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Citations de Katia Lanero Zamora (38)


Une utopie, c’est fragile. Plus on s’en approche, plus il faut être prudent.
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Elsa Campos se sent au meilleur de sa forme. Elle n’a pas dormi de la nuit, excitée comme une gagnante du Grand Nord Million. Elle l’a approchée de près, a-t-elle dit aux journalistes, la créature! Elle est magnifique! Un mystère de la nature qu’elle va se faire une joie de démystifier à coups d’expériences et de bistouri.
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« Etre intègre, Sagana, c’est être entière. Intacte. Trouve un autre moyen ! «

« C’est toute la différence entre « garde » et « gardien ». Le garde refuse l’entrée, le gardien la protège. »
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Les histoires vous donnent un espoir vain, des rêves stupides et le sentiment que vous devriez être spéciale…. Personne n’est spécial, Amaryllis. Vous n’avez rien d’autre à accomplir que de survivre un jour de plus. La vérité, c’est qu’il n’y a aucune destinée et que nous ne sommes que le fruit des conséquences de nos choix passés. Le romantisme, c’est pour les faibles.
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Dans ces grandes villes, personne ne se connaît, tout le monde se ressemble, on crève ensemble mais dans la solitude.
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Le Naaba Azaam regarde la nuit s'étendre sur Waga-la-blanche au pied de son Palais. La capitale luit sous le lune, paisible. Il éteint la bougie qui éclaire sa chambre et s'allonge sous les voiles du lit à baldaquin. Il s'endort et rêve qu'il marche dans la forêt aux pieds des cascades de Baän-Forah, sous les ramures des baobabs. Azaam aime cet endroit paisible pour cette impression d'être petit et insignifiant, même s'il est Naaba. Il marche entre les racines énormes et arrive devant le prince des baobabs de la forêt. Des oiseaux nichent et chantent dans ses branches chargées de fruits. Le Naaba Azaam, qui n'a plus mis les pieds dans une forêt depuis trop de décennies, est ému. Il dispose de peu de temps pour lui-même depuis qu'il administre le Faso et qu'il habite le Palais de la capitale. Il s'imprègne de sérénité, de calme, de solitude.
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Vous êtes le bras de l’Ordre, dans lequel coule le sang et la vertu de votre patrie ! Si ce n’est la vie sacrée sous la protection du Roi et de L’incréé, alors ce sera la mort ! 
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La barbarie du monde s’arrête aux portes de ceux qui la répandent.
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Leurs doigts dansaient dans les airs et une onde de bien-être détendit Amaryllis. Elle se sentait en confiance.
"Votre maison est construite sur des terres aux pouvoirs ancestraux, quand les histoires se racontaient au coin du feu et prenaient vie dans les tenebres. Esver est le monde des rêves, le monde imaginaire, le monde des créatures irréelles, de celles que l'on aimerait contempler comme celles sur lesquelles on ne voudrait jamais tomber.
- J'ignorais que ce monde existait.
- C'est un univers dans votre univers.
- Et il y a beaucoup d'univers, dans mon univers ?
- Une infinité, pour qui sait regarder."
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Si tu ne nous tues pas, je te promets de ne plus jamais t'appeler Mouette !
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C'est toute la différence entre "garde" et "gardien". Le garde refuse l'entrée, le gardien la protège.
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Elle porte une main à sa bouche, réflexe universel pour ne pas laisser échapper l'espoir.
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"Ta famille est toujours en forme, je vois.
- On a une certaine propension au drame."
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Leurs mines terreuses s’éclairaient du blanc de leurs yeux et de leurs dents. La chemise ouverte sur des torses striés de gouttes de sueur, ils exhibaient fièrement le symbole de la Machine tatoué sur leur poitrine : un écrou, la plus petite pièce sans laquelle le plus compliqué des mécanismes ne peut fonctionner.
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Narcisse se laisse aller, et laisse aller ses larmes, et Horace l'accueille dans ses bras.
" Qu'Est-ce que la devise de l'Armée de lumière ? Hein ?".
Narcisse marmonne dans son cou :
" Le soleil finit toujours par se lever".
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Amaryllis observa le bucentaure à la dérobée. Une aura de force tranquille se dégageait de chaque geste, de chaque expression. Tout n'était que protection.
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Le gouverneur se dit que les prédateurs les plus redoutables sont ceux qui n'ont rien à perdre.
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Au moins, dans la forêt, la nature renaît sous les gouttes alors qu'ici, sur ces briques et ce goudron, ça ressemble à des larmes impossibles à sécher.
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La colère est légitime.
La colère est un droit inaliénable.
La colère est un devoir sociétal.
(17-18)
[Katia Lanero Zamora]
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Mais moi, j'ai besoin de toi. J'ai besoin de tes yeux pour voir le monde, de tes réflexions pour le repenser, de ta rage pour le changer.
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