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3.69/5 (sur 793 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Princeton, New Jersey , le 23/06/1950
Biographie :

John Katzenbach est un auteur de romans policiers.

Fils de l'homme politique Nicholas Katzenbach (1922-2012), il a été chroniqueur judiciaire pour The Miami Herald et Miami News.

Son roman "Juste cause" (1992) a été adapté au cinéma en 1995 par Arne Glimcher avec Sean Connery.

"L'Analyste" (The Analyst, 2002) a remporté en 2004 le Grand prix de littérature policière.

site officiel: http://www.johnkatzenbach.com/

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"Juste Cause" (1995) - Bande-annonce VO


Citations et extraits (113) Voir plus Ajouter une citation
Jordan ne peut plus être une ado normale - si tant est qu'une telle chose existe. Tout le monde doit un jour affronter la fin, mais ne pas savoir quand cela arrivera permet aux gens de continuer à se traîner. Changez un terme de l'équation, introduisez une maladie mortelle ou un accident ou un assassin sans visage dans l'algorithme de la mort, et ce n'est plus pareil.
(p. 354-355)
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Vivre seule, loin des lumières et de l'énergie de la ville, était un mode d'existence dans lequel elle était tout simplement tombée avec les années. Elle avait été mariée. Ça n'avait pas marché. Elle avait pris un amant. Ça n'avait pas marché. Elle avait renoncé aux types d'un soir croisés dans un bar ainsi qu'aux sites de rencontres d'Internet qui vous promettaient une vraie compatibilité après vous avoir fait remplir un questionnaire et vous laissaient croire que l'amour n'attendait que vous. Rien de tout ça n'avait marché non plus. Karen avait découvert que la solitude ne la tourmentait absolument pas. Elle lui donnait confiance, au contraire.
(p. 29)
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La plupart des gens se réveillent à demi abrutis, agacés à l'idée d'entamer une autre journée de routine déprimante, et ils demeurent dans le brouillard jusqu'à ce qu'ils aient avalé une ou deux tasses de café.
Pas lui.
(p. 92-93)
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C'était le genre d'endroit qui résumait tout ce qu'il y avait de bon et de mauvais en Amérique, parce que derrière les pelouses soigneusement tondues et les parements d'aluminium fraîchement repeints se cachaient des problèmes d'alcool, de drogue, de violences familiales, tous ces maux et d'autres qui exercent couramment leurs ravages sous la surface trompeuse de la normalité.
(p. 416)
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Il existait des mordus des funérailles qui occupaient leurs vies désespérantes en assistant à toutes les cérémonies funéraires dont ils avaient connaissance afin de pouvoir verser des larmes hypocrites et se dire qu'ils avaient finalement de la chance puisque, aussi misérable que fût leur existence, elle n'avait pas pris fin.
(p. 399-400)
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- Je ne veux pas mourir, déclara brusquement Sarah.
Ces mots l'étonnèrent, parce que, jusqu'à cet instant, elle avait cru que c'était tout ce qu'elle désirait vraiment.
(p. 188)
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Tout ce qu'il avait fait était conçu pour provoquer la colère et la peur de Monsieur R., et les menaces exigent des réactions. Un tueur professionnel est un homme d'action. L'analyste, pas du tout. Ricky pensa qu'il avait créé une situation où ses forces et celles de son adversaire s'équilibraient.
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Une déclaration d’impôts, c'est comme une carte routière. Tout y est indiqué, du numéro de sécurité sociale aux dons de charité. Elle met en évidence les chemins les plus fréquentés de la vie de quelqu’un, sans les anecdotes.
Comme une carte, elle montre comment passer d'un endroit à un autre, dans la vie d'un individu, où se dressent les barrières de péage et où commencent les routes secondaires. Il ne manque que la couleur et la description.
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A l'époque de la table ronde, [...], l'enfer était très réel dans l'esprit de toutes sortes d'idiots, y compris chez les gens instruits et raffinés. Ils croyaient vraiment aux démons, aux diables, à la possession par les esprits du mal, tout ce que vous voulez. Ils pouvaient sentir le feu et le soufre qui attendaient les hérétiques et ne trouvaient pas du tout déraisonnable que les êtres qui avaient mal vécu puissent mériter les feux de l'enfer et les tourments éternels. Tout cela est plus compliqué de nos jours, n'est ce pas docteur? Non, nous ne croyons pas que nous allons subir le supplice des tenailles chauffées au rouge et à la damnation éternelle dans je ne sais quel gouffre brûlant. Qu'avons-nous à la place? Les avocats.
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Il ne supportait pas d'être oublié.
Cela faisait quinze ans qu'il n'avait pas publié un mot ni tué qui que ce soit, et cette retraite à demi forcée lui était devenue extrêmement pénible.
(p. 13)
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