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3.8/5 (sur 243 notes)

Nationalité : Allemagne
Biographie :

Kathryn Taylor s’est fait connaître du grand public avec la série Les Couleurs du plaisir (Marabout), vendue à près de 500 000 exemplaires dans le monde. Les éditions de l’Archipel ont publié sa saga Daringham Hall: L’Hériter (2016), Le Secret (2017).

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Citations et extraits (33) Voir plus Ajouter une citation
En voyant soudain Brenda ouvrir les yeux, Zoe se tut et retint instinctivement son souffle.
- Maman ?
Celle-ci la fixa un long moment, le regard vide, puis fronça les sourcils.
- Qui êtes-vous ? demanda-t-elle en dégageant brusquement sa main.
Zoe aurait pu lui expliquer qu'elle était sa fille , mais elle savait que c'était peine perdue.
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J’étais terriblement excitée et mes mains tremblaient. Pour que personne ne le remarque, ça faisait un moment que je les tenais croisées sur mes genoux ou que je jouais distraitement avec la fermeture de ma ceinture de sécurité. Je n’arrêtais pas de la détacher et de la rattacher. Mais on allait bientôt arriver. Je n’avais plus longtemps à attendre. Enfin…

— Miss, veuillez garder votre ceinture fermée. Nous amorçons l’atterrissage.

L’hôtesse surgie de nulle part – une grande blonde, bronzée et incroyablement mince – m’indiqua le voyant lumineux allumé sur la console au-dessus de moi. Je hochai précipitamment la tête et me hâtai d’enclencher les deux pièces en métal. Elle ignora mes excuses mais adressa un bref sourire à mon voisin. Assis près du hublot, il avait levé les yeux de son journal et lui souriait, rayonnant – comme chaque fois qu’elle passait. Puis elle s’éloigna pour poursuivre son inspection.

L’homme la suivit du regard. Remarquant que je l’observais, il fronça les sourcils d’un air de reproche et me fixa avec agressivité, comme si c’était un délit de contrarier l’hôtesse. Ensuite, il se pencha de nouveau sur son journal. C’était sans doute la première fois qu’il m’accordait de l’attention depuis que nous avions décollé de Chicago.

De toute façon, je ne cherchais pas à lui plaire. C’était juste un peu frustrant, parce que même si je l’avais trouvé séduisant, je n’aurais eu aucune chance comparée à la grande blonde : j’étais tout son contraire – petite et pâle. D’accord, j’étais blonde moi aussi, mais un blond tirant sur le roux. Très nettement. C’était le seul détail marquant chez moi, mais comme cette rousseur me valait de rougir au soleil comme une tomate sans jamais bronzer, c’était une particularité dont je me serais bien passée.
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Je planais littéralement. Il était urgent de mettre un terme à cet état, mais j’en étais incapable. Pour commencer, il fallait que mon cœur, qui battait à un rythme alarmant, retrouve son calme. Parce que, quelques secondes plus tôt, j’avais manqué me rompre le cou en tombant dans l’escalier.

Il aurait également été bon d’inspirer et d’expirer profondément. Mais ce n’était pas possible. Je ne savais même plus comment remplir mes poumons d’oxygène. En fait, je ne pouvais plus faire qu’une chose : fixer l’homme qui me considérait, sourcils froncés.

Le soleil couchant, entrant par la fenêtre, donnait à sa chevelure blond foncé des reflets dorés, en parfait accord avec ses yeux d’une teinte peu commune, ambrée et chaude. Quant à son visage… il était comme sculpté : pommettes hautes, nez droit, lèvres parfaitement ourlées. À l’image de ces statues d’homme en marbre si nombreuses ici, à Rome. Bon, d’accord, ses cheveux, qui lui retombaient sur le front, étaient peut-être un peu trop longs. Mais quand même… Dans la réalité, personne n’avait l’air aussi diablement séduisant. L’espace d’un instant, j’eus même peur d’être dans le coma après avoir bel et bien chuté.
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P91
Ils s'appellent comment, ces gens ?
Camden. pourquoi ? Ça vous dit quelque chose ? (...)
Non, sécria-T. Il, tout en luttant contre la colère désespérée qui menaçait de l'emporter. Je pensais que... Mais non, rien !
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P70
IVY je te présente BEN, dont je t'ai parlé . l'Hôpital l'a laissé sortir aujourd'hui et il va habiter provisoirement chez moi. Ben je te présente mon amie Ivy Carter Andrews.
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Le quatuor à cordes qui assurait le fond sonore arrêta soudain de jouer et quelqu’un donna de petits coups sur un micro. Puis la voix de Sarah retentit :

— Est-ce qu’on m’entend ?

– Elle avait prévu de faire une annonce ? m’étonnai-je.

Jonathan haussa les épaules et je réintégrai avec lui la tente qu’on venait de quitter.

Les invités se précipitaient déjà vers l’estrade qui accueillait les musiciens, curieux d’entendre l’intervention de Sarah. Rejoindre Alexander et le comte, qui se tenaient au pied de la petite scène, fut plutôt compliqué.

– Qu’est-ce qui se passe ? demanda Jonathan à Alexander.

Puis, il adressa un regard interrogateur à sa sœur qui se contenta de sourire, imperturbable.

– Aucune idée, répondit Alexander, sans quitter non plus Sarah des yeux. Elle n’a pas voulu me le dire.

– On m’entend bien ? répéta Sarah.

Après quelques murmures approbateurs, elle se racla la gorge.

– Je me réjouis que vous ayez été, encore une fois, si nombreux à répondre présent à notre invitation, déclara-t-elle d’une voix claire. Mais cette année, je me réjouis tout particulièrement car j’ai l’occasion de partager avec vous une merveilleuse nouvelle.

Elle fit une pause, puis annonça en arborant un sourire radieux :

– Je suis fiancée depuis aujourd’hui.
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Je ne suis pas un chien à qui vous pouvez ordonner de se coucher quelque part et d’attendre sagement votre retour. Ça ne fonctionne pas comme ça.
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Écoute, on n’est pas aveugles. Le boss est vachement beau, et tu n’es pas la première à le regarder avec des yeux brillants. La plupart le dévorent du regard de loin, mais c’est absurde, crois-moi. Quant à celles qui ont collaboré avec lui de plus près et qui étaient particulièrement mordues, elles ont toujours fini par partir. La dernière en date, c’était le mois dernier, une fille du service de presse qui avait beaucoup bossé avec lui sur un projet. Elles quittent toutes la boîte volontairement, toujours avec une bonne raison, parce qu’elles ont trouvé un autre boulot ou qu’elles cherchent de nouveaux défis.
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p111
Kate commençait à s’inquiéter. Elle était habituée aux réprimandes et aux propos acerbes de la vieille dame, mais elle n'avait jamais connu la grand-mère d'Ivy aussi troublée qu'en cet instant.
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P50
Les Camden ne sont pas tes ennemis, Ben, ils sont ta famille. Si j'étais toi, je saisirais la chance de mieux les connaître au lieu de m'accrocher à je ne sais quelle idée fixe !
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