Personne ne sait où doivent aller l'homme et sa pensée. Puisque l'être-là, l'homme et son monde, ne sont pas à leur fin, il ne peut pas plus y avoir une philosophie achevée qu'une anticipation du tout. ... La philosophie comme pensée est constamment en même temps la conscience de soi s'achevant pour cet instant, et cette conscience sait qu'elle n'aurait aucune consistance dans une expression d'elle-même qui serait définitive.