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3.68/5 (sur 216 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Juliette Duval est auteur de comédies romantiques "Tout ça, c'est la faute du chat" (2016), une série de six volumes.

page Facebook: https://www.facebook.com/julietteduvalauteure/

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« Une anthologie de femmes-poètes ! - Eh oui, pourquoi pas ? […] On a dit du XIXe siècle que ce fut le siècle de la vapeur. le XXe siècle sera le siècle de la femme. - Dans les sciences, dans les arts, dans les affaires et jusque dans la politique, la femme jouera un rôle de plus en plus important. Mais c'est dans les lettres surtout, - et particulièrement dans la poésie, - qu'elle est appelée à tenir une place considérable. En nos temps d'émancipation féminine, alors que, pour conquérir sa liberté, la femme accepte résolument de travailler, - quel travail saurait mieux lui convenir que le travail littéraire ?! […] Poète par essence, elle s'exprimera aussi facilement en vers qu'en prose. Plus facilement même, car elle n'aura point à se préoccuper d'inventer des intrigues, de se créer un genre, de se faire le champion d'une idée quelconque ; - non, il lui suffira d'aimer, de souffrir, de vivre. Sa sensibilité, voilà le meilleur de son imagination. Elle chantera ses joies et ses peines, elle écoutera battre son coeur, et tout ce qu'elle sentira, elle saura le dire avec facilité qui est bien une des caractéristiques du talent féminin. […] Et puis, au moment où la femme va devenir, dans les lettres comme dans la vie sociale, la rivale de l'homme, ne convient-il pas de dresser le bilan, d'inventorier - si l'on peut dire, - son trésor poétique. Les temps sont arrivés où chacun va réclamer le bénéfice de son apport personnel. […] » (Alphonse Séché [1876-1964]) « Il n'y a pas de poésie féminine. Il y a la poésie. Certains et certaines y excellent, d'autres non. On ne peut donc parler d'un avenir spécial de telle poésie, masculine ou féminine. La poésie a toujours tout l'avenir. Il naîtra toujours de grands poètes, hommes ou femmes […]. Où ? Quand ? Cela gît sur les genoux des dieux, et nul ne peut prophétiser là-dessus. […]. » (Fernand Gregh [1873-1960]) 0:00 - Angèle Vannier 1:22 - Andrée Chedid 2:07 - Juliette Darle 2:51 - Anne Perrier 3:26 - Claire Malroux 4:01 - Anise Koltz 4:26 - Liliane Wouters 5:20 - Générique Contenu suggéré : QUI NYMPHE, QUI MADONE #12 : https://youtu.be/_wcvfKF95-A QUI NYMPHE, QUI MADONE #11 : https://youtu.be/UGX87mD2NRE QUI NYMPHE, QUI MADONE #9 : https://youtu.be/DtWZIHZU7Vo QUI NYMPHE, QUI MADONE #8 : https://youtu.be/¤££¤51De Serge Martin45¤££¤ QUI NYMPHE, QUI MADONE #7 : https://youtu.be/bPexQr8zYWY QUI NYMPHE, QUI MADONE #6 : https://youtu.be/IKim_loBAbs QUI NYMPHE, QUI MADONE #5 : https://youtu.be/p1ZeL66gnaY QUI NYMPHE, QUI MADONE #4 : https://youtu.be/yos¤££¤54Alphonse Séché64¤££¤ QUI NYMPHE, QUI MADONE #3 : https://youtu.be/D_5987PxJRU QUI NYMPHE, QUI MADONE #2 : https://youtu.be/wGvAEiMIJ2k QUI NYMPHE, QUI MADONE #1 : https://youtu.be/2eLyH8-CM68 Femmes écrivains : https://www.youtube.com/playlist?list=PLQQhGn9_3w8qhOvXJDXpE1fe92htazYwn Références bibliographiques : Couleurs femmes, poèmes de 57 femmes, Paris, co-édition le Castor Astral/Le Nouvel Athanor, 2010. La poésie à plusieurs voix, rencontres avec trente poètes d'aujourd'hui, sous la direction de Serge Martin, Paris, Armand Colin, 2010. Françoise Chandernagor, Quand les femmes parlent d'amour, Paris, Cherche midi, 2016 Images d'illustration : Angèle Vannier : https://traversees.files.wordpress.com/2020/11/angele-vannier-biographie-cristel-couverture.jpg Andrée Chedid : https://www.bulledemanou.com/2015/03/andree-chedid.html Juliette Darle : http://academiereneevivien.unblog.fr/salon-litteraire/salon-litteraire-6-juillet-2019/ Anne Perrier : https://www.recoursaupoeme.fr/auteurs/anne-perrier/#iLightbox[aac8e1aa6f5de8aeaab]/0 Claire Malroux : https://twitter.com/ColeHenri/status/717368378826956801/photo/1 Anise Koltz : https://www.luxtimes.lu/en/culture/anise-koltz-wins-top-poetry-prize-602d5ef2de135b92369270dd Liliane Wouters : https://www.lezardes-et-murmures.com/2016/10/testament-liliane-wouters.html Bande sonore originale : Arthur Vyn

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Citations et extraits (42) Voir plus Ajouter une citation
Juliette Duval
Mon cœur et ma tête menacent de divorcer et se disputent pour savoir qui aura la garde du corps.
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– Vous n’êtes pas une groupie, n’est-ce pas ?

