On aime se souvenir, Walter. Surtout des bonnes choses. C'est un peu comme ces soirs d'hiver qu'on passe au coin du feu : la chaleur détend d'abord les muscles, puis l'apaisement se propage à l'esprit. On ferme les yeux, on respire plus doucement et on laisse les sensations nous envahir. Un bon souvenir, c'est ça. C'est du réconfort.