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Critiques de Karen Traviss (50)
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Halo : les Mondes de Verre

Comme la couverture l'indique, nous avons le premier tome d'une nouvelle trilogie sur l'univers Halo qui suit l'équipe Kilo-5. Pour les fans des jeux vidéo, l'action se situe entre Halo 3 et Halo 4 et arrive immédiatement après le tome 4 de la série principale : Les fantômes d'Onyx.



La guerre contre les Covenant est terminée, leur alliance ayant explosé. Les sanghelies notamment, ont fait sécession. Mais pour que cela dure, il va falloir les déstabiliser encore plus et encourager la guerre civile. L'ONI pour ce faire, fait appel à Kilo-Five. Une petite équipe de Helljumpers, d'une Spartan II, d'une IA bien informée, d'un scientifique roublard et d'une barbouze à l'avenir prometteur faisant office de chef. Ils sont chargés d'armer les rebelles. Une OP digne des meilleures Black-op de la CIA (qui pour certaines leur ont bien pété à la gueule).

Pendant ce temps, Le Dr Halsey, qu'on avait laissée en plan dans avec une petite équipe de Spartan II et III sur Onyx, tente de comprendre les trésors du monde bouclier forerunner dans laquelle elle s'est retrouvée enfermée.



K. Traviss n'est pas une novice en matière de novélisation. Star Wars, Gears of War et, plutôt bien réussi, sa série originale phare, les guerres Wessh'ar. Mais si j'avais trouvé son style un peu froid dans Gears of War, il s'est nettement amélioré ici. Alors qu'il n'y a absolument aucun des combats qui ont fait le succès de la série originale livresque, elle arrive à nous produire une œuvre très prenante où les trois fils rouges (Halsey, Kilo-5 et les Shangellies, avec néanmoins un peu trop d'anthropomorphisme) sont soignés et captivants.

N'ayant pas été particulièrement tendre avec les deux derniers épisodes (Le protocole Cole et Contact Harvest), Traviss a su renouveler mon intérêt pour la licence Halo.



Le tome 2 : Le baptême du feu est prévu pour novembre 2015. Et vu le clifhanger final, il va bien falloir s'y atteler.
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Les Guerres Wess'har, tome 1 : La Cité de perle

Un bon roman qui " ne casse pas des briques», pas mal néanmoins! ..



Un texte qui contient tous les ingrédients du space opera : voyage spatial, extraterrestres (plusieurs espèces) ,un personnage principal très bien campé , quelques personnages secondaires assez solides , trouvailles technologiques, intrigue intéressante, des trouvailles exo-biologiques aussi , un récit bien construit ...



Je ne saurais dire ce qui m'empêche d'être enthousiaste , peut-être à cause des personnages légèrement casse-bonbons , et un ton moralisateur . Mais c'est quand même assez bon pour passer un bon moment de lecture .

Le personnage principal fait en grande partie l'intérêt du bouquin en fait .

La planète est très crédible et c'est un monde très dépaysant .

L'arrière-plan politique et les rapports entre les membres de l'expédition sont très bien dessinés.



En fait pas mauvais ...

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Les Guerres Wess'har, Tome 3 : Le Monde d'A..

Après un second tome un peu décevant, un dernier tome (en français) moins fade, mais hélas, trois fois hélas, il ne s'y passe pas grand chose, et le reste de la série n'ayant pas été traduit, nous ne saurons jamais le fin mot de l'histoire.



Nous avions laissé les différents protagonistes du tome 2 : Transgression, dans les situations suivantes :

Shan Frankland éjectée dans l'espace. Ade Bennet infecté par la C'naatat, les bezeri exterminés par une explosion nucléaire déclenchée par Neville et Rayat.

Le début du roman, nous remet d'ailleurs assez bien dans le bain.



Les Wess'har sont végétariens et respectent toute forme de vie, mais toute guerre contre eux devient une lutte à mort et si on les provoque, ils se lancent dans une guerre sans pitié, pouvant éliminer plusieurs millions de personnes.

Vaste programme dont nous ne verrons, hélas, pas le moindre petit bout de nez.



Le roman tourne autour de la responsabilité des journalistes, de la responsabilité individuelle, celle des militaires obéissant aux ordres, la notion d'ordre illégal, le respect de l'écologie. L'auteur reste toujours aussi axé sur l'anticléricalisme et l'athéisme forcené et l'espèce humaine ne sort pas grandie de cette lecture.



La lecture reste intéressante malgré tout, le thème du contact est traité de façon suffisamment originale, sans sombrer dans l'anthropomorphisme ou la suffisance, mais le style est toujours aussi froid (une caractéristique de l'auteur visiblement). Les personnages évoluent, mais comme je l'ai dit en début de critique, la suite n'a pas été traduite.

Mais d'un autre côté, aurais-je poursuivi mon voyage dans ces guerres qui n'en ont que le nom ?
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Gears of War, tome 1 : Aspho Fields

GTEARS OF WAR TRAVISS

Une bonne novélisation ...



