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Citations de Karen Marie Moning (871)


_Et faites quelque chose de vous cheveux, comme la nuit où je suis venu vous voir dans votre pension, par exemple.
_Vous voulez que j'ai l'air de sortir de mon lit?
_Ou du mien, de préférence.
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_ Ne me quitte pas.
Je m'agite entre les draps.
_ Je ne m'en vais pas, Mac.
Puis je sais que je rêve, car les songes sont le royaume de l'absurde, et ce qu'il me dit est plus qu'absurde.
_ C'est toi qui me quittes, ma poupée arc-en-ciel.
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_Je ne sais pas ce qui me retient de vous flanquer mon poing dans la figure!
_La crainte de vous casser un ongle? suggéra-t-il d'un ton si suave et si hautain qu'une nouvelle bouffée de rage monta en moi.
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_ Je vous donne quarante-huit heures. Contrôler la gamine et tenez-la hors de mon chemin. Il y a de nouvelles règles. Un : Vous restez à l'écart de Chez Chester. Cela veut dire une dizaine de rues à la ronde. Deux : Vous partagez avec moi toutes vos informations pertinentes sans que j'aie à le demander. Trois : Vous empêcher la petite de s'approcher de mon garage. Quatre : Si vous vous invitez sous mon crâne, je m'invite entre vos jambes.
_ Oh ! Épargnez-moi ce genre de réflexions !
_ Et vous, épargnez-moi ce genre de provocations, répliqua-t-il en posant les yeux sur ma poitrine.
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_Quoi qu'il en soit, si vous faites de nouveau l'une de vos pénibles allusions à ma bouche et à une fellation sur votre personne, ne comptez plus sur mon aide.
Je le vis croiser les bras, tandis que son regard se posait sur mes lèvres rouge vif.
_Dois-je en déduire qu'il existe d'agréables allusions à votre bouche et à une fellation sur ma personne? Si c'est le cas, je serai heureux de les entendre
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- Dieu a dit : « Que la lumière soit. » J'ai répondu : « Dis ‘s'il te plaît’. »
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_ Je voudrais que ce soit toujours comme ça, lui dis-je.
Ses narines frémissent tandis qu'une lueur amusée passe dans son regard d'obsidienne.
_ Essaie de t'en souvenir.
_ Je n'ai pas besoin d'essayer. Je ne changerai jamais d'avis.
_ Ah, Mac! s'écrie-t-il avec un rire aussi froid et sombre que l'endroit dont je rêve. Un jour, tu te demanderas s'il est possible de me détester plus.
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Sans prévenir, il enroula son brad gauche autour de ma taille, posa sa main droite sur mon épaule, ses doigts frolant les rondeurs de mes seins, et m'entraina dans la brasserie, dardant des regards menaçant sur les homme assez téméraires -ou assez stupides- pour s'intéresser d'un peu trop près à mes courbes. Il n'aurait pas pu le proclamer avec plus de force: j'étais à lui, rien qu'à lui.
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Inutile de me regarder dans un miroir pour savoir à quel point je devais avoir l'air stupide ! Je considérais longuement Barrons d'un regard furieux, puis je me dirigeai vers le sounddock pour aller l'éteindre. En entendant un son étouffé derrière moi, je pivotai sur mes talons pour lui décocher un coup d'œil assassin. Il arborait son éternelle expression d'ennui arrogant. Je me remis en chemin, et le son s'éleva de nouveau. Cette fois en me retournant je vis que les coins de sa bouche s'étiraient. Je le fixai jusqu'à ce qu'il se morde les lèvres.
Je parvins au sounddock, coupai le son...et entendis un éclat de rire sonore.
Je fis prestement volte-face.
- Je n'avais tout de même pas l'air aussi ridicule, grinçai-je entre mes dents.
Ses épaules se soulevèrent compulsivement.
- Oh ça va, grommelai-je. Arrêtez un peu!
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Lorsque Barrons se retourna vers moi, ses traits étaient déformés par la fureur.
