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Critiques de Kathleen Meyer (15)
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Comment chier dans les bois : Pour une appr..

Ce livre est quand même un peu chiant puisque l'auteur, après avoir expliqué, assez longuement, pourquoi nous devons éviter de déféquer à certains endroits (proximité d'un cours d'eau que nous pourrions polluer, etc...) passe en revue notamment tous les accessoires vendus aux USA qui permettent aux randonneurs des parcs nationaux américains d'emporter avec eux pour plusieurs jours dans des containers adaptés les produits de leurs entrailles.

Humour au début mais cette approche soi-disant environnementale dégénère assez vite. Je l'ai lu parce que c'était un cadeau. On peut passer à côté sans problème et continuer de déféquer à loisir.
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Comment chier dans les bois : Pour une appr..

Comment chier dans les bois est un livre vendu à plus de 3 millions d'exemplaires. Ici, 10 critiques.

La population présente sur Babelio n'est donc pas pratiquante de l'Outdoor, au sens anglo-saxon du terme. Il n'empêche, cet ouvrage est intéressant à plus d'un titre, mais aussi déstabilisant. Voici pourquoi :

Tout d'abord, Comment chier dans les Bois est bourré de détail physiologiques, scientifiques et de pistes de réflexions sur la matière fécale, la merde. En contrepartie, il n'aborde que de manière rapide ces sujets mais donne les références essentielles.

On a aussi toute une liste de techniques pour éviter de souiller les sols, mais ces fabricants sont américains, tant notre approche européenne est différente de celles de nos voisins d'outre-atlantique.

Le chapitre le plus intéressant pour moi aura finalement été celui sur l'eau et sa filtration. On sait que de nombreux parasites et virus habitent nos rivières, à cause des autres humains qui y chient ou des animaux qui y pâturent (et chient aussi). L'auteure détaille donc de façon poussée les techniques de potabilisation des différentes eaux.



En revanche, pour un lecteur non-américain et imprégné de la culture de la Wilderness et de l'Outdoor, qui vit dans un pays possédants des parcs nationaux comme le Yosemite (avec des réglementations drastiques) - et ce même si les PN français tendent vers ce "modèle" - le livre perd un peu de son intérêt. J'ai déjà parlé de la liste de fabricant de matériel (made in US), mais les considérations philosophiques sont très loin de notre culture, et comme le disait un autre commentaire, bien plus critique, on a un peu là un précis anthropologique à consulter avant une visite là bas ! C'est un autre monde, la nature est presque plus réglementée que la vie citadine ou que l'économie aux USA !

Chez nous, dire à quelqu'un de ramassez et de remporter ses merdes à la maison est tout juste impossible (pour le moment), et comme la moitié du livre ressasse cela comme un mantra...

Bob, on peut aussi creuser un trou, ce qui est très souvent faisable par chez nous, loin des rivières et des chemins !

Un chapitre intéressant et à ne pas oublier, mais qui ne me concerne pas directement, est celui dédié aux femmes !



Enfin, pour finir, il ne faut pas oublier que ce livre est aussi assez drôle et propose d'en finir avec un tabou ridicule et polluant, tant dans nos manières qu'écologiquement !

La version européenne reste à écrire, mais en attendant celle-ci est à compulser !
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Comment chier dans les bois : Pour une appr..

En fait, à l’origine, il s’agit d’un véritable guide pratique au sens strict ; sauf qu’il est complètement déphasé avec notre culture française.



Quelque points chimiques et physiologiques sont intéressants, mais de là à en faire un guide, il y a un pas.



En fait l’ouvrage s’avère plus être un guide sociologique sur la façon de vivre, de penser et de s’intégrer dans la nature pour les civilisations anglo-saxonnes quelque peu coincées à ces entournures là.



Je me rappelle à présent les coups de klaxon que j’ai essuyé alors que je pissais le long de l’orée d’un bois en Grande-Bretagne.

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Comment chier dans les bois : Pour une appr..

