Lorsque l'Ukraine est devenue indépendante, il y a vingt ans, chaque groupe de victimes a peu à peu obtenu son mémorial (…). Dix monuments, mais pas de mémoire commune, la sélection se poursuit jusque dans la commémoration.
Ce qui me manque, c'est le terme "être humain". A qui appartiennent ces victimes ? Sont-elles les orphelins de notre mémoire ratée ? Ou sont-elles toutes les nôtres ?