J'ai passé un très bon moment à la re- lecture de ce roman aux objectifs assez modestes .

Les personnages sont biens construits et l'univers et l'intrigue sont également bien posés.

Je n'ai pas été pénalisé par mon ignorance du jeu vidéo éponyme .



L'auteur démontre clairement son habilitée à mettre en scène des univers de soldats dans une perspective intimiste , car le ton est juste .

L'auteur met en place soigneusement les personnages et l'univers est approché en rapport intime avec eux .

Les nombreuses scènes de combats avec des ennemis variés sont impeccables et cette apocalypse guerrière aux allures de survie , impacte efficacement le lecteur .

Un excellent moment de distraction , dont l'intérêt va bien au-delà de l'intérêt éventuel ou non du lecteur , pour le jeu vidéo .



Sans prétention mais efficace , distrayant et agréable ...

Un bon moment de science-fiction militaire tout de même ..

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Gears of War, tome 2 : Les Vestiges de Jaci..

Du rythme ... de l'ampleur .. un bon moment de SF.... Un bon moment de SF militaire ...



Et pour les personnages : de l’audace , encore de l’audace , toujours de l’audace .



Amateur de SF militaire ..

je suis tenté d'explorer les novélisations de jeux vidéo ..

Là je n'aie pas été déçu ( comme souvent )...



C'est un très bon moment ..

De la dimension et de l'ampleur ..

Des personnages réalistes impliqués dans des actions logiques , cohérentes et crédibles ..

Un exode de militaires et de civils sous le feu d'ennemis .. ( très divers )

Une situation complexe au niveau stratégique .. tactique et humainement parlant ..



Bien vraiment ... et même ASSEZ redoutable .. !



Des images suggestives .. des visuels qui s'imposent de fait .. : efficace car très scénique ...

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Halo : les Mondes de Verre

Un univers toujours solide et attractif , même si son envergure et sa somptuosité aurait pu été plus marquée et plus approfondie ..

C’est un indéniable plaisir cependant de l’arpenter en compagnie de personnages embarqués dans des problématiques d’envergures et dans des cadres souvent spectaculaires .



L’auteur est ici assez bavarde , les personnages s’épanchent et se questionnent et ce n’est pas très réussi , ça pleure , ça quémande , au point que l’on en vient à espérer que leur vie intérieure nous échappe le plus possible .

Traviss à un mauvais penchant , elle s’oublie souvent et les personnages devienne de pauvres filles ou de pauvres types moralement sanguinolent qui se rependent en gémissements plus ou moins perceptibles . . .

Ce travers est ici atténué par un cadre éloquent pour ce qui est des drames et tragédies qui percutent les destins et les mondes , animés par l’auteur avec une certaine dimension et une certaine fulgurance éloquente .

Par ailleurs l’auteur possède une vision assez psychorigide de sa moralité et de ses propres oignons en général ( pardon opinions ) . Elle les inflige au lecteur , le plus souvent sans ménagement , un peu comme le gavage des oies .



Les spartans par contre sont considérablement déshumanisés , un peu ( beaucoup ) en » panne « . Cela fait drôle je trouve , et du coup l’univers est un peu trop « machinisé » «, simplifié , bon , pourquoi pas ?

Effectivement pourquoi pas … ? Sauf que ce n’est pas cohérent avec la nature des spartants .



Bon sinon , ça swingue un peu . Il y un peu d’action et les problématiques de l’univers sont traitées de manières avenantes et réfléchies avec une exigence qui est effective et au niveau du minimum syndical .

l’univers est assez grandiose . Il y a des extraterrestres avec qui prendre le thé ...



Les descriptions sont le plus souvent avenantes et très immersives .

Mais c’est dommage car les dialogues sont aussi réussis que rarement consistants .



Bref je dirais que ça distrait , que ça agace , et que ce n’est pas véritablement flamboyant .

Dommage que ça gémisse autant , ….. De façons aussi discrètes que incontournables .

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Les Guerres Wess'har, Tome 2 : Transgression

Pas si mal , une bonne distraction ...



C'est un roman assez bon avec de très bonnes idées et assez de crédibilité narrative :

construction de l'intrigue et des personnages , races extraterrestres , exobiologie ....



Cependant les choses ne sont pas assez creusées et cela nuit fortement au résultat final , d'autant plus que beaucoup d'idées sont excellentes .

Un bon moment de lecture , pas complètement gâché par quelques défauts .



Les personnages sont bien campés et avec la création d'un univers assez convaincant , les espèces en présence et les sociétés extraterrestres ...

Les amateurs de espace opéra apprécieront malgré tout ce roman ....



Cependant il y a un anticléricalisme hystérique et caricatural , qui peut plaire .

Mais qui dans la pratique n’est pas argumenté et de ce fait il faut à ce propos cocher la case préjugés ....

L'auteur est évidement libre de ses opinions , mais merci d'éviter l'hystérie et le comportement fatwa laïque , merci bien ..



Cela dit un assez bon moment de lecture , qui manque d’envergure mais dont-on aurai tort de se passer ...

