Nationalité : Japon
Né(e) à : Amakusa, préfecture de Kumamoto , le 06/04/1977
Né(e) à : Amakusa, préfecture de Kumamoto , le 06/04/1977
Biographie :
Kan TAKAHAMA est diplômée de la faculté des beaux-arts de l'université de Tsukuba.
Elle débute le manga en 2001 dans le magazine Garo. Ses histoires parues dans Garo sont rassemblées en un album, Yellowbacks, publié au Japon chez Seirindô en 2002, puis en Espagne et aux États-Unis chez Ponent Mon en 2003 sous le titre Kinderbook.
En 2001, elle reçoit le 1er grand prix d'excellence du magazine Garo pour "Binari Sun". En 2002, en collaboration avec Frédéric BOILET, elle réalise Mariko Parade, un album paru aujourd'hui en quatre langues.
Après un séjour au festival d'Angoulême 2003, Kan Takahama publie sa première histoire en France dans le nº 2 du magazine Bang ! : Bons Baisers d'Angoulême. Son album, Awabi, est paru au Japon chez Yûgaku Shorin en avril 2004.
En 2006 est édité Nagi watari - Oyobi sono hokano tanpen (littéralement « Le Ferry calme, ainsi que d'autres nouvelles »), qui ne sera édité en France qu'en 2009, avec Awabi sous le nom de L'Eau amère.
A la même période, Casterman commande à Kan Takahama et deux autres mangaka un projet qu'elle sera seule à mener au bout en 2010, intitulé 2 Expressos, également sorti au Japon (des problèmes familiaux ayant empêché l'auteur de terminer ce projet plus tôt).
« Dans ma bulle ». A l’image de sa série « Les Saisons d’Ohgishima », la mangaka qui a attrapé le virus des récits historiques affectionne les scènes où se rencontrent le Japon et l’Occident.
+ Voir plusKan TAKAHAMA est diplômée de la faculté des beaux-arts de l'université de Tsukuba.
Elle débute le manga en 2001 dans le magazine Garo. Ses histoires parues dans Garo sont rassemblées en un album, Yellowbacks, publié au Japon chez Seirindô en 2002, puis en Espagne et aux États-Unis chez Ponent Mon en 2003 sous le titre Kinderbook.
En 2001, elle reçoit le 1er grand prix d'excellence du magazine Garo pour "Binari Sun". En 2002, en collaboration avec Frédéric BOILET, elle réalise Mariko Parade, un album paru aujourd'hui en quatre langues.
Après un séjour au festival d'Angoulême 2003, Kan Takahama publie sa première histoire en France dans le nº 2 du magazine Bang ! : Bons Baisers d'Angoulême. Son album, Awabi, est paru au Japon chez Yûgaku Shorin en avril 2004.
En 2006 est édité Nagi watari - Oyobi sono hokano tanpen (littéralement « Le Ferry calme, ainsi que d'autres nouvelles »), qui ne sera édité en France qu'en 2009, avec Awabi sous le nom de L'Eau amère.
A la même période, Casterman commande à Kan Takahama et deux autres mangaka un projet qu'elle sera seule à mener au bout en 2010, intitulé 2 Expressos, également sorti au Japon (des problèmes familiaux ayant empêché l'auteur de terminer ce projet plus tôt).
« Dans ma bulle ». A l’image de sa série « Les Saisons d’Ohgishima », la mangaka qui a attrapé le virus des récits historiques affectionne les scènes où se rencontrent le Japon et l’Occident.
Source : www.sakka.info
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Kan Takahama et Muriel Barbery présentent "Une Rose Seule", d'après le roman de Muriel Barbery aux éditions Actes Sud.
À paraitre le 28 août 2024
Rose arrive au Japon pour la première fois de sa vie, sur les traces d'un père qu'elle n'a jamais connu. Celui-ci, décédé depuis peu, lui avait laissé une lettre à son intention, l'invitant à se rendre dans ce pays si lointain qui est en partie le sien. Accueillie à Kyoto, elle est guidée par Paul, l'assistant de son père, à travers un itinéraire imaginé par le défunt, semé de temples et de jardins, d'émotions et de rencontres, qui va lui permettre de dépasser l'amertume et la colère liées à l'absence pour se laisser emporter par le tourbillon de ses origines enfin retrouvées.
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Citations et extraits (115)
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Peut-être plus que dans tout autre discipline les cuisiniers sont jugés en permanence.
Partir pour l'ultime voyage seul et perclus de ressentiment... Tu imagines comme ce doit être douloureux ?
Si tu l'aimes, va le réconforter dans ses derniers instants !
Si tu l'aimes, va le réconforter dans ses derniers instants !
(1878. Nagazaki. Myo et Ganji tentent de retoucher une robe européenne dans la boutique)
- D'accord, alors enfile la robe, pour voir... qu'on décide où couper !
- Quoi ?!
- Tu mesures bien 51 sun, non ?
- Oui, mais... Je ne voudrais pas la salir...
- Ne me dis pas que tu grouilles de poux et de puces, quand même...
