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Critiques de Juliette Bertrand (37)
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Kaputt

Quel bouquin! Quel style! C'est un choc: un prosateur hors pair, c'est Salammbô au 20ième siècle, le style, la cruauté, la déréliction, les ors, la fange, rassasié d'odeurs, de saveurs, de couleurs.

C'est une véritable poétique de la prose, l'exact contraire de la poésie: forme sans structure, plate forme, une prose horizontale simple et brute dans sa connaissance, dans sa scansion niée: un Homère qui ne chante plus mais récite sa litanie, un Homère qui décrit les champs de bataille mais discrètement, assis à une table le soir venu.

De ces italiens grands prosateurs, Gadda, Svevo, Malaparte, jamais l'ironie n'a été si bien maniée, de cette ironie qui cueille et lèche tout ce qu'elle trouve, de marbre ou de pourriture, dérision de nous dérisoires.

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Kaputt

Ce n'est pas seulement un livre de témoignage sur la seconde guerre mondiale. C'est un témoignage écrit par un écrivain, journaliste et diplomate.

Malaparte est correspondant de guerre sur le Front de l'Est et écrit des articles polémiques sur son expérience du front. Il cache le manuscrit de Kaputt chez des amis sûrs et finit par le publier dès 1943. On retrouve, comme chez Marc Bloch, les impressions de l'auteur sans recul temporel sur les événements.

J'ai vraiment aimé ces chapitres plein de d'images cauchemardesques décrites par l'auteur avec de plus en plus de détachement au fur et à mesure de l'avancée dans la guerre. Outre les informations historiques (comme par exemple la place de la langue française dans les sphères diplomatiques avant guerre), le style recherché, plein de tournures surannées et de jeux de construction a ajouté un réel plaisir à ma lecture.

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Kaputt

Lire aujourd'hui ce que Malaparte nous a immédiatement rapporté de son vécu sur les différents fronts (du côté italien et allemand), dès la fin de la seconde guerre mondiale, est un témoignage édifiant sur la nature humaine. Face à des événements monstrueux mais réels qui le dépassent et auxquels il assiste, que peut faire un individu? Ses témoignagnes doivent comme des piques réveillez nos consciences et garder en alerte notre vigilance.Tout est possible avec les hommes, même le plus inamaginable, et la vie continue toujours sur terre.
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Kaputt

Un livre qui refermé vous a marqué

Indéniablement

Le comble du raffinement d'un texte maîtrisé à l'extrême où y sont explorés les sousbassements subtils torturés des motivations humaines les plus cachées

Une oeuvre sombre puissante

Que l'on n'y adhère ou non, là n'est pas la question

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Kaputt

La seconde guerre mondiale, comme on ne vous l'a jamais enseignée !

Des récits des différents fronts de l'Est, rapportés par un correspondant de guerre italien, tout droit sortis de peintures de Jérôme Bosch !

Des faits terribles, illustrant la cruauté des hommes, relatés avec une certaine froideur, des descriptions très réalistes, des scènes d'anthologie : tout cela donne un ouvrage hallucinant, apocalyptique, qui dépasse ce que l'imagination aurait pu imaginer et la hante longtemps ! Je vous invite à lire les citations que j'ai mises sur le site.

Un des livres à emporter sur une île déserte !

Un chef d'oeuvre à lire et à relire sans modération.

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Kaputt

Malaparte est un auteur dont vous pouvez lire une très bonne biographie ici

Dans cet oeuvre baroque l'auteur, correspondant de guerre ayant des contacts tant auprès de l'aristocratie qu'au front, nous emmène dans un voyage halluciné un impressionnant dans la guerre -- des salons feutrés de la bonne société de l'époque au front soviétique, à Léningrad, à Varsovie, aux pogroms.



Un cauchemard éveillé.



Contraste saisissant entre les repas ponctués de vins fins de la haute bourgeoisie et la famine noire des contrées pillées, le luxe chaud des salons particuliers et la cruauté des combats.



Sur l'importance de Kaputt dans l'oeuvre de Malaparte et, plus largement, au sein du paysage littéraire d'après guerre, vous pouvez jeter un coup d'oeil sur les excellententes chroniques italiennes (Grana) lisibles ici



Kaputt, témoignage accablant sur les fruits viciés de l'Europe décadente, est une sorte de bestiaire fantastique sur 5 tableaux....



http://lelabo.blogspot.com/2006/10/il-sortit-de-la-terre-des-hommes-arms.html
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Kaputt

"Kaputt" ça veut dire la fin, la fin inéluctable de la politique nazi qui dans une violence barbaresque au nom d'une ideologie insensé ne pouvait que se terminer dans le chaos, et ne se raconter que dans l'absurde tant toute cette horreur semble irréelle.