Un titre de livre pareil attire forcément, et arrive même à nous faire sourire instantanément.

Sur ce coup-là, Kathleen Meyer, l'auteure, a bien réussi son coup et nous indique clairement la direction "frontale" que prendra sa narration.



Et nous sommes prévenus dans les préfaces (une originelle, et une pour cette nouvelle édition en plus d'une préface française), on va forcément passer un moment assez léger en priant que ce ne soit pas trop lourd quand même...



Au niveau de l'humour, ça passe. L'auteure prend la parti pris de parler sans complexe de la merde dans tout ce qu'elle a de plus naturelle. Et si on n'est pas trop constipé, on adhère à ce ton volontairement ouvert. Le titre du premier chapitre, "Anatomie d'une merde", par exemple, me fait immanquablement penser au visage de bouse de mon ancien patron. Et ça, ça n'a pas de prix !



Ce n'est pas juste de la provoc', car son sujet est sérieux et elle souhaite le traiter d'une manière très pédagogique.

Son constat est des plus logiques : les cours d'eau (elle parle ici des cours d'eau d'Amérique, mais on peut étendre la gravité au reste de la planète sans trop de doutes) sont tous pollués à cause des déjections humaines et parasités par la giardiase, un protozoaire qu'on n'a pas du tout envie d'héberger dans nos entrailles !



Kathleen Meyer, guide de raft, va nous exposer différentes manières de prendre soin de notre environnement en gérant au mieux le produit final de nos envies pressantes.

Et il y a plusieurs écoles. Certains préfèrent faire des "trous de chat", et ainsi se servir de la litière naturelle du sol. Bien qu'elle mette en garde contre un manque de professionnalisme trop répandu sur cette technique et qui peut mener à une pollution involontaire, l'auteure nous en tire aussi des points positifs. En grande experte, elle nous conseille de joindre l'utile à l'agréable en profitant de ce moment solitaire pour s'échapper dans une contemplation de la nature environnante. Le choix du lieu de dépôt est donc primordial.

Kathleen Meyer prône cependant la technique du "Remportez Tout". L'avantage est qu'on ne laisse pour ainsi dire aucune trace de son passage et qu'on préserve donc l'écosystème de la pollution humaine.

Le désavantage est aussi évident qu'encombrant... Mais une grande partie de ce livre est consacrée aux divers matériels pouvant nous aider dans ce geste dévoué : Toilettes portables de toutes sortes ou techniques plus personnelles, il y en a pour tous les goûts !



En revanche, c'est ici que le livre devient presque chiant. L'auteure nous énumère un paquet de ces systèmes transportables. Les trekkeurs, randonneurs ou encore kayakistes passionnés de longues sorties peuvent y trouver un intérêt (malgré le fait que ce matériel est surtout disponible aux États-Unis), mais ces listes d'urinoirs et de sacs à merde, pourtant parfois semées d'humour, finissent par nous lasser.



Plusieurs anecdotes, indispensables pour illustrer le propos, nous immergent dans des situations impensables et évidemment gênantes pour les impliqués. Elles permettent de nous faire réaliser la problématique mais on a du mal à se retrouver dans ces situations qui concernent souvent de grands sportifs pourtant habitués à délivrer des colis partout sur le globe tels des Fedex de la chiasse.



J'ai trouvé un certain intérêt dans ce livre de part sa dimension écolo et humoristique. Mais sa destination à un public à même de se servir des différents procédés m'a parfois éloigné de mon implication.

Au final, et malgré ma curiosité première, je ne crois pas être prêt à sauter le pas.





Sur ce, et ce n'est pas sans une pointe de culpabilité, je vais aller déposer les potes à la piscine.
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Comment chier dans les bois : Pour une appr..

Comment chier dans les bois... une question qu’a priori, on ne se pose pas. Dans l’esprit de tous, il suffit de trouver un endroit tranquille, de se mettre en posture, et quitter les lieux une fois l’affaire faite.

