Kazumasa Hirai

Manga lu dans le cadre du challenge ABC 2015-2016.



La découverte n’a pas été au rendez-vous pour ce manga. Comme d’habitude, je ne me souviens pas du résumé et je me suis retrouvée avec un manga très noir, sombre et glauque dont je n’ai pas saisi l’histoire. Je n’ai même pas dépassé la moitié du tome tellement je n’ai pas apprécié le style.



L’histoire semble tourner autour d’un jeune lycéen plutôt perturbant. Il se fait battre par tous les caïds du coin mais se relève toujours, à croire qu’il ne sent pas les coups ou qu’il a une peau très épaisse et résistante. Mis à part ce début très sombre, je ne vois pas l’intérêt de ce manga ni la raison de cette violence gratuite. Même les graphismes ne me plaisent pas plus que ça, les personnages sont bien dessinés mais il y a quelque chose dans l’atmosphère de ce manga qui me dérange. Trop glauque à mon goût, sans doute.



Comme vous l’aurez compris, j’ai été assez déçue par ce manga, beaucoup trop d’éléments m’ont déplus en peu de pages. Je n’ai pas réussi à m’intéresser à l’histoire de ce jeune lycéen. Comme tous les goûts sont dans la nature, je vous conseille néanmoins de le découvrir pour vous en faire votre propre idée.



Sur ce, bonnes lectures à vous :-)

J'avais beaucoup entendu parler de ce "fameux huitième tome" qui laissait les lecteurs choqués par sa lecture. Je viens de comprendre pourquoi en passant ce nouveau cap.



Le manga prend une tournure particulièrement violente et cruelle à cet instant. Haguro cherche un moyen d’attirer à lui Inugami qui s'est résolu à couper les ponts avec les hommes, ce qui n'est pas du gout de son rival qui sombre dans une colère vindicative viscérale. Perdre le contrôle l'insupporte. Il veut exercer sur tous ses sujets une ascendance psychologique totale par la terreur et la torture physique.



Dans ce but il enlève, séquestre et agresse sexuellement Mademoiselle Aoshika… d'une manière extrême. On retrouve toujours la déviance sexuelle propre aux mangakas japonais.



L'éternelle naïve du manga subit le pire tout le long de ce tome et n'est pas encore au bout de ses peines. Elle devient l’appât de la vengeance d'un monstre prêt à tout pour arriver à ses fins.

Un second tome qui hausse d'un cran la violence du manga.



Il est vivement déconseillé aux plus jeunes lecteurs à cause des scènes de sexe et de scarifications qui frisent parfois l'insoutenable. L'histoire continue là où on l'avait laissé à la fin du précédent tome, Inugami est pris dans un très violent règlement de compte l'opposant à Harugo. J'ai vraiment été captivé par ce second tome qui arrive à nous tenir en haleine par la succession de retournements de situation et de la psychologie du héro qui s'affirme.



On ne peut pas s'empêcher de trouver la naïveté de Mademoiselle Aishiko agaçante à certains moments, mais cela a réussi à me faire rire bien avant de sombrer dans l'effroi du sort qui lui est réservé.



Ce manga occulte toutes mes pensées, je suis très curieux de me plonger dans la suite du récit.

Un triangle plus dangereux qu'amoureux s'installe dans ce quatrième volume.



Haguro n'est plus du tout sûr de sa toute puissance face à Akira quand il le voit toujours sortir indemne des bagarres qu'il provoque. Cette chance à pour effet d'exciter la très espiègle Ryuuko , la copine d'Haguro, qui voit en Inugami le mâle dominant qu'elle a toujours cherché. On en apprend plus sur son passé et les raisons qui expliquent son comportement envers les hommes et le mépris qu'elle a pour elle même.



Les choses se corsent pourtant à la moitié du tome quand Kuroda se métamorphose en bête de vengeance décidé à se venger des personnes qui ont fait souffrir son frère en l'humiliant. Un assaut armé sur l'école vient traduire toute la haine qu'il contient en lui au moment ou l'école est déjà sous les feux des medias.



La tension est à son maximum et nous réserve bien des surprises.

De la violence sur un individu isolé se développe pour s'abattre sur une réunion de personnes. La perversité des personnages monte encore d'un cran. Les têtes explosent, c'est sanglant et détaillé. Inugami se rend compte qu'il n'est pas seul. Entre fierté et prise de conscience, ce tome continue d'entrainer plus profondément le lecteur dans ce monde ténébreux et violent.