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Gears of War : Coalition's End

Amateur de SF militaire ..

je suis tenté d'explorer les novélisations de jeux vidéo .

Là encore , je n'ai pas été déçu ( comme souvent ) .



De la dimension et de l'ampleur , des personnages réalistes , même s'ils sont principalement basics et fonctionnels .

Des gens impliqués dans des actions logiques , cohérentes et crédibles ..



Avec des combats de militaires et de civils sous le feu d'ennemis , divers et non moins fonctionnels .

Une situation complexe au niveau , tactique et aussi complexe humainement parlant ( drame et affects liés au drame ) .



Bien vraiment ! et même redoutable …

Des images suggestives , des visuels qui s'imposent de fait , bref : efficace ...



Plus que dans les autres tomes l'univers se déchaine ( il y a un véritable renouvellement de l'univers ) .



Cette apothéose de l'horreur , l'effroi ultime , je dirais , se déchaine après un effondrement absolu de l'humanité sur ce monde lointain ,

Une nouvelle invasion spectaculaire se manifeste dans ce volume .



C'est plus que dans les autres tomes ( deux seulement disponibles en français ) , une guerre de position , avec des développements sur des réflexions stratégiques , accomplies sur les cendres d'un désastre absolu qui semble irrémédiable , pour l'humanité sur ce monde défiguré puis transfiguré .

Ce roman possède une puissance immersive assez spectaculaire , et puis une intensité dramatique crédible .



C'est un désastre pour notre espèce qui se fait copieusement botter le popotin

Un mot pour résumer : intensité ..

De la bonne littérature populaire .



Les romans dans cet univers de SF militaire :



Aspho Fiels ( roman ) : dispo en français ( milady )



Jacinto's Remnant ( roman ) : dipo en français ( Milady )



Anvil Gate ( novel )



Coalition's End ( novel)



The Slab ( novel )

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Les Guerres Wess'har, Tome 3 : Le Monde d'A..

LES GUERRES WESS’AR 3



Pour les amateurs du thèmes du contact , c’est une bonne série .



Dans ce troisième tome , l'intrigue et ses développements prennent vraiment de l'ampleur ,

La situation se complique énormément et on entre dans le vif du sujet.

Beaucoup d'excellentes idées raffinent des sujets déjà présent dans ce cycle comme :



Les races extraterrestres , l'exobiologie , la cohabitation des espèces , les intrigues politiques et militaires ...



Néanmoins beaucoup de ces thèmes manquent assez régulièrement de profondeur et c’est copieusement agaçant car beaucoup des ( indéniables ) qualités du roman deviennent presque des défauts de ce fait .

Elle donne l’impression d’avoir un gros poil dans main .. ce troisième tome n’est pas le plus agréable et motivant à lire .



Cependant si l'on est amateur de espace opéra (et du thème du contact en particulier) on aurait certainement tort de faire l'impasse sur cette série .

Une sertie qui est assez bonne pour que l’on en dise que le minimum syndical est plus que dépassé .



Certains personnages masculins deviennent très mièvres … en plus d’être agaçant ce n’est certainement pas cohérent avec ce qu’ils reflétaient dans les tomes précédents .



C’est regrettable car l’auteur dispose des qualités nécessaires pour produire du solide et du tonitruant .



Je le sais parce que je l’ai lu dans des textes qu’elle a produit pour des licences et qui sont très bien structurés .



La traduction de cette serie semble être tombé en rade dans les limbes d'ailleurs ..



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Les Guerres Wess'har, tome 1 : La Cité de perle

Un bon premier tome.

Le problème avec la cité de la perle, c'est qu'en lisant les différentes critiques ici et là, on ne sait pas à quoi s'attendre. Une bouse infâme ou un sympathique petit livre (j'ai déjà répondu à cette question dans mon titre). Un space opera populaire avec super-héros ou un roman plus "réaliste" (option 2 pour moi). Le mieux est de se faire sa propre opinion, et je dis que ce livre mérite d'être lu.



Une rencontre du troisième type incontestablement originale. Les humains ne sont pas cette race supérieure qu'on aime généralement retrouver dans les space op populaire, mais bien des primitifs.

Les personnages principaux : l'officier de police environnemental Shan Frankland est bien développé et très intéressant. Le gardien Wess'har Aras est également bien décrit, physiquement et psychologiquement.

Pour le bémol : Les races extra-terrestres présentes dans ce tome : Wess'har ( à l'exception donc de Aras qui est un cas à part dans sa race due à sa contamination par un parasite le rendant immortel), Berezi, Isenj et Ussimi sont bien trop inconsistantes (peut être l'auteure les garde-t-elle en réserve pour le tome 2 : Les Guerres wess'har, tome 2 : Transgression).



Le roman amène une réflexion sur l'environnement, les eco-terroristes, le génocide, les OGM et les risques commerciaux et éthiques liés, le végétalisme. La politique et diplomatie qui pourraient être mises en oeuvre entre espèces intelligentes ayant une psychologie et des buts différents.