Le narrateur dès 1941 avait déjà saisi cet inévitable déclin, correspondant pour un journal Italien, il obtient les accréditations pour assister a cet tragédie en nous offrant un point de vue inédit sur l'Europe en guerre.

Il assiste a des diners mondains avec de hauts dignitaires nazis ou il démontre les contradictions de la politique nazi avec ironie comme ce passage a propos des conditions de vie dans le ghetto de Varsovie :



"-Pour ce qui est de la saleté, continua Frank, il est indéniable qu'ils vivent dans des conditions déplorables. Un Allemand n'accepterait jamais de vivre dans cet état là ! Même pas pour plaisanter ! Et il répéta en riant assez fort : même pas pour plaisanter !

- Ce serait, fis-je, une plaisanterie amusante.

- Un Allemand ne serait pas capable de vivre dans ces conditions, dit Wächter.

- Le peuple Allemand est un peuple civilisé, déclarai-je.

- Ja natürlich, dit Wächter."



Il assiste impuissant au déchainement de haine comme lorsqu'il décrit le pogrom de Jassy en Roumanie, il peint des tableaux terribles contrastant avec son écriture élégante comme lorsqu'il découvert ce lac rempli de chevaux que le froid a emprisonné et qui ont encore dans leurd regards la lueur glaçante de la terreur, les terribles chiens mines Russes, dressés pour exploser sous les chars Allemands, l'étrange "panier d'huîtres" du chef des ustachis Croates, la pêche au saumon au dénouement absurde d'un haut gradé nazi, le destin tragique et injuste des jeunes Juives de Soroca, ou encore l'histoire de l'oeil de verre ou le face a face entre un officier nazi et un enfant partisan russe :



L'officier Allemand :

"- Écoute j'ai un oeil de verre. Il est difficile de le reconnaitre du bon. Si tu peux me dire tout de suite, sans réfléchir, lequel des deux est l'oeil de verre, je te laisse partir, je te laisse en liberté.

- L'oeil gauche, répond aussitôt le garçon.

- Comment as-tu fait pour t'en apercevoir ?

- Parce que des deux, c'est le seul qui ait une expression humaine.





Kaputt est le témoignage a chaud d'une barbarie en cours et d'une tragédie a venir ou la fiction est souvent difficile a discerner de la realité tant les évenements qui y sont racontés semble sortir d'un improbable cauchemar, et ou se dégage l'impuissance de l'homme a comprendre l'engrenage infernal qu'il a crée, car devenu simple rouage d'une machine impossible a arrêter.



Quelques défauts tout de même mais totalement subjectif, j'ai trouvé la lecture en dents de scie, des passages mémorables comme ceux que j'ai cités plus haut et des passages qui m'ont parfois beaucoup ennuyé comme le récit de la vie mondaine Italienne a travers le chapitre "golf Handicaps" et certaines description un peu longue mais rien qui ne nui a l'ensemble du récit.



Bonne lecture !
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Kaputt

Un roman fleuve articulé sur six chapitres aux noms animaliers, Kaputt de Malaparte est un des meilleurs romans de guerre que j’aie lu.



L’auteur décrit avec une précision froide et chirurgicale la mort sous toutes ses formes… et en même temps, parfois, laisse glisser son récit dans des envolées poétiques ou surréalistes. Ce qu’il a vu, ce qu’on lui a narré sur les fronts finlandais et roumain est si effroyable, que c’est presque « impensable ». Et pourtant il le détaille, comme ses diners mondains avec les potentats nazis qu’il abhorre en smoking et fume-cigare. Il les observe comme on ausculte des déments.



De père allemand, Malaparte le francophile, engagé volontaire de 1914, auteur fasciste des années 30, emprisonné par le régime de Mussolini pour ses écrits irrévérencieux est passé partout. Il revenu de tout. Même du front de Carélie. Pour finir dans la baie de Naples au milieu d’une populace qu’il aime et décrit cruellement.



Kaputt c’est l’autre « Voyage au bout de la nuit » celui d’un grand témoin d’une lucidité terrifiante, d’une germanophobie de six-cent-cinquante pages sans concession.
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Kaputt

J'ai fait la connaissance de Curzio Malaparte, et de son Kaputt grâce à un essai sur la Justice digne des grands juriconsultes du passé, d'Alain Peyrefitte : "Les Chevaux du lac Ladoga, ou la Justice entre feu et glace".



Il introduit son essai sur une vision d'épouvante, révélée "au détour du Kaputt de Malaparte", celle de plusieurs centaines de chevaux pris dans la glace du lac Ladoga qui a gelé quasi instantanément par un phénomène dit de surfusion, lorsque des chevaux de l'armée russe, fuyant, par centaines, les incendies de forêt provoqués par les combats, dans l'isthme de Carélie, se sont précipités vers ce lac qui était encore à l'état liquide malgré les rigueurs de l'hiver, en cette année 1942.