- Enfer ! tonna-t-il. Ne voyez-vous pas que vous nous mettez tous en danger, pauvre sotte ? Vous êtes une véritable calamité ! Un ... un cauchemar rose bonbon !
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- Il n'y a qu'une seule question qui compte, Mademoiselle Lane, et c'est précisément celle que vous ne posez jamais. Les gens sont capables d'atteindre différents degrés de vérité. La majorité passent leur vie entière à tisser tout un écheveau de mensonges, à s'immerger dans la mauvaise foi, à faire tout ce qu'il faut pour se croire en sécurité. Celui qui vit vraiment connaît de rares et précieux moments de sécurité et apprend à s'épanouir dans toutes les tempêtes. Ce sont les vérités que vous pouvez froidement regarder dans les yeux qui font de vous ce que vous êtes. Faible ou fort. Révélez-vous ! Quelle dose de vérité pouvez-vous supporter, mademoiselle Lane ?
(Barrons)
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" Dont leave me ". I trash in the sheets
" I'm not, Mac "
I know I am dreaming then, because dreams are home to the absurd and what he says next is beyond absurd.
" You're leaving me, Rainbow Girl "
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- Sautez à cloche-pied.
- Vous m'énervez, grommelai-je en m'exécutant.
- Le secret, pour résister à la Voix, m'expliqua Barrons, c'est de trouver cet endroit en vous que personne ne peut atteindre.
- Vous parlez de la zone sidhe-seer? demandai-je tout en sautant sur un pied.
- Non, un autre endroit. Tout le monde l'a. Pas seulement les sidhe-seers. Nous sommes nés seuls et nous mourons seuls. Cet endroit.
- Je ne comprends pas.
- Je sais. C'est pour ça que vous continuez de sautiller.
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Il était vêtu avec l'élégance sans ostentation de ceux qui n'ont rien à prouver.
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_ Vous jouez à Monsieur Question, ce soir? Et si vous me jugiez plutôt sur mes actions? suggerai-je. A ce propos, j'ai décidé que votre avis était plein de sagesse.
_ Tiens, les poules ont des dents? répliqua t-il séchement.
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Chaque fois que je me crois plus sage, plus maîtresse de mes actes, je me heurte à une situation qui me rend cruellement consciente que tout ce que j'ai accompli, c'est d'échanger une construction chimérique contre une autre, plus élaborée, plus séduisante. Je suis la reine de l'auto-illusion.
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« - Je ne sais plus comment m’habiller, alors j’ai essayé de tout concilier.
- Et nue ?
- Il fait encore un peu frais.
Nous nous dévisageâmes par-dessus la table basse. Ses yeux ne dirent pas Je vous réchaufferai, et les miens ne répondirent pas Q’attendez-vous ? Et comme il refusa de s’écrier Pas question de faire le premier pas ! Je m’abstins de répliquer J’aimerais que vous le fassiez, parce que je ne peux pas, parce que je suis… et il ne m’interrompit pas en demandant Trop orgueilleuse pour le faire ?
- Comme si vous ne l’étiez pas, vous !
- Pardon ?
- Vraiment, Barrons, dis-je sèchement. Je ne suis pas la seule à ne pas avoir eu cette conversation, et vous le savez.
Ses lèvres esquissèrent de nouveau ce petit sourire en coin.
- Vous êtes un sacré numéro, Mademoiselle Lane.
- Autant pour vous. »
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La peur mène à l'hésitation, et l'hésitation tue.
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La tombée de la nuit. Quelle étrange expression !
"La nuit", je comprends. "Tombée" est un joli mot.
Les feuilles d'automne tombent, elles tournent avec une grâce languide, et jonchent la terre de leurs feux mourants.
Les larmes tombent, comme des diamants liquides. Elles brillent doucement avant de disparaître.
Ici, la nuit ne tombe pas.
Elle s'abat avec fracas.
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Le feu n'est ni bon ni mauvais. Il brûle, c'est tout.
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