Bref, un livre que j'ai trouvé bien écrit, bien que dans un style un peu froid, manquant de rythme mais racontant une histoire suffisamment intéressante bien qu'incomplète, pour que j'attaque le tome 2. (Et oui ce n'est que le début de la série de 6 tomes dont seulement 3 ont été traduits).
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Morceau par morceau

Morceau par morceau est une nouvelle de la romancière britannique Karen Traviss dont je n’avais jamais entendu parler. Elle a écrit une dizaine de romans dans l’univers de Star Wars.



Nick est un inspecteur social de la colonie Taranto. Il a d’abord travaillé sur Terre où il a été confronté à des cas graves de violence envers les enfants et les personnes âgées. Il doit effectuer une visite domiciliaire avec un stagiaire dans une famille ussissis (extraterrestres originaires de Maran V) dont la mère a mangé ses deux plus jeunes enfants. Chez les Ussissis, ils mangent les enfants en mauvaise santé et les vieillards avant qu’ils meurent. Sauf qu’ici les enfants étaient en parfaite santé…



Deux points de vue s’opposent : celui de ne pas interférer avec les mœurs des Ussissis et celui de porter un jugement moral sur celles-ci et donc d’intervenir.



« Nous rationalisons les choses pour nous convaincre que ce que nous voyons n’est pas mal. (…) C’est en s’administrant les choses à petites doses qu’on peut arriver à les considérer comme normales. Ça rend le mal plus facile à avaler, n’est-ce pas ? »



Plus tard une vieille ussissis débarque au bureau de Nick pour le supplier de l’aider : elle n’a pas envie d’être mangée, elle veut vivre jusqu’à la fin. Nick va pouvoir mettre en pratique ses « belles » théories…



Voilà une lecture qui amène à réfléchir.



Challenge Bragelonne 2020

Challenge multi-auteures SFFF 2020
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Les Guerres Wess'har, Tome 2 : Transgression

Dans le tome 1 La Cité de Perle, nous avions laissé Shan Frankland, désormais infectée par la c'naatat, parasite la rendant quasi immortelle, en réfugiée politique chez les Wess'har.

Les Terriens et les Isenj, prêts à tout pour s'emparer de la planète des Berzeri, dont les Wess'har sont les gardiens.



Moi qui reprochait un manque de consistance aux races extra-terrestres dans le tome 1, on peut dire que j'ai été servi dans ce second opus, en tout cas pour ce qui est des Wess'har; jusqu'à l'overdose d'ailleurs.

En effet, à travers la relation amoureuse qui unie Aras et Shan (et oui on abordera les relations sexuelles inter-espèces) et les relations de cette dernière avec les instances dirigeantes, les matriarches, on respire wessh'ar, on mange wess'har et on dort wess'har. et sur les 230 premières pages du roman, c'est long, trop long.



Heureusement, passé cette première partie, un peu soporifique, la tension montre brusquement entre les différentes races - due à un action humaine d'ailleurs, race ayant du mal à comprendre la psychologie wess'har pour qui tout menace est immédiate et doit être traité comme une déclaration de guerre.



Pour les personnages principaux, Aras "s'humanise", Shan se rigidifie et Eddie Michallat (le journaliste) prend de l'ampleur.



Deux étoiles pour la première partie et quatre pour la seconde de ce tome 2.
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Les Guerres Wess'har, tome 1 : La Cité de perle

Les Guerres de Wees’har est une série explorant un registre susceptible de diviser les critiques : la « guerre » et ses soldats. L’éternelle question (tout comme la guerre) tournera autour de la qualification du récit: SF militariste (traduire par bas du front) ou SF militaire (lecture acceptable). Sans y plonger le nez, le thème et le quatrième de couverture le classent dans la lignée d’un Honor Harrington à la réputation « peu enviable »…



En effet, dès qu’un auteur s’attaque à ce vaste et délicat sujet, une partie de la critique a tendance à descendre le livre s’il ne dénonce pas avec force la guerre et les belligérants. Finalement, c’est un point de vue assez négatif qui m’a donnée envie de le lire car j’étais très agacée par les poncifs contenus. Bien m’en a pris.



Au premier rang des reproches, un génocide planétaire au nom de l’écologie. Effectivement, Karen Traviss a pris un parti assez tranché et visiblement osé. Sur la planète Cavanagh, Aras est un guerrier Wess’har redoutable en charge de la surveillance des colons humains survivants. Aras fait partie d’un race extra-terrestre très à cheval sur la préservation de l’environnement au point de régler le problème de façon radicale. Très radicale : élimination de toute la population d’une planète! Cela peut donc choquer ou agacer quelques sensibilités. Le lecteur choisira d’y voir une attaque en règle mesquine, ou un danger potentiel liè à l’écoterrorisme. Personnellement, je ne considère pas Karen Traviss comme une visionnaire, et cependant, le fondamentalisme peut prendre de nombreuses formes. Par conséquence, les colons de la planète doivent être irréprochables sur ce point.C’est une problématique cruciale car ils sont pris entre les nécessités de la survie dans un environnement peu hospitalier, et les exigences intransigeantes des Wess’har. D’où l’envoi d’un officier environnemental, Shan Frakland.