Le récit devient de plus en plus brutal et sanglant, certain dirait gore. Le lecteur découvre un peu plus la vie d'Akira Inugami, les avantages et inconvénients d'être un loup-garou. Le visage d'Haguro est très animal et anguleux. Il me fait penser aux études physionomique d'Albrecht Dürer. Je pense que toute la série est plus destiné aux jeunes hommes qu'aux jeunes femmes.

Le récit se déroule dans un cadre scolaire, avec une guerre des gangs. La quatrième de couverture avertie le lecteur de la violence, du sang et des nombreuses autres surprises. Ce tome annonce une série certainement passionnante. Les dessins me font pensé à de la gravure en taille douce. Akira est un personnage à la fois simple par son acceptation totale de sa lycanthropie et complexe par son mode de vie et son caractère.

Très bon manga!

J'aime beaucoup le personnage principal qui ne se fait ni passer pour un personnage mystérieux, ni pour un égocentrique.

Il est lui le loup tout simplement.

Après 12 tomes, le manga s'achève avec prévisibilité. Je m'y attendais depuis le début comme tous ceux qui auront lu cette oeuvre, pour cette raison la déception n'a pas été si grande.



Je pense que les mangakas m'on réellement perdu à cause de la tournure graphique qu'à pris Wolf Guy après des débuts prometteurs. Beaucoup trop de noirceurs esthétiques sont venues se mêler à un discours qui était déjà très violent et qui ne devait pas être alourdi davantage.



Ce que j'aime dans les seinen, c'est parfois le contraste entre la simplicité du dessin et la violence psychologique qu'il peut susciter. Ici, c'était totalement l'inverse. Je trouvais la lecture lourde, les propos redondants sur la nature de l'Homme et sur sa cruauté. L'évolution des personnages n’apparaît pas assez crédible, cela m'a beaucoup gêné surtout concernant Mlle Aoshika. Elle passe de la caricature de godiche à celle de martyre avec une phase de perversion sexuelle intense. Le côté fantastique du loup-garou aurait pu être vraiment mieux exploité, cela m'a déçu sur ce point.

Un septième tome qui sonne l'hallali pour la volte-face de Chiba. Très noir, très sanglant, psychologiquement éprouvant.



Premier constat au bout de 7 tomes : je me lasse beaucoup plus vite qu'avant du chara-design dont la qualité s'amenuise avec le temps. Cette déstructuration des visages commence à me lasser perplexe même si j'y perçois un style cherché pour approfondir le côté sociopathe d'Haguro. Je lui reproche également des cases trop brouillonnes, mal léchées qui s'imbriquent mal et rendent confuses.



Laissé pour mort par Haguro mais ressuscité par le sang garou d’Akira, Chiba ne cherche désormais plus qu’une seule chose, se venger de son bourreau en lui rendant au centuple la monnaie de sa pièce. Or Haguro, persuadé que son sous-fifre est mort pense avoir attiré l’attention d’Akira… un duel au sommet se prépare entre les deux hommes. L'issue du combat sera fatidique pour l'un des deux.



Le tome le plus percutant jusqu'à présent.

Décidément, il se passe de drôles de choses dans ce troisième tome.



Ce lycée n'a quand même rien qui puisse paraître anodin pour les yeux des lecteurs. Avec le recul, ça me fait beaucoup rire. Des élèves qui se font justice eux-mêmes quittent à castrer leurs petits camarades, à leur casser le nez, ou carrément les poignarder et les scarifier pendant l'intercours. Non... vraiment, il y a quelque chose qui ne tourne pas rond dans le système scolaire japonais :)



Dans ce troisième volet, Akira Inugami continue d'être la cible du gang de Haguro sans opposer la moindre résistance, on apprend beaucoup de détails importants sur le passé de la précédente victime d'Akira ainsi que sur son frère jumeau décidé à le venger. Un étrange journaliste a la personnalité originale fait son entrée dans les derniers chapitres, il commence à enquêter sur les évènements qui ont alerté la presse. Son visage ressemble beaucoup à celui du Wolf guy, très anguleux avec beaucoup de charisme et de perspicacité dans le regard. Son apparition risque de bousculer pas mal de choses que j'ai hâte de découvrir.

Gros coup de coeur pour ce premier tome de Wolf Guy, un manga sombre mêlant fantastique, violence et horreur.



J'ai pourtant longtemps hésité avant de débuter la lecture du seinen. Je suis loin d'être fan de la bit-lit en général, alors les histoires de loup-garous non merci ! Ca ne me dit rien de plus qu'un vague cliché sirupeux à la Twilight dans le pire des cas. Un genre qui me sort par les yeux et que j'évite autant que possible. Ici, j'ai tout adoré, absolument tout; le dessin, l'histoire - bien que quelque peu à tirer par les cheveux -, les personnages et les rebondissements. Le héro de Wolf Guy dégage un aura incroyable, c'est indéniable. Il en impose par son charme et sa noirceur, le portrait typique du bad guy dominant. J'ai tout de suite été emballé par ce personnage charismatique à la force surhumaine.