Et c’est ainsi qu’au détour d’un sentier, il n’est pas rare de se trouver face à une rangée d’immondes étrons surmontés chacun – cerise sur le gâteau – d’une petite boulette de papier toilette...



L’auteur, Kathleen Meyer, est américaine. Elle a été plusieurs années guide de randonnée sur la rivière Whitewater. Elle a accompagné des citadins à qui il lui fallut apprendre – ou réapprendre – à éliminer en pleine nature.

Kathleen Meyer traite son sujet à la fois avec humour et sérieux. Elle émaille son récit d’anecdotes cocasses survenues à des campeurs contraints de se soulager en des endroits peu habituels (comment s’y prend quelqu’un en train d’escalader une falaise soudain saisi d’une envie irrépressible ?). Cependant, elle insiste beaucoup sur les répercussions préoccupantes provoquées par l’afflux croissant de campeurs et randonneurs dans la nature.

La mode des activités « naturelles » s’est considérablement développée ces dernières décennies. Les endroits réellement sauvages exempts de toute présence humaine se font bien rares. Cela n’est pas sans conséquences : les scientifiques ont constaté que pratiquement tous les cours d’eau de la planète étaient contaminés par les germes fécaux de la diargiasis et du cryptosporiodis. Avant les années 70, on ne les trouvait que dans certaines rivières très localisées. S’ils sont ingérés, ils provoquent l’apparition de troubles intestinaux parfois graves et qui peuvent devenir chroniques. Bien que ces maladies affectent plusieurs espèces de mammifères, ils semble que les humains soient seuls responsables de leur propagation mondiale.



Kathleen Meyer est convaincue par le fait qu’il faut absolument veiller à ne pas contaminer les cours d’eau au cours de sorties dans la nature. Elle va exposer dans son ouvrage les différentes manières de déféquer au grand air de la manière la plus hygiénique possible.

Selon les règles de l’art, il faut s’éloigner suffisamment de ses congénères, bien sûr, et des cours d’eau. Si possible, s’installer devant un beau point de vue. Se méfier des insectes, des serpents, des plantes urticantes (aux Amériques, elles sembles bien plus coriaces que nos orties !) Et puis, creuser un trou, comme les chats. Ceci, tout d’abord, afin d’éviter que l’objet ne se mette à dévaler une pente pour atterrir où il ne faut pas, et aussi de mettre la fèce en contact avec les bactéries du sol, qui vont contribuer à sa décomposition (toujours garder à l’esprit qu’une déjection humaine, dans les meilleures conditions, met une année à disparaître). Il est des cas où l’on ne peut pas creuser le sol : quand il est trop sec, trop dur ou trop froid, il est de toute façon pauvre en bactéries. Dans ce cas, Kathleen Meyer préconise, et c’est là l’aspect le plus troublant du livre... d’emporter son étron !

Aux Etats Unis, la législation interdit parfois d’installer des toilettes en dur dans des sites remarquables afin de les préserver. Résultat, dans les criques de la rivière Whitewater, il devenait impossible de creuser son trou de chat sans faire une découverte peu ragoûtante... Alors, une nouvelle loi intervint pour défendre de laisser la moindre chose derrière soi après son passage en ces lieux. Fut donc organisé un système de toilettes portables qui accompagnent les randonneurs dans leur périple (à dos de mulet), et qu’il faut vider et nettoyer au retour... On ne peut que ressentir un profond respect devant l’abnégation dont font preuve les personnes chargées de cette tâche.



Quant au randonneur solitaire, tout est prévu pour lui : il peut s’équiper d’un container individuel, voire d’un Tupperware (si !) afin d’emporter ses excréments dans son sac en vue de s’en débarrasser ailleurs, le plus souvent en les jetant dans la cuvette d’une toilette classique.



