Rayann ouvrit un carton de Harlequin à l’aide d’un cutter et les rangea sur le présentoir qui leur était destiné. Ils ne feraient pas long feu, car les dames de la maison de retraite les dévoraient littéralement. Rayann les comprenait.
Elle se ferait bien un bon livre elle aussi. Elle n’était pas désespérée au point de lire des romans de gare décrivant des histoires d’amour hétérosexuelles, mais elle avait été accro en grandissant.