Il y a quelque chose d’étrange et de désespérant à se sentir étrangère dans son propre pays. Quand les armées françaises ont pénétré dans Baden-Baden, j’ai éprouvé du soulagement et de la joie. Pour que cette dernière soit complète, il aurait fallu que je sois sûre d’une chose : que les Français se conduiraient avec dignité. Pour l’instant, mes sentiments restent ambivalents.