Une des questions que je lui ai posées [...] était la suivante : s’il y avait une vie après la mort, pourrait-elle m’envoyer un signe pour me le faire savoir d’une façon ou d’une autre ?
Ça l’a fait rire.
- Je ne peux pas te donner la foi, Tess. C’est à toi de la trouver et le reste suivra.
- Mais tu pourras essayer ? Juste un petit signe ?
- Si tu utilisais la même énergie à croire que celle que tu gaspilles à douter..., me répondait-elle à sa façon un peu exaspérante de faire sonner une critique comme un compliment.