« C’est ça qui est si déprimant. Je n’arrive même pas à être digne de mes propres désirs. Je les considère comme quelque chose dont je pensais un jour avoir l’utilité mais dont je ne sais plus quoi faire. Je ne veux pas les jeter mais je les ai enfouis dans un carton sur lequel j’ai inscrit « Mes désirs » bien lisiblement au marqueur et je les ai rangés dans un coin de mon grenier mental en essayant ensuite d’oublier l’existence même de ce carton. »