Évidemment, l’écueil central dans la SF militaire/militariste est le traitement des conflits et des combattants. Il faut préciser que La cité de perle ne relate pas une guerre de grande envergure. Les personnages principaux, militaires de leur état, peuvent d’office parquer le roman dans la SF militariste, un sort potentiellement conforté par les scènes de violence. Karen Traviss connaît bien ces sujets et nous décrit des protagonistes qui sonnent justes, explorant leurs motivations, leurs valeurs et leur quotidien. Les personnalités sont complexes, avec parfois une touche d’ambivalence, surtout quand les situations se tendent. Frakland et Aras sont plutôt très réussis. Les interactions sont franches et viriles – ce qui peut chatouiller une fois encore quelques sensibilités – et pourtant très réalistes dans ce cadre martial. Le stress subi par les divers personnages est bien rendu et l’ambiance souvent tendue même pour nous, simple lecteur. Nous apprenons comment les jeux politiques, la propagande et les inconséquences enclenchèrent cette crise, et la perte totale du contrôle des événements…



La description de cette civilisation extra-terrestre est intéressante et crédible. Karen Traviss nous la présente comme la première rencontre alien, avec toutes les hésitations, les incompréhensions, les maladresses auxquelles nous pouvons nous attendre. L’énergumène qui représente les Wess’har fait son effet ( Aras me fait penser au Predator…) et participe pleinement à notre découverte de cette culture « jusqu’au boutiste » dont la philosophie est plus élaborée que le simple anéantissement. S’agissant d’un premier tome, nous en poursuivrons la découverte dans les prochains romans.



L’intrigue est tout à fait prenante, et une fois les premières pages lues, il est difficile de ne pas aller jusqu’au bout. L’écriture est claire, le style agréable. Ce premier tome manque un peu de rythme sans que cela soit rédhibitoire. L’univers intéressant de Karen Traviss ne demande qu’à s’enrichir.



Pour être claire, j’ai aimé ce roman bien construit exposant des thèmes d’actualité, et un peu de testostérone bien distillée ne fait point de mal!
Lien : https://albdoblog.wordpress...
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Gears of War, tome 1 : Aspho Fields

Vaut pour les deux épisodes :



Ne connaissant le jeu que de nom, j'ai pris ce livre, non comme une novellisation du jeu, mais comme un roman à part entière.



Il manque quelques explications sur les locustres leur origine et leurs buts et un passage par wiki a été nécessaire.

La narration est un peu froide et présente quelques longueurs.



Néanmoins on suit avec intérêt le combat pour la vie de Marcus, sa puissance, ses faiblesses et ses états d'âme.



De la bonne sf militaire, réaliste pour le monde dans laquelle elle évolue.
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Gears of War, tome 2 : Les Vestiges de Jaci..

Vaut pour les deux épisodes :



Ne connaissant le jeu que de nom, j'ai pris ce livre, non comme une novellisation du jeu, mais comme un roman à part entière.



Il manque quelques explications sur les locustres leur origine et leurs buts et un passage par wiki a été nécessaire.

La narration est un peu froide et présente quelques longueurs.



Néanmoins on suit avec intérêt le combat pour la vie de Marcus, sa puissance, ses faiblesses et ses états d'âme.



De la bonne sf militaire, réaliste pour le monde dans laquelle elle évolue.
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Star Wars - L'héritage de la Force, tome 8 : ..

L’héritage de la force tome 8 : Ce tome fut aussi jouissif pour moi qu’Enfer. On était en droit de se poser de sérieuses questions après le très décevant Fureur de Aaron Allston. Le souci avec l’héritage de la Force c’est qu’on a donné beaucoup trop de largesse aux trois auteurs. Malgré l’incroyable qualité de ce cycle, il y a de fameuses incohérences qui au fil des livres ont créé une faille aussi large que celle de San Andreas. Alors la grosse question est, est-ce que Karen Traviss corrige les erreurs de Allston, on va dire oui bien entendu, la patte de Traviss est inimitable. Et est-ce qu’elle récupère le coup sur l’ensemble des romans de ce cycle, la réponse est hélas non. Toutefois elle s’en sort avec les honneurs et offre la possibilité à Troy Denning de finir en beauté.



Le souci majeur de ce cycle c’est qu’on sentait l’ombre de Dark Disney se rapprocher peu à peu. Les pourparlers pour le rachat avaient commencé déjà milieu des années 2000. Le tout ici était d’offrir un spectacle de grande envergure pour convaincre l’utilité de poursuivre l’univers étendu. Mais si nous avons vu les nombreux défauts dans ce cycle il est fort à parier que Dark Disney aussi. Mais ça n’est pas pour ça qu’ils s’en sont mieux sortis bien au contraire.