– Une groupie de qui ?

– Mais…

Il ne peut pas répondre « de moi » sans passer pour un gros prétentieux. Du coup, il se demande clairement si je me moque de lui ou s’il existe réellement une personne sur Terre qui ignore qui il est. La situation commence à m’amuser.

– Enfin, poursuit Jared, vous savez qui je suis, n’est-ce pas ?

– Le propriétaire du chat ?

– Je parlais de mon métier.

– Oh. Vous êtes musicien, c’est ça ?

Rock star n’est pas une profession. En tout cas, je suis certaine que ça n’existe pas dans la nomenclature de la Sécurité sociale française.

– Vous vous moquez de moi.

– Vous savez, Jared…

– Jason ! corrige-t-il avec une pointe d’agacement.

– Ah oui, pardon ! Bref, il existe de nombreuses personnes de par le monde qui ne connaissent pas votre nom. Simplement, d’habitude, vous ne les croisez pas.

Il me dévisage comme s’il venait de me pousser une deuxième tête, puis, à ma grande surprise, il éclate de rire. Le chat se hérisse comme un rince-bouteilles et saute de mes épaules, non sans m’avoir enfoncé ses griffes dans la peau au passage.

– Aïe !

– Désolé. Mademoiselle… Quel est votre nom, déjà ?

– Vous voyez, vous ne vous en souvenez plus non plus.

Il rit de nouveau. Un rire de gorge, sexy en diable. Un rire qui signifie « Déshabille-moi, là, tout de suite, et fais-moi l’amour dans la piscine ». Du moins, c’est ainsi que je l’entends…

– Vous avez raison, reprenons du début. Bonjour, je m’appelle Jason.

– Moi c’est Kim, dis-je en lui tendant la main.
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L'amertume est si concentrée dans sa voix qu'une grimace involontaire me tord les lèvres. J'ai l'impression d'entendre un pamplemousse, si cette expression fait sens.
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Il se redresse et pose une main sur ma hanche pour me faire pivoter, dos à lui. Mon souffle se bloque dans ma gorge. Je ne m’attendais pas à ce qu’il me touche de façon si naturelle. Pour ma part, ce que je ressens est tout sauf naturel. Ou au contraire, trop naturel. Je ne sais plus. Mes pensées tournent en rond, affolées. Ce ne sont pas les réflexions éclair du type « il sent bon » ou « ses mains sont chaudes » qui vont m’aider. Afin de dissimuler mon trouble, je penche la tête vers l’avant pour dégager ma nuque et ramène la lourde masse de mes cheveux mouillés sur ma poitrine. Un sifflement lui échappe.
– Joli travail.
– Ça va se voit que ce n’est pas toi qui le portes !
– Les broderies ne sont pas mon style, répond-il d’un ton exagérément sérieux.
Un rire retenu me chatouille les lèvres. Puis les doigts d’Orion effleurent ma peau, envoyant une étincelle électrique le long de ma colonne vertébrale. Je serre les mâchoires. Ce que j’éprouve est beaucoup trop soudain, inattendu, puissant… inconvenant !
– Détends-toi, fiera, me conseille la voix chaude d’Orion. La pluie a resserré les lacets, tu dois étouffer là-dedans.
Je hoche la tête, incapable de parler, quoique pas forcément pour les raisons qu’il imagine. Son pouce, légèrement rugueux mais délicieusement chaud, appuie à la base de ma nuque tandis qu’il tire sur les lacets. Je retiens ma respiration.
Ma nuit de noces aurait-elle commencé ainsi ?
Les doigts d’Orion caressent ma peau sur le passage du lacet. Le fait-il exprès ? Est-il aussi troublé que moi ? Un puissant frisson me fait involontairement reculer.
– Pardon, s’excuse-t-il. Je t’ai fait mal ?
– Non, euh… C’est juste un peu serré.
– Un véritable engin de torture, approuve-t-il en riant. Et la pluie n’a rien arrangé. Mais ne t’inquiète pas, à présent que le premier est venu, le reste sera plus facile.
Je croise mes bras sur mes seins pour retenir le corsage alors qu’il s’attaque au lacet suivant. Chaque contact entre sa peau et la mienne, chaque effleurement augmente mon émoi. Je me prends soudain à souhaiter qu’il y ait davantage de lacets.
C’est officiel, j’ai la fièvre.
Son souffle chaud chatouille ma peau nue. Je le sens hésiter au moment où il arrive aux derniers trous. Les doigts crispés sur le tissu de mon corsage, j’attends la suite. Ses mains reprennent leur travail, tirant plus fort sur les lacets. Ceux-ci tombent à une vitesse décevante.
– Ton fiancé est un abruti, fiera ! décrète Orion avant de s’écarter de moi.
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L'espace d'un instant, devant sa colère, je suis tentée de nier, de prétendre que je n'ai rien à voir avec cette fille, sur l'écran, qu'il s'agit d'un sosie, d'une coïncidence… Mais je ne veux plus être lâche. Je prends une grande inspiration, prête à m'expliquer. Il ne m'en laisse pas le temps.
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Franchement, si tous les amateurs de chips ressemblaient à ça, elles seraient vendues en pharmacie.
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Comme prévu, il s’adoucit au moment précis où j’extirpe enfin le chat de sa boîte.