Kathleen Meyer est une authentique amoureuse de la nature. Elle a réfléchi sérieusement aux conseils précieux à donner aux citadins si peu habitués à se soulager en plein air. Il faut être prêt à accéder aux techniques sophistiquées qu’elle préconise : le « glaçage de rocher » est à notre sens à réserver aux plus téméraires. Le baroudeur sensibilisé à la protection de l’environnement et convaincu par ses méthodes s’équipera en conséquence, et sera ainsi fin prêt pour arpenter les sentiers de grande randonnée du Groland.

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Comment chier dans les bois : Pour une appr..

Ou : "quand les WC sont fermés de l'extérieur "



Le caractère entomologiste de ce livre ne m'a pas échappé. Entre dissection (toute philosophique) et mode d'emploi, on aborde ici une littérature de cabinet (au sens propre du terme) : et je joindrais curiosités à cabinet pour être plus précis.

Se prêtant à toutes les interprétations freudiennes disponibles, le "rapport" de Kathleen Meyer renvoie à une miniaturisation de l'environnement, genre : "quand un papillon..."

Une autre approche de la nature reste toujours possible : celle de l'observation des phénomènes induits par les "erreurs", lesquelles, quand même, produisent de beaux et bons effets.

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Comment chier dans les bois : Pour une appr..

C'est une question que tout randonneur devrait se poser. On est rentré dans l'époque du tourisme de masse, et avec cette masse on trouve un sacré paquet de merde, alors pour les touristes natures (pas forcément naturiste) la question de la préservation des paysages recherchés doit passer par une réflexion sur la gestion de ses crottes (la pisse aussi mais un peu moins problématique). Et ce guide technique apporte de nombreuses informations. Certains accessoires semble plus adaptés à des questionnement et des pratiques d'américain alors on a envie de dire chacun sa merde... mais après tout rien ne ressemble plus à un déjection qu'une autre déjection donc pourquoi pas.

En tout cas maintenant je réfléchis beaucoup où aller au toilette dans la nature.

Petit bonus pour la branche en fourche suspendu où on peut chier assis tranquilou en regardant le paysage !
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Comment chier dans les bois : Pour une appr..

Celui-là, je l'ai parcouru plutôt que lui car je l'ai acheté pour un copain adepte de la nature, et qui va lui aussi, régulièrement du moins je le suppose, poser son étron entre deux chênes ;-)

J'ai donc lu, par ci par là, des pages, voire des chapitres entiers, c'est drôle à souhait, sarcastique aussi parfois, mais les anecdotes et la façon de les raconter sont tout simplement hilarantes!!! Donc on apprend où chier pour ne pas contaminer tout un écosystème, la façon d'enterrer (ou de ramener) son caca, à s'essuyer avec autre chose que du papier toilette, etc. En dehors de cette aspect humoristique, c'est une vraie leçon de respect de la nature pour sa préservation et sa sauvegarde.

A conseiller absolument à tous les adeptes de pratiques de pleine nature, treck, alpinisme, randos, etc.
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Comment chier dans les bois : Pour une appr..

Ça peut paraître idiot ou inutile de prime abord, mais c'est en fait très intéressant. Vous y apprendrez que votre caca de rando n'est pas sans conséquence selon l'endroit où vous le déposez, surtout si vous êtes sur un sentier très fréquenté. Ce livre vous expliquera donc les bonnes pratiques écologiques qui vous évitera de contaminer des cours d'eau.

Surtout destiné au public américain - où la politique des parcs nationaux est très stricte en matière de fécalité - , il n'en reste pas moins un ouvrage didactique pour tous, tout en ne manquant pas d'humour.
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Comment chier dans les bois : Pour une appr..

Le titre est semble provocateur mais correspond exactement au contenu du livre: une étude exhaustive du soulagement des besoins naturels dans la nature de façon à laisser le moins de traces possibles. Riche d'idées et de solutions diverses même si l'obsession toute américaine d'être parfait bascule parfois dans l'extrémisme. L'auteur semble oublier que par définition vivre c'est perturber son environnement donc polluer!
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J’ai été attiré par ce livre très connu (un best seller d’après le livre), au titre évocateur et avec un auteur qui arrive à faire tout un ouvrage sur « comment se débarrasser de son caca dans la nature tout en respectant l’environnement ». Bref un OVNI dans les livres.