Alors ce roman au lieu de s’appeler Révélation il aurait dû s’appeler déculotter n’est-ce pas Jacen ? Car Jacen est tout sauf un Sith crédible. Car qu’y a-t-il de Révélation dans ce tome ? Je suis un seigneur Sith Mouhaha ! Non sans blague ? On croyait que tu nous faisais une blague avec tes yeux jaunes Jacen ! Un mauvais trip peut-être ? Snifer la colle c’est très mauvais à force. Alors Jacen se croit le plus puissant des Sith n’ayant jamais vécu. Ha l’espoir fait vivre comme on dit. La reine Bavmorda dans Willow dirait : « Alors voilà tous l’étendue de tes pouvoirs avorton ». Car Jacen ne veut pas suivre la voie Jedi, mais d’un côté il ne veut pas non plus être un Sith de l’ancien ordre. Alors il est quoi un Jedi gris ? Non. À flirter entre deux dogmes opposés, et de se prendre pour la Suisse (Constantine), on finit par se prendre les pieds dans le tapi.



Là où Palpatine avait toujours deux coups d’avance, Jacen en a deux de retard. Et ça ferait déjà longtemps qu’il serait mort si sa famille n’avait pas autant hésité. Mais arrêter un Sith n’est jamais chose facile quand on se souvient de l’arrestation de Palpaltine. Sauf que Jacen n’est que l’ombre d’un Sith, rien de plus. À force de se couper volontairement de la Force il ne voit pas les caisses lui tomber sur le crâne. Alors forcement il en incombe la faute à Lumiya. C’est l’attitude des perdants, et nous en avons un gros ici. Alors Jacen dans sa bêtise se trouve plein d’excuses pour ses échecs et justifié ses actions. Il ne se voit pas comme un Hermann Göring, car chaque vie qu’il prend est justifiée. Il n’est donc pas un criminel de guerre. Ça n’est donc pas lui qui tue la fille de Fett, pas lui qui torture Ben, pas lui qui tue sa tante Mara en s’abaissant à un tour de la plus grande des bassesses. Tout ce qu’il à fait s’était pour la justice. Mais oui on te croit mon gars. Si Chewbacca était encore là, il te mettrait le nez dans de la crotte de Bantha.



La plus ennuyée dans tout ça c’est Niathal qui se rend compte qu’elle a pactisé avec le diable. Si Jacen n’était pas un (piètre) Sith ça lui aurait poser moins de soucis. Car l’histoire du subalterne avec la nuque brisé lui pose un énorme souci. Avec un être normal, on l’aurait mis aux arrêts, jugé et mis en prison, mais avec un homme capable d’utiliser la Force que fait-on ? Gros dilemme. Alors Jacen relativise, après tout je n’ai brisé qu’une nuque, je ne suis pas mon grand-père. Mais il suffit qu’un mauvais geste pour condamner quelqu’un, une nuque brisée est suffisante pour montrer quel genre de monstre tu es. Et ça n’est pas le fait de lâcher quelques blagues qui vont te faire remonter dans l’estime des hommes t’entourant.



Shevu est le premier à comprendre quel genre d’individu est au pouvoir, c’est un drame politique de plus pour AG. Il décide donc d’amener toutes les preuves pour condamner ce monstre de cruauté. C’est même Jacen qui lui donne le bâton pour le taper. Oh, mais quel grand Sith incapable de repérer une caméra cachée. On est vraiment dans l’amateurisme à grande échelle avec Jacen ou avec l’auteure.



En faite Jacen n’est pas un Sith c’est un Sith-clown, car il m’a fait énormément rire dans ce tome. Déjà il se fait avoir par une superbe illusion créé par Luke, en faisant une sortie il passe à deux doigts de se faire capturer, car il faut bien l’avouer plus on avance plus les pouvoirs de ce couard de Jacen régressent. Au moment où Fondor capitule, Jacen veut enfoncer le clou et refuse les règles en vigueur. Niathal n’a alors le choix de se mettre en travers de sa route. AG est à ce moment précis déchirée en deux. La fourberie de Jacen est-elle qui va jusqu’à faire tuer Peallon par sa pseudo apprentie, une junkie des visions passée de son ancien amour.



Alors que son frère régresse dans son humanité, Jaina elle devient complètement badass au contact de Fett qu’elle à pris comme mentor. Les liens que Jaina va lier avec cette communauté sont vraiment intéressants. On va la voir se remettre en question et réfléchir, mais surtout apprendre des choses nouvelles qui vont la rendre Invincible. Son lien qui va l’unir à Mitra est vraiment émouvant on sent indubitablement une union fraternelle entre ces deux-là. Quand Jaina arrive, sur le lieu des combats elle est décidée, à se battre comme une Mando-Jedi « Je vais te matraquer comme une Mando, petit roquet arrogant ». Mais elle est pas la seule à vouloir en découdre Carid fonce sur Jacen et lui attrape la jambe avant de lui brisé le genou. Une preuve de plus que Jacen n’est pas Vador, car personne n’aurait pu approcher Vador d’aussi près et surtout pas un Mando.