– Prince ! Viens me voir !

En bon félin, Prince prend le contre-pied exact de cet ordre. Il lui échappe, grimpe sur mes épaules, s’installe autour de mon cou façon écharpe angora et commence à ronronner bruyamment. Le visage de Jared s’assombrit de nouveau. Il a des traits délicieusement expressifs.

Je veux absolument le voir sourire !

Pour l’instant, c’est mal parti. Il me foudroie du regard.

– Qu’avez-vous fait à mon chat ?

– Je me suis juste occupée de lui !

Qu’est-ce qu’il s’imagine, que je l’ai drogué pour qu’il reste avec moi ? (Les crevettes ne comptent pas comme de la drogue.)
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Volume 1 :
1. California Dream :
" Ma sandale gauche abandonne la partie au moment où je m’apprête à traverser El Camino Real, la grande artère qui sépare Stanford de Palo Alto. Je m’immobilise au milieu de la chaussée, un pied en l’air, puis je me retourne pour rattraper la sandale restée un mètre en arrière. Mauvaise idée : la moto qui arrive au même instant ne s’attendait visiblement pas à me voir tenter pareille manœuvre. Elle me frôle de si près que je sens sur mes jambes la chaleur qui s’échappe de son pot d’échappement. Déséquilibrée, je tombe en arrière. Une seconde moto s’immobilise dans un crissement de pneus, formant un rempart entre moi et la circulation. Le cœur battant, je me relève en frottant mes paumes égratignées. Le motard s’est arrêté et revient vers moi, la main tendue.
– Mademoiselle ? Vous n’avez rien ?
Je brandis ma sandale cassée avec un sourire un peu tremblant. Tout est allé si vite que je n’ai pas eu le temps d’avoir peur, mais si j’y pense…
Bref, n’y pensons pas !
– Une chaussure tombée au champ d’honneur. Désolée.

...

– Ça vous dirait de prendre un verre avant qu’on vous ramène ? propose Josh.
Eh bien voilà !
Je lève une main, doigts écartés.
– J’ai quelques principes à respecter.
– J’écoute, assure mon interlocuteur avec ce sourire en coin qui me donne envie de sauter sur sa moto sans me soucier du reste.
– Premièrement, dis-je en repliant le premier doigt : on reste dans le coin. Deuxièmement : dans un lieu public. Troisièmement : on ne boit rien de louche. Quatrièmement : jamais le premier soir. OK ?
Les deux motards éclatent de rire.
– Il faut que je donne cette liste à mes frangines, affirme Orion.
– Ça me paraît correct, confirme Josh. Juste pour savoir : vous êtes toujours aussi directe ?
– Je n’ai pas de grand frère, il faut bien que je me débrouille toute seule.

– Elle me plaît, commente Orion."
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Au moment où nous passons devant une bretelle de sortie, Orion vire si brutalement que je remercie le ciel de me tenir aussi fort à lui. Emportées par leur élan, les deux motos continuent tout droit. Le soulagement m’envahit.
Nous les avons semés !
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- Le sexe, c’est tout ?
- J’ai dit que c’était fantastique.
- Oh, je suis flatté.
Il ramasse une poignée de pétales sur la nappe et la déverse à gauche d’un air de défi, sans mot dire. Je commente :
- Un peu facile. J’attends les arguments qui vont avec.
Josh se penche vers moi. Son parfum épicé m’emplit les narines. J’éprouve une envie subite de lécher sa peau bronzée, à l’endroit où le pouls bat dans son cou.
- Viens avec moi, je te les montrerai.
J’éclate de rire à mon tour.
- C’est tellement éculé comme technique de drague !
- Je n’ai pas besoin de te draguer, objecte-t-il, tu m’as déjà dit oui
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