Kazuki Nakashima

Soyons honnêtes, ce manga possède de très bons atouts dans sa manche. Outre les dessins magnifiques d’Akana Shû, l’univers d’un Japon à l’époque d’Edo est séduisant. L’ambiance y est très bien retranscrite est ça donne même envie de déambuler dans ces dédales en quête d’un forgeron. Tout cela est bien beau, mais j’ai trouvé l’ensemble trop fouillis. Je n’ai pas été embarqué dans l’histoire, sans oublier que Nakashima Kazuki (scénariste) nous donne un récit brouillon. Ce n’est que sur le tard, que j’ai compris l’intrigue. Dommage, car, sur la fin, je commençais à comprendre. Les Démons, à mon sens, sont trop peu développés, ce qui est regrettable quand on sait que le Japon possède un folklore des plus remarquables.

Akana Shû joue sur la sensualité avec la protagoniste féminine et l’arrogante beauté masculine pour le personnage principal.

Totalement déjanté!



Ryuko cherche à venger la mort de son père. Pour cela, elle entre dans un lycée très particulier, où les uniformes que portent les élèves leur confèrent des pouvoirs hors du commun...



Humour, action et jolies filles sont au rendez-vous dans ce Shonen qui vous fera mourir de rire!

Le château de Blanche-Neige appartient désormais à la Reine Rose. Mais la princesse ne compte pas se laisser faire et va pouvoir compter sur l’aide de guerriers pour récupérer son dû. Au terme d’un combat, la Reine est tuée, Blanche-Neige est laissée pour morte, et des démons sont libérés. Quelques années plus tard, la fille de la Reine Rose fait une réapparition devant un des guerriers de l’époque qui est tout juste de retour au pays. Il a à cœur de rattraper les erreurs du passé qui ont conduit à un chaos plus important que la situation initiale où la Reine Rose avait pris le pouvoir.

Je n’ai pas vu l’intérêt de reprendre le personnage de Blanche-Neige puisque l’histoire n’a presque aucun point commun avec le conte ! De plus, les situations, à grands renforts de scènes d’action et de bagarres fracassantes, sont parfois confuses et on a des difficultés de compréhension.

Je vous conseille de vous pencher sur ce petit manga assez décalé qui fout la pèche !




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Complètement décalé et déjanté, (...) KILL la KILL se caractérise par son rythme échevelé (...) et par sa volonté affichée de s’emparer à bras le corps de la thématique classique des costumes.
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Voilà un huitième tome qui se lit bien.[…] Action et suspense y font pour beaucoup, entre autres, au service d’un récit dynamique.
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