Cerise sur le gâteau l’arrivée de Dalaa qui met l’armée de ce fantoche de Jacen en pièce. T’a rien vu venir hein gamin arrogant ? Normal tu sais plus te servir de la Force. À un moment il faut décider ce qu’on est, mais c’est une chose que Jacen n’a jamais su faire. Sa nonchalance on toujours fait de lui un Jedi des plus indécis. Il aurait sans doute suive les traces de son père il aurait moins de dégât.



Mara apparaît pour les deux dernières fois, d’abord sur Kavan à son fils pour lui dire qu’elle l’aime et ensuite pour lui indiquer ce qu’il doit trouver pour incriminer une fois pour toutes Jacen. La seconde fois elle apparaît à Luke, Ben se rend compte que c’est sans doute la dernière apparition de sa mère, mais il laisse ce privilège à son père, car elle lui est déjà apparue. Ben à l’étoffe des grands chevaliers Jedi, une fois de plus il m’a impressionné sur sa maturité dans cette scène.



Au final un roman tout en puissance qui va enfin nous amener sur la fin de Jacen que Jaina va bientôt pouvoir découper comme un kebab à la manière Mando. Oya. Et que la Force soit avec vous…



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Star Wars - L'héritage de la Force, tome 2 : ..

L’héritage de la force tome 2 : cette fois c’est Karen Traviss qui prend le relais. Même s’il y a toujours une certaine cohésion avec les trois auteurs on sent tout de suite que Karen n’est pas ici pour nous faire rire. Beaucoup de noirceur dans ce second tome. Tellement de noirceur qu’on sait déjà que le retour de Jacen vers la lumière est un pari impossible.



L’autrice amène un style plus mature par rapport à Allston qui malgré le sérieux de la chose arrivait à nous faire rire quelquefois. Peut-être que Karen Traviss veut trop bien faire en amenant un style plus carré. Dommage j’aurais tendance à dire, car un Star Wars sans quelques vannes bien placées c’est un peu vide de sens. Karen Traviss on le sent tout de suite est ici pour faire avancer l’intrigue. De plus le style militaire est un style propre à l’autrice puisqu’elle a été réserviste dans l’armée anglaise (c’est marqué dans sa bio). Donc comme je l’ai dit le roman à un style très carré, très direct comme l’on été ses précédents romans pour Star Wars (voir Clones Wars).



La question est : est-ce que Karen Traviss dénature les personnages et s’éloigne de ce que devrait être un star wars ? A priori non, elle cerne bien son sujet et offre une belle suite au roman de Allston, tout en restant maître de son sujet.



Alors beaucoup de choses se passent dans ce roman on voit l’apparition d’un Boba Fett affaibli en quête de rédemption. La guerre civile fait toujours rage avec un blocus qui nous fait penser un peu à nos gouvernements élitistes. Mais bon je ne suis pas ici pour faire de la politique, mais pour vous parler de ce roman. La guerre civile ne fait pas qu’opposer les Corelliens à l’AG, elle divise un peu plus la famille Skywalker-Solo.



On a envie de mettre des claques à Jacen à chaque fois que l’on voit apparaître son personnage (quelle arrogance). Là où on pouvait encore lui trouver quelques excuses dans le premier tome, ici il n’y a plus de doute il a tourné dans un style Vador, mais en bien pire. Déjà il troque sa tenue Jedi pour un treillis militaire. Pardon ? Oui ça m’avait fait la même chose à ma première lecture. Renié sa toge de Jedi c’est un peu comme brûler des livres en place publique. Ce qui est d'autant plus étonnant c’est le manque de réaction de Luke qui est Grand Maître Jedi. Avant que Jacen devienne le pantin de l’AG et se mette ainsi en avant il aurait dû demander son accord au conseil Jedi. Ce qu’il ne fait évidemment pas.



Venons-en à Luke : pourquoi t’en fou pas une ? La réponse est simple Luke est dans une terrible impasse. Jacen est son neveu, mais aussi le mentor de son fils. Mais  là où la chose se corse encore plus c’est que Mara la femme de Luke trouve que Ben évolue bien sous la guidance de Jacen. S’il désavoue Jacen il risque de se mettre beaucoup de monde à dos. Et comme dans le premier tome ses rapports avec Yan étaient déjà tendus, ça ne ferait que jeter de l’huile sur le feu. Mais avant de penser en terme familial Luke aurait dû penser en tant que Grand Maître Jedi. Et donc pendant que Luke laisse couler, Jacen devient de plus un plus un Sith corrompu par le pouvoir des Vong ce qui est doublement dangereux.