"Le lac était comme une immense plaque de marbre blanc sur laquelle étaient posées des centaines et des centaines de têtes de chevaux ».



Le Kaput de Malaparte, est un livre magnifiquement écrit, et c'est aussi une succession de visions d'épouvante nées la guerre, mais également de l'imagination de l'auteur.



En effet, il ne faut pas oublier que Curzio Malaparte n'était pas seulement un correspondant de guerre, il était surtout un très grand écrivain.



Pat



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Kaputt

Un journaliste italien qui couvrait la Seconde guerre mondiale de l'autre côté du front... Il y a des pages sublimes de cruauté, inoubliables, que le conflit en Ukraine rend soudain, malheureusement, d'actualité. Il faut lire, vraiment, ce compte rendu de la la folie des guerres ou, plutôt, des hommes qui la font.
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Kaputt

Livre qui traite de la 2e guerre mondiale. L’auteur y a travaillé comme reporter. Dans ce livre, il accumule une série de constats. Il se présente comme le compte-rendu de tout ce que Malaparte a constaté et vécu sur le front de l’Est, aux côtés des forces armées engagées contre l’Union soviétique, et dans les pays envahis par l’Allemagne nazie. Il ne s’agit pas de mémoires, ou de souvenirs quelconques. Malaparte évoque à hauteur d’épaules la guerre en Europe, puis en fait le cadre des multiples scènes et situations parfois invraisemblables.
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Kaputt

C’est à la suite de la lecture d’ « Eugénia » de lionel Duroy que j’ai abordé ce livre auquel il était fait référence dans eugénia.

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Kaputt

Témoin privilégié, spectateur désabusé, Curzio Malaparte raconte dans un roman terrible et magnifique ce qu’il a vu entre 1941 et 1943 sur le front de l’Est. Paru en 1944, controversé et trop oublié, Kaputt est le premier roman sur la seconde guerre mondiale et l’un des plus grands, « un livre horriblement cruel et gai » selon son auteur.



L’histoire du manuscrit est à elle seule un roman : commencé en Roumanie, caché par un paysan, confié à un diplomate espagnol. Objet de polémique dès sa réception, le livre souffre sans doute de la réputation de son auteur mégalomane, brièvement partisan de Mussolini avant de critiquer le régime. Le titre Kaputt donne le ton « Aucun mot (…) ne saurait mieux indiquer ce que nous sommes, ce qu’est l’Europe, dorénavant : un amoncellement de débris. » Les titres de chaque partie « Les chevaux, Les rats, Les chiens, Les rennes » disent la déshumanisation, la barbarie à l’oeuvre. Partout, le froid, la faim, la mort et surtout le cynisme, la bonne conscience des bourreaux, l’entreprise rationnelle d’extermination.



Dans ce roman qui raconte l’horreur et la cruauté de la guerre, il y a cependant encore place pour la beauté des choses. Admirateur de Chateaubriand dont il dit s’inspirer, Malaparte tient aussi de Proust pour les descriptions somptueuses. Un chapitre s’intitule d’ailleurs « Du côté de Guermantes ». Dans une langue virtuose et souvent métaphorique, il transfigure le champ de bataille en gravure de Dürer : «Les chars et les troupes d’assaut avançant dans les sillons tracés par les chenilles semblaient gravés au burin sur la plaque de cuivre de la plaine ». En esthète, Il évoque les notes pures et légères d’un prélude de Chopin écouté par les dignitaires nazis ou le rouge sanglant d’un vin de Bourgogne qui rappelle, dans la nuit blanche de Finlande, « cette couleur pourpre et or des collines de la Côte-d’Or. » Toutes ses références intimes appartiennent à un monde révolu, celui de sa jeunesse et d’une certaine innocence, non pas celle d’avant 40 mais celle d’avant 14 : « Du fond de ma mémoire surgissaient avec un rire doux, les ombres charmantes de cet âge lointain et pur». Il incarne une civilisation perdue, un univers de raffinement, d’esprit, de tolérance et de politesse exquise; son plus grand acte de résistance est peut-être de dire « prosze Pana » (Monsieur, en polonais) aux vieux Juifs dans le ghetto de Varsovie : « je disais « prosze pana» à ceux que je heurtais involontairement en entrant; et je savais que ces paroles étaient un don merveilleux. Je disais en souriant « prosze pana » et je voyais autour de moi, sur ces visages de papier sale, naître un pauvre sourire de stupeur, de joie, de gratitude. »



