Cher bien-aimé, me voici revenue à ma vieille, triste et douce habitude de t’écrire pendant ton absence. Je ne peux pas dire que je n’aime pas mieux l’autre vie dont nous sortons mais je trouve bien du charme à t’écrire car il me semble que ce que je n’ose pas te dire, j’ose te l’écrire et cela me soulage d’autant le cœur.