Pour comprendre un peu mieux ce roman, il va falloir faire un comparatif entre Jacen et Anakin Skywalker. Déjà Jacen est tout sauf un second élu, il n’aura jamais le quart du dixième du pouvoir de son grand-père ni de son défunt frère au même nom. On pourrait penser que Jacen fait ça pour la justice et l’équilibre de AG. Mais il n’en est rien il a la même faille que son grand-père à savoir Tenel Ka et sa fille même s’il s’en voile la face. La preuve en est qu’il a peur pour sa famille, c’est qu’il tente de cacher l’existence de sa famille à Lumiya. Donc Jacen est tout sauf altruiste. Mais il va vouloir se convaincre qu’il est meilleur que son grand-père en voyageant dans le temps pour voir les erreurs que Anakin avait commises. En faisant cela, Jacen perd son libre arbitre. C’est un peu comme s’il n’avait retenu aucun précepte des Jedi. Jacen a aussi la capacité de voir dans le futur. Mais il s’y refuse. Pourquoi ? Parce qu’il a peur. Et bien entendu la peur conduit aux côtés obscurs comme dit Yoda. Il est clair que Jacen n’est pas son grand-père, car au détriment de Jacen, Anakin affrontait ses peurs et cela malgré ce que ça lui coûtait.



Anakin et Jacen sont très différents dans l’éducation. Anakin naît esclave il ne connaît qu’une chose dans ses premières années la servitude et la douleur. Jacen lui est protégé comme personne à sa naissance, il peut compter sur son père, un Wookie et bien entendu Luke. Anakin est un Jedi à fleur de peau qui commence son apprentissage tardivement et maladroitement à cause du conseil Jedi qui se sent intimider par sa puissance. Mais quand Anakin bascule du côté obscur, ça lui fait mal. On se rappelle de ses larmes dans le temple Jedi. Jacen lui n’a aucune compassion pour la Jedi qu’il tue dans le premier tome (sa disciple). Il va jusqu’à torturer et tuer dans des interrogatoires mentaux. Quand Anakin va tuer Dooku : il dit c’est mal. Il le sait fort bien et éprouve un remords pour chaque action qu’il commet y compris quand il est coincé dans son armure de Vador. Jacen lui n’a de remords pour rien. Quand Yan le renie, il devrait comprendre qu’il a été trop loin. Pour moi Jacen est tellement imbu de sa propre personne qu’il ne sait pas reconnaître ses erreurs. Il va donc se convaincre qu’il est l’avenir de la galaxie et qu’il fait ça pour la justice. Moi j’appelle cela de l’aveuglement et ainsi naissent les empires despotes.



Un second tome qui cogne donc là où ça fait très mal. L’héritage de la force tient toutes ses promesses et nous annonce encore beaucoup de retournement de situation. Ha ! Dark Disney si tu en avais prit de la graine...



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Star Wars - L'héritage de la Force, tome 5 : ..

Nous retrouvons pour ce tome, karen traviss qui apporte son style militaire et son développement sur la société mandalorienne. Traviss étant la seule à développer ce peuple dans l' univers étendu. Cela crée une sorte de déséquilibre au niveau des tomes, car a mon sens les histoires parallèles ou l'on suis Boba fett ne sont pas assez approfondies et c'est vraiment dommage.



Certains personnages sont effacés de l' histoire comme Han et Leia Solo et d' autres comme Ben Skywalker plus présents. Le fils de Luke est suivi sur une partie de l' histoire où nous assistons a son évolution en particulier lorsque celui ci assassine le premier ministre corellien sous les ordres de Jacen. C'est aussi le cas de Mara Jade Skywalker qui est au centre de l' histoire.



Dans ce récit nous assistons a la prise de pouvoir par Jacen solo qui trouve dans une faille juridique le moyen de changer la loi légalement. Il fait donc arrêter Cal Omas, le chef de l'etat et prends le pouvoir avec l'amiral Niathal.



Les évènements s enchaînent avec Mara Jade au centre de l' action jusqu'au combat qui l oppose a Jacen, celui ci etant dominé par sa tante. Il utilise une ruse pour la faire hésiter en prenant l' apparence de Ben et la tue.



Lumiya endosse le meurtre pour protéger Jacen et attire Luke dans un duel dont il sort victorieux avant d apprendre que Lumiya n a pas tué Mara.



Jacen solo est désormais un seigneur sith, il prend le nom de Dark Caedus qui au moment de la publication du livre a été voté par les fans.

Caedus est le mot latin pour abattre.
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Star Wars - L'héritage de la Force, tome 8 : ..

Avant-dernier tome de cette ambitieuse série, Révélation nous plonge dans la préparation d'un conflit offrant un final décoiffant. L'intrigue est plus fluide car se concentrant vraiment sur l'essentiel avec un Boba Fett vraiment intégré.
Lien : http://www.scifi-universe.co..
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Les Guerres Wess'har, Tome 2 : Transgression

Avec trangression , deuxieme tome du cycle des Guerres Wesshar, on entre dans le vif du sujet. C'est vrai que la premiére partie du livre, qui s'attarde sur la culture Wess'har peut paraitre ennuyeuse, mais ca ne pas dérangé, .



Dans la deuxiéme partie, la tension monte lentement. Car la Terre veut a tout prix récuperer le fameux parasite qui offre pratiquement l'immortalité, tant pis pour les conséquences, et la, Traviss nous montre une bien piétre image de l'humanité, qui n'a pas oublié ses vieux demons colonialiste.



Un bon bouquin.
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