Jeune professeur aux formes généreuses, Aoshika enseigne dans un lycée à problèmes. Elle manque cruellement d'autorité sur ses élèves qui n'hésitent pas à la tourner en dérision dès que l'occasion se présente et désespère de ne pas arriver à sauver la face. C'est à la suite d'une bagarre violente la mêlant à des gangsters qu'elle croise pour la première fois notre bellâtre Akira. Dès le début, le ton est donné, la violence est au programme et n'hésite pas à choquer le lecteur avec l'horreur des corps tuméfiés sous les coups . Ce seinen n'est pas conseillé aux jeunes personnes ni aux âmes sensibles.



Étrangement calme, étrangement peu soucieux, Akira cache un lourd secret: il est atteint de lycanthropie. De ce fait, il hait tous les humains avec une vigueur qui lui est propre. Viré de tous les lycées à cause de sa violence à l'encontre de ses camarades, c'est dans celui d'Aoshika qu'il vient d'être transféré.



Le premier tome nous décrit l'arrivée du jeune loup dans son nouvel habitat naturel et les choses se gâtent très vite L'incohérence que je n'ai pas pu m'empêcher de relever, c'est tout de même le fait qu'il soit viré de chaque établissement après avoir envoyé d'autres élèves aux urgences avec une espérance de s'en sortir peu probable... Qu'à cela ne tienne, l'auteur avait tout prévu et nous délivre une explication machiavélique destinée à nous montrer qu'Akira à un cerveau et qu'il sait s'en servir pour se sauver du pétrin.



Ce premier tome m'a ouvert l'appétit, vivement la suite !

Lire ce manga n’est pas forcément nécessaire. Toutes personnes ayant lu la série a déjà imaginé la fin. Elle est très prévisible et montre une nouvelle fois que l’homme est le pire monstre, mais qu’il peut également être le meilleur. Les paysages de l’Alaska sont magnifiquement dessinés. Ce tome est plein de bon sentiment, il n’est donc pas essentiel de le lire, surtout avec la fin toute asiatique qu’ils ont fait.

Brutal et sanglant ! Inugami se bat par amour pour Aoshika. Jin, le reporter, ne joue pour le moment qu’un rôle secondaire. J’apprécie bien ce personnage de l’ombre. C’est confirmé, Haguro a totalement perdu la tête. Il est très dérangé psychologiquement. Pour la première fois, Inugami se bat réellement et tue pour ce qu’il croit.

J’ai bien appréciée ce tome ou alors j’ai réussi à surpassé mon malaise. L’histoire se rapproche un peu plus du genre policier, du coup c’est plus facile à lire. Inugami devient véritablement un homme-loup. Cela rend le manga plus intéressant. La plupart des personnages sont quand même gravement atteint de folie, de sadisme et de perversité.

Un seul combat physique avec peu de sang et de détails, c'est un exploit. Ce tome est dédié à la douleur physique et psychologique des victimes de l'attentat. Inugami affronte bravement le remord et la volubilité du caractère humain. C'est assez soft par rapport aux autres mangas de la série, cela en est presque déstabilisant.

Ce nouveau récit commence sur un violent combat. Le professeur d'Inugami peut sembler un peu naïve ou trop curieuse. Les sentiments qu'éprouve le jeune homme se développent. La grande part sexuelle de cette histoire m'a un peu gêné, par sa violence. C'est ce qui a révélé l'instinct protecteur du loup-garou, complexifiant encore le personnage.

Découvrez ma critique sur mon blog ;-)



http://lecoindeslecturespartagees.eklablog.com/le-coin-des-mangas-et-bd-c24689062

Un combat acharné et extrême !! Un manga brutal sur un homme animal !!

Privé de ses pouvoirs de loup-garou pendant la nouvelle lune, Inugami a survécu non sans difficulté aux explosions de mine et est enfin parvenu auprès de mademoiselle Aoshia. Mais Haguro a remarqué sa présence et le recherche activement pour le tuer !!

Inugami se lance dans une chasse à l’homme. La police commence tout juste à monter le bout de son nez. Ce tome bien que violent, sanglant et pervers n’est pas sanglant. Je me demande où les auteurs vont chercher leurs idées ou si ce manga est un exutoire. La brutalité présente dans ce récit ne me plait pas, mais l’histoire est intéressante.