, cela vient un peu comme un cheveu sur la soupe alors que rien n’y préparait.



On sent également l’influence de Léo et son bestiaire imaginaire des mondes d’Aldébaran. L’album est cependant assez atypique avec son propre style. Bref, on a affaire à une bd peu commune avec une fin assez surprenante.
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VilleVermine, tome 2 : Le garçon aux bestioles

C'est vraiment un diptyque drôlement chouette. Les dessins sont simples mais fonctionnent bien avec le scénario. J'ai vraiment bien aimé ce tome haut en couleurs en personnages et bien dynamique en actions. Très bonne découverte débutée grâce à BDFugue durant le confinement et bonne clôture d'histoire !
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VilleVermine, tome 1 : L'homme aux babioles

Un polar fantasmagorique et magnétique.

Jacques Peuplier sait parler aux objets, cela lui permet de mener à bien son travail d'enquêteur.

Mais lorsqu'il retrouve la jeune Christina, la soeur des frères Monk, tout dérape.



Des personnages improbables mais attachants, des décors réalistes et stylisés, un scénario bien ficelé, tout est réuni pour faire un bon polar en BD.

Vite, la suite !
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VilleVermine, tome 1 : L'homme aux babioles

Je remercie Babélio et les éditions Sarbacane car ce livre est vraiment très beau, une belle présentation, bien relié et qui est digne de figurer dans une bibliothèque de BD.

J'ai trouvé l'histoire intéressante car cela se passe dans une ville ou il n'y a plus de travail, les usines sont arrêtées et bien sur du chomage, des vols et des magouilles mais il y a un homme droit et c'est un détective qui parle aux choses, retrouve les voleurs et leurs butins. Mais aussi des petits enfants (fille et garçon) qui pour survivre attrapent des libellules que ils revendent à une mère mafioso qui les revend à un savant fou. Or notre détective reçoit un jour un coup de fil d'une Vanessa qui lui demande de retrouver son collier qui a été volé et deviné par qui : un des fils de la mère mafioso bien sur notre détective se fait tabasser mais il apprend que leur petite soeur a été enlevé et il se propose de la retrouver et cela va le conduire dans une usine désaffectée ou le savant fou fait des expériences vraiment bizarres.

J'ai trouvé très bien et très instructif ce volume pour les enfants bien que il faudrait faire attention à un certain langage mais dans l'ensemble ce livre me semble bon et montre les dégats que font le chomage, la misère et l'abandon.



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Edwin : Le Voyage aux origines

Edwin, Le Voyage aux Origines est une BD très agréable à lire qui saura vous réserver une belle part d’aventures et de surprises car si tout commence de façon somme toute assez classique attendez vous à basculer dans un récit fantastique.
Lien : http://bulles-et-onomatopees..
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VilleVermine, tome 3 : Le tombeau du géant

Un troisième tome non prévu à la base et une histoire complémentaire avec cette étrange aventure de Jacques Peuplier dans les égouts. Grâce à sa faculté de parler avec les objets, une nouvelle quête le conduit vers un monde discret et dangereux. Le graphisme me plait toujours autant et on s'attache à ce héros bougon et déterminé.
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Sur les traces d'un jeune artiste né en 1851 à Montpellier dans une famille protestante aisée, passionné de musique et pratiquant la peinture en dilettante. Après avoir abandonné ses études de médecine pour se consacrer entièrement à la peinture il rejoint l'atelier du peintre suisse Charles Gleyre où il rencontre Pierre-Auguste Renoir, Alfred Sisley et Claude Monet auxquels il se lie et qu'il soutient financièrement à plusieurs reprises. A distance de la peinture académique et partageant leurs idéaux esthétiques Frédéric Bazille fait partie du groupe naissant des premiers impressionnistes "les historiques". Pourquoi n'a-t-il n'a-t-il pu participer à la première exposition impressionniste de 1874 alors qu'il en avait suggéré l'idée en 1867 ? 😭✝️

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Thèmes : peinture , impressionnisme , Expositions , histoire de l'art , peintreCréer un quiz sur cet auteur

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