Au fil de la lecture, on découvre des infos intéressantes, quelques notes d’humour mais au final, je reste assez déçu par ce livre. Un livre qui me fait dire une fois de plus : tout ça pour ça.

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Comment chier dans les bois : Pour une appr..

« Comment chier dans les bois ». Kathleen Meyer (182 pages, Edimontagne).

Non ce qui suit n'est pas une blague, ni une fake news, pardon une infox, pas plus que le titre de ce « document » ; il s'agit bien de ce dont il s'agit, un vrai livre ( ISBN : 2913031161 ); et comme ma réputation de randonneur émérite sur les ballons des Vosges, voire dans les alpages ou les massifs pyrénéens est bien établie, j'ai trouvé sous le sapin de noël ce cadeau (3 millions d'exemplaire vendus dans le monde depuis la première édition en 1989, on en est à la troisième). Que j'ai donc lu, jusqu'au bout, comme il se doit.

Rien à dire au plan littéraire ; strictement rien, je ne peux guère être plus clair. Si ce n'est que l'auteur cultive son art du délayage maximum, bref cet opus(cul)e aurait pu se limiter facilement à 70 ou 80 pages, même pour ceux qui sont passionnés par le sujet.

Je constate par ailleurs qu'il fleure bon un hygiénisme extrême, (ne plus jamais boire à n'importe quelle source fraîche n'importe où dans le monde), que les longues listes de matériels ou produits divers mais surtout made in USA (toilettes portatives, bacs de toutes tailles pour « tout emporter », urinoirs pour femmes), types et modalités de désinfection de l'eau pour les randonneurs, kayakistes, spéléologues ou baroudeurs de tous poils, ressemblent à des catalogues de vente en ligne, (sans les images, ce qui est parfois dommage). Bon, maintenant je sais tout ou presque sur l'art de faire son trou, de remplacer le papier toilette par des feuilles ou des cailloux. Je ne dirai pas que je n'ai pas été sensibilisé aux questions d'hygiène en pleine nature, ni que je n'ai rien appris (entre autre sur les urinoirs féminin, style « gogirl » qui permettent aux femmes d'uriner –pardon, de pisser- debout). Mais je ne suis pas certain de garder ce livre dans mes étagères.

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Comment chier dans les bois : Pour une appr..

L'auteure ne tourne pas autour du pot et c'est pour cette raison que je ne me suis pas fait ch*** à le lire, aux toilettes bien entendu, assis confortablement. Même si l'oeuvre comporte quelques longueurs confinant à la constipation, ce guide pourra servir aussi en situation domestique, lorsque c'est toi, moi, vous (et pas un autre) qui tomberez sur la dernière feuille de papier toilette trois plis. Et plock...
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Comment chier dans les bois : Pour une appr..

C’est un guide très intéressant. Si vous êtes adepte des randos et autres sorties en nature ce livre vous intéressera beaucoup. On y apprend comment faire son caca sans souiller l’environnement car oui un caca c’est sale c’est pas de l’engrais c’est important de pas faire n’importe quoi n’importe où.
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Comment chier dans les bois : Pour une appr..

Si vous ne deviez retenir qu'un seul conseil pratique de ce livre : en règle générale, faites un trou de 20 cm de profondeur, chiez dedans et recouvrez-le.

C'est non seulement une question de respect pour les autres qui passent derrière vous mais surtout pour la décomposition des bactéries contenues dans vos merdes. Qui si elles ne sont pas recouvertes de micro-organisme décomposant, s'écoulent dans les eaux de pluie et de rivière et polluent nos cours d'eaux.

Sinon c'est une belle prose mélangeant cru et travaillé. Drôle et pédagogique!
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