Sur la guerre, sur l’esprit des peuples, il émet des théories parfois paradoxales. Aux Juifs roumains qui lui demandent d’intervenir pour éviter le pogrom de Jassy, il répond que les Italiens sont brisés par vingt ans de fascisme : « Nous ne savons plus agir, nous ne savons plus prendre aucune responsabilité, après vingt ans d’esclavage. (…) Nous ne sommes plus bons à rien. Nous ne savons qu’applaudir. » Au prince Eugène qui lui demande si les Allemands sont cruels, il explique que, selon lui, la cruauté allemande est un effet de la peur : « Ce qui pousse l’Allemand à la cruauté, aux actes les plus froidement, les plus méthodiquement, les plus scientifiquement cruels, c’est la peur des opprimés, des désarmés, des faibles, des malades ; la peur des vieux, des femmes, des enfants, la peur des Juifs. » Sur la situation polonaise, le patriotisme, le poids de l’Eglise préférant les nazis aux communistes, l’émergence de la classe ouvrière profitant de l’exil de la bourgeoisie… sur tous les sujets, il a une opinion, une formule étonnante, une réplique énigmatique. Certes, il triche un peu, (beaucoup?) avec sa biographie, il se donne le beau rôle, il est toujours présent aux bons moments, mais peu importe, c’est un roman!



Le narrateur, diplomate et journaliste italien, est tout à fois dans et à l’extérieur de la guerre. La force de ce livre sur la seconde guerre mondiale est de toujours garder une certaine distance, qui permet de dire l’indicible. Aucune scène d’horreur n’est montrée directement, tout est rapporté lors de discussions, de soirées. Dans la douceur de la demeure du prince Eugène, Malaparte raconte le front de l’Est; dans l’ivresse d’une fin de banquet donné par le général gouverneur de Pologne, il décrit le massacre des Juifs de Jassy : « Partout le joyeux et féroce labeur du pogrom remplissait les rues et les places de détonations, de pleurs, de hurlements terribles et de rires cruels » et sa visite au ghetto de Varsovie; dans la quiétude de la bibliothèque de la légation de Suède, il rapporte l’histoire des chiens rouges de l’Ukraine, et, plus terrible encore, celle des « leçons en plein air » dans la cour des kolkhozes; entouré de jeunes aristocrates allemandes, il décrit les jeunes juives du bordel militaire remplacées tous les vingt jours. L’ opposition est criante entre le confort, le raffinement et l’horreur absolue. Mais l’empathie est toujours modérée par un regard désabusé, l’horreur parfois tempérée par le ridicule des dignitaires nazis : Himmler nu au sauna, le général von Heunert s’acharnant à pêcher le saumon résistant.



Finalement, alors même qu’il décrit la fin d’une certaine Europe, Kaputt est un livre européen, au même titre que Le Monde d’hier de Stefan Zweig - si, comme l’écrivait Milan Kundera, est européen « celui qui a la nostalgie de l’Europe. » On traverse la Suède, la Roumanie, la Pologne, la Finlande; un Italien dialogue avec des Suédois, des Allemands, des Espagnols… Dans cette Europe décomposée où tout est à reconstruire, l’auteur espère « Que les temps nouveaux soient des temps de liberté et de respect pour tous (…) Car c’est seulement la liberté et le respect de la culture qui pourront sauver l’Italie et l’Europe de ces temps cruels. »



Kaputt, Curzio Malaparte, traduit par Juliette Bertrand, Folio, 1972 (1943), 512 pages.


Lien : http://www.lesheuresperdues...
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Kaputt

Du Front de l’Est en 1941 à Capri en 1943-44, l’écrivain enregistre la matière dont il tirera son formidable Kaputt.
Lien : https://www.lalibre.be/cultu..
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Kaputt

Immense livre, mon chevet estudiantin et otu le monde vous dira, glacé, après la lecture "ah ! La scène des chevaux..."
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Kaputt

Un grand écrivain...

Ce livre est magnifique, souvent difficile en raison du sujet abordé mais qui est son vécu.

A lire absolument !!
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Kaputt

Ce livre n'a pas d'histoire à proprement parlé mais regroupe dans 6 thèmes aux titres d'animaux (les chevaux, les rats, les chiens, les oiseaux, les rennes et les mouches) des scènes de la seconde guerre mondiale. Poétiques, surréalistes ou exagérés les récits ne reflètent pas l'exacte vérité mais peu importe, ce livre contient des pages d'une rare beauté. Certains passages moins intenses (notamment les dialogues dans les salons ou les diners) alourdissent quand même sa lecture mais d'autres sont si mémorables que l'on pardonne facilement à l'auteur. A lire plusieurs fois pour en découvrir toutes les subtilités.
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