- Pfff...
p70
- D'accord, alors enfile la robe, pour voir... qu'on décide où couper !
- Quoi ?!
- Tu mesures bien 51 sun, non ?
- Oui, mais... Je ne voudrais pas la salir...
- Ne me dis pas que tu grouilles de poux et de puces, quand même...
- Pfff...
p70
(A Paris, Marie aux lunettes, Momo et Victor dînent tout en discutant d'une mauvaise nouvelle arrivée par télégramme du Japon concernant leur cessation d'approvisionnement en petits objets d'artisanat japonais)
- On gne 'ou'ait a gnrou'er 'aut'es oduits 'eman'és ?
(Marie parle couramment le mâchonnage !)
- D'autres produits demandés... comme quoi ?
p123
- On gne 'ou'ait a gnrou'er 'aut'es oduits 'eman'és ?
(Marie parle couramment le mâchonnage !)
- D'autres produits demandés... comme quoi ?
p123
(Judith et Miyo discutent)
- Miyo... Tu sais qui est la femme... représentée sur cette broche ?
- Oui... Mon oncle m'a dit que c'était une déesse d'occident.
- En effet... Nyx, la déesse de la nuit... qui éclaire les ténèbres et a le pouvoir de mettre fin à toutes les guerres...
- Oh... C'est pour ça qu'elle a une lanterne. Je trouve qu'elle vous ressemble.
- Ah oui ?! Moi, je ne trouve pas ! Elle me rappelle plutôt toi !
- Quoi ?
- Tu es venue éclairer ma nuit de ta sincérité radieuse... comme Nyx tenant sa lanterne !
p208-209
- Miyo... Tu sais qui est la femme... représentée sur cette broche ?
- Oui... Mon oncle m'a dit que c'était une déesse d'occident.
- En effet... Nyx, la déesse de la nuit... qui éclaire les ténèbres et a le pouvoir de mettre fin à toutes les guerres...
- Oh... C'est pour ça qu'elle a une lanterne. Je trouve qu'elle vous ressemble.
- Ah oui ?! Moi, je ne trouve pas ! Elle me rappelle plutôt toi !
- Quoi ?
- Tu es venue éclairer ma nuit de ta sincérité radieuse... comme Nyx tenant sa lanterne !
p208-209
« Il lui avait dit que c'était comme avant,
qu'il l'aimait encore,
qu'il ne pourrait jamais cesser de l'aimer,
qu'il l'aimerait jusqu'à sa mort. »
qu'il l'aimait encore,
qu'il ne pourrait jamais cesser de l'aimer,
qu'il l'aimerait jusqu'à sa mort. »
Selon le bouddhisme, quand une personne meurt, elle fait un long voyage de 49 jours avant d'atteindre la terre de félicité, puis se réincarne. Ceux qui ont commis des péchés ou gâché leur existence renaissent sous forme d'insecte ou d'animal. Ceux qui se sont bien comportés reviennent en êtres humains.
Après 49 jours, Shiori se réincarna en papillon.
Ce nouveau monde qui l'entourait était paisible et magnifique...
...Mais l'homme qui lui avait promis de la retrouver en ces lieux manquait au rendez-vous.
Après 49 jours, Shiori se réincarna en papillon.
Ce nouveau monde qui l'entourait était paisible et magnifique...
...Mais l'homme qui lui avait promis de la retrouver en ces lieux manquait au rendez-vous.
Cuisiner est un travail des plus exigeants. On touche à l'intime...
(Ganji et Kei Oura sont en pleine discussion. Après un malentendu, Key Oura est persuadée que Ganji à voulu la trahir commercialement)
- Tu sais...je ne te trahirzis jamais !
- ... C'est vrai... Pardon. Je crois que je me suis un peu emportée... à l'idée de revenir soudain aux affaires.
- Bah... D'un autre côté, ça me fait plaisir... Quand on se méfie, c'est qu'on veut avoir confiance !
- ... Oui... Je n'avais jamais vu les choses ainsi..
p46-47
- Tu sais...je ne te trahirzis jamais !
- ... C'est vrai... Pardon. Je crois que je me suis un peu emportée... à l'idée de revenir soudain aux affaires.
- Bah... D'un autre côté, ça me fait plaisir... Quand on se méfie, c'est qu'on veut avoir confiance !
- ... Oui... Je n'avais jamais vu les choses ainsi..
p46-47
(Mme Oura et Ganji sont clandestins sur un bateau. Ganji essaye de dormir et Mme Oura pense à haute voix...)
- bla...bla...bla...
- ...
(...Si on se fait prendre, c'est la peine de mort...)
- bla...bla...bla...
- ...
(...Si on se fait prendre, c'est la peine de mort...)
- bla...bla...bla...
- ...
(...Si on se fait prendre, c'est la peine de mort...)
p239
- bla...bla...bla...
- ...
(...Si on se fait prendre, c'est la peine de mort...)
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(...Si on se fait prendre, c'est la peine de mort...)
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(...Si on se fait prendre, c'est la peine de